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PDF of the scanned pages.![]() BREVIAIRE 70 ./ •"-j - 1 - - 2 INTROÏT DE RABELAIS Cy n'entrez-pas, hypocrites bigots, Vieux matagots marmiteux borsouflés; Torcoulx, badauds, plus que n'estoient les Goths Ni Ostrogothz., précurseurs des magots : Haires, cagotz, cafars ampantouflés, Gueux mitouflés, frapparts escorniflés, 'Befflés enflés, fagoteurs de tebus; ; -.- Tirez 'ailleurs po^jr'vendre vos abus. ; - 3 VH.É Çfs etupiÀn^. KEFRAIN • Et l'on s'en fout d'attraper la vérole ! -; Et l'on s'en fout, pourvu qu'on tire un coup, Avec, avec *..«une femme. ♦ . sous Ils roses ! Et dans les bras de li volup-fca ! Avec un sùs~suspensoir au cul I Vive les EtudiantL, ma mère> Vive les Etudiantr ! Ils ont des femmes et pas d.-fenfants ! Vive les Etudiants t Vive les Etudiantes... Elles falment avoi la pirie *-u ventre... • Vive les avocats... Ils ont des couilles en rhocolat... Vive les sorbonnards..# l Ils ont des couilles en p'oau d'iéiard.., Vive les coloniaux»•• Ils ont les couIUds en peau ue Chameau.## ' Vive les carabins.,» j Ils ont des femmes oui boisent bien...» ' Vive les carabines... Elles adorent vous sucer la pine... Vive les artilleurs.•• Ils tirent un coup tous les quart d'heure Vive les Pharmaciens... Ils ont 1'permanganate pour rien... Vive les pharciennes... Elles sont putains ou hien.lGsbiennes... Vive les P.C.B..... Ils ont les couilles galvanisées Vive les aviateurs Ils lèvent la queue tous les quart d'heure.. Vive les aviatrices... Elles ont les manches entre les cuisses... Vive les Arts Déco.,. Ils ont les couilles près du pinceau... Viv'le quartier latin... Toutes les filles y sont putains... -, p; «. C'Edï rTOUo Li^d PÏIARMCIEÏÏd ( Sur lTair 2 C'est noup les Africains) , . ' ' REFRAIN C'est nous les pharmaciens qui venons vous trouver Du fond d'nos facultés pour vous administrer Les capotes? les forceps, : la poudre à faire bander La vaseline du Codex pour--mieux faire pénétrer La pine dans le ton, comme le couteau dans 1'beurre Ces impuissants baiseront avec ardeur Et .si quelqu'un nous traite d'épicier .. Son cul fera connaissance avec not1 pied Faisons ma mère, devant.derrière9 Les p'tites pucelles9 les vieilles maquerelles Les sales putains9 les filles de rien C'est nous les Pharmaciens* : P&ihLJR JOUPLET Les littéraires sont dos andouilles Les P.GyB. sont des bizuths (bis) Un carabin n! vaut pas une "' c ouille Diuti 5harmaci.cn, -A c'est connu (bis) nEILuEIiE- COUPLET \ Et quand plus tard dans nos /boutiques On s'souviendra du bon vieux temps! (bis) X3ù nous bandions uommo des triques! lC.!était l'époque do nos vingt ans (bis) B I CETEE ... ■ i REFRAIN On n'peut pas bander.toujours ID1 faut jouir des roupsttesc. On n'peut pas bander toujours Il faut jouir de ses amours. Dans ee Bioêtre où l'on slembôte, Loin de Paris que: je, regrette, J!ai bien souvent et longtemps médité - Sur la vieillesse et la oaduoité, Amis, Amis9 apprenez à connaître Ce vieux refrain, oc refrain dcrBieetre... D'un vieux, un jour, jo tenais la quequette, La sonde en main, de l'autre la-cuvette Pendant ce temps mon esprit méditait Ce que tout bas .le vioillard me disait : "Prenez bien soin de oos pauvres gogottos, Un jour viendra vous pisserez sur vos bottes" Idiots, fous, épilepi iquos, Sont dos arguments sans réplique Tout dépérit, le pauvre gonre humain Nfa plus d!espoir que dans le carabin; Or pour créer une raoe nouvelle' Jamais, enfants ne mouchez la ohandelle» 9 - À 1!oeuvre donc jeunes athlètes, Gaillardement engrossez les fillettes, Baisez, foutez, ne craigner nul écueil Quand on est jeune, il faut baiser à l^oeil Avec le temps, Vénus devient avare, Aux pauvres vieux, le coup est cher et rare Quand la vieillesse triste et caduque . Vous foutra son pied sur la nuque, Quand votre vit à jamais désossé, dur vos r ous tons pendra flasque et .glacé Allez crier à la face du prêtre Ce vieux refrain, ce refrain de Bioêtre,•• %^ - 10 « CHARLOTTE Branle,(ter) Charlotte,/ Branle (bis) ça fait du bien Branle (ter) ma -hère Branle (bis) jusqu'à domain. Dans sm boudoir, ïa petite Charlotte Chaude du ion, faute d'avoir un vit se masturbait avec une carotte Et jouissait étendue sur son lit. "Ali! disait~o?lc, dans ce siècle où nous sommes Il faut savrir se passor des garçons Moi pour ma part, je mo fous bien dos hommes Avec ardeur je me branle le con#,f Alors, sa main n'étant plus paresseuse Allait, venait jomme un patit ressort Et faisait; jouir la petite vicieuse Aussi ce jeu lui plaisait-il bien fort. Mais ô malheur, ô fatale disgrâce, La jouissance lui fit faire un sursaut Du contre coup la carotte se casse Et dans le cen il"an'reste un morceau, Un médecin, praticien fort habile, Put appelé, qui lui fit bien mal, Mais par malheur, la carotte indocile, Ne put sortir du conduit vaginal, - II - Mesdemoiselles9 que le sort de Charlotte Puisse longtemps vous servir do leçon Ah 3royez-moij laissez là la carotte Préférez lui la vit:d'un beau garçon, A - 12 - mm v 11 I3~.- CÏÏANdON DE LOUROINE De l'hôpital vieille pratique Ha maîtresse est une putain Dont lo vagin syphilitique A vérole le quartier latin. Mais moi, vieux pilier de 1!école Je l'aime-à cause do son mal, Oui de son ami» Nous sommes unis par la vérole Mieux que par lo lien conjugal (bis) Oui la vérole nous assemble dous les mornes lois tous les deux Nous vivons, nous souffrons ensemble, Plus- heureux que des demi-dieux. Tous les matins, choquent nos verres Nous buvons IgVûïi dwieten, Le Van rfwieleii, Et nous partageons en frères 'Les pilules de Dupuytren (bis). ' ~ 14 - Nous transformons en pharmacie ;• Le lien sacré de nos amours Les plumasseaux oi la iiarpie. S'y confectionnent tour à tour; , • Tandis qu'avec lo biçhorure , ■ : Elle me fait- des in jetions, "■ . ; Des injection^ - Avec l'axonge et le4 mercure | Moi je lui fais des: frictions (bis). \ . Délassement de l1innocence, ii Je regarde chaque: matin ;! \ 61 quelque nouve?.le ■ excroissance j' ; Ne vient, pas orner son vagin ' . Tandis qu* avec un oeil timide \ . Elle jette un timide regard \ > Timide regard, ' ; Sur mon corps que les syphilides \\[ Ont tacheté comme un léopard (bis). - 15 - C A-iRO L IN E Aais^ que l!on nous serve à boire Que l'on nous serve du bon vin Tintin, tintin, tint aine et tintin Je m'en vais vous monter l'histoire de Caroline la putain, Tintin tintaine et'tintin. Son père était machiniste Du théâtre de 1! Odéon Tonton... Sa mère était une fleuris!e Vendant sa fleur et ses boutons, Tonton....... A quatorze ans, suçant des pines Elle fit son. éducation. Tonton... A dix huit ans, dans la débine Elle s!engagea dans un boxon Tonton... A vingt quatre ans, sur- ma parole, C'était déjà une fière putain Tintin... Elle avit foutu la vérole Aux trois quart du quartier latin Tintin... 17 - Le marquis de la Couillemolle Lui fit bâtir une maison Toni on... A l'rifeigne du "Morpion qui vole" Une belle enseigne pour un boxon Tonton... Elle voulut aller à Rome Pour recevoir ^absolution Tonton... Le Pape était fort bien à Rome Mais il était dans son boxon Tonton... Et, sfadressant au Grand Vicaire, Elle dit 2 "J'ai trop prêté mon con", Tonton... "Si tu l'as trop prêté ma chère Eh bien reprête-le moi donc!" Tonton... Et la serrant ^htre ses cuisses, Il lui donna 1!absolution, Tonion. Il aitrâpa la chaude pisse et trenie six douzaines de morpions Tonton. Elle finit cette tourmente Entre les bras d'wi marmiton Tonton... Elle mourut La pine au ventre Le con fondu jusqu'au menton, •Tonton... - 18 Et quant on la mit dans la bière On vit pleurer tous so3 morpions Tonton..# Et quand on la mit dans la terre, Ils s'arrachèrent les poils du con, Tont< 1 19 - LA JAVANAISE Quand pour la première fcis Julot encula Une Javanaise Il sentit sur ses Joints Quelque chosp. de gras Comm * dfla mayjnnaise Son con était si-Ionj Si large et profond Si plein de liquida Qu'il avait l1impression Que son saucisson Nageait dans le viie# REFRAIF C!est la java, lo bite à papa. Les couilles à Julot Sa p'tite casquette Ses grosses rouprtt^s Et son p'tit mégot, Viens mon Landru, mon turdu Fout la moi dans l'cul •; Viens mon trésor, mun M^stor^ Pousse un peu plus fort. ? Mon père était branleur Astiqueur d^ bices Dans un bal musette Ma mère était putain Faisait des pompiers A tous ceux ds 1*orchestre Non tu ne verras plus Les poils de mon cul J'en ai fait des brosses 20 A cent sous le kilo .; C'est du* bon boulot ' -, Pour*nourrir les gosses" DE PRQF0NDI5 REFRAIN De profondis morpionibus Et Secatis roupeftibus Et excita verolatjs 0 muse pr^te moi ta l^re • \. Afin qu'en vers je puisse uir3 :? L'un des combats les plus fameux Qui se déroulèrent srus' las: cieux. Dans un Vagin' de forte taille 600.000 poux liv scient bataille^ A un nombre égal de ...orpions Qui défendaient 1!entrée uu con. i '"■■/; • , • Le choc fut épouvantable < On croyait qiie c! était-le diable Leg femmes enceintes en acdauchcnt ChiojGnt d1 In merde hp lieu d' enfants. La bataille fut giganctsque Tous les. morpions prérirent ou f resque A i1exception d3e nluo trapus Qui s'accrocha:* ant aux âjoils du cul. - 22 - Ils ont bouchés presque la fente Que les morpions morts ensaglantent Et la vallée :du cul au con Etait jonchée de morpions. Le commandant d'une escouade Voyant périr ses camarades C£ia : Morpions! nous sommes foutus Piquons une charge au trou du cul. Un morpion de noble origine Qui revenait de Palestine Leva sa lance et s!écria : Les morpions meurent et n'se rendent pas. Pour reprendre lfavantage Les morpions luttaient avec rage Mais leurs efforts furent superflus Les poux gardèrent le dessus. Le général nouvel Enée Sortant des rangs de son armée A son rival beau chevalier Propose un combat singulier. A chfval sur un poil de roupette Armé d'une longue lorgnette Le capitaine des morpions Examinait les' positions. Bardé d'un triple rang de crasse Transpercé malgré sa cuirasse Le capitaine des morpions Tomba sans vie au fond du con. - 24 Puis au plus fort de la "bataille Soudain frappé par la mitraille Le maréchal dos morpions- .; Tomba mort à l'entrée du cpn. j ■ . • *• -: * • • '■ ' Tout à coup un.obus arrive Qui lui fait perdre l1équilibre Le capitaine est bien foutu Il tombe au fond du trou de oui. Un morpion motocycliste Prenant la raie du oui pour piste Vint avertir l'état major Que la capitaine était mort» Pour retirer leur capitaine Tous les morpions firent la chaîne Mais hélas vains furoni leurs efforts L!abîme ne rend pas ses morts. Un soir au bord do la ravine Tout couvert de foutre et d'urine On vit un fantôme tout nu A cheval sur un poil &rv cul*. C'était l'ombre du capitaine De chancres et drastioots pleine Qui faute d'inhiMation Pgait le maroilo et l'arpion. Devant ce spectre qui murmure DTêtre privé de sépulture Tous les' morpions firent serment De lui élever-un monument• En vain l'on Tiior^ho sa dépouille Sur la pine et sur 1:;3 deux oouillos On ne trouva qu'un .bout de queue Qu'un sabre aurait coupé on deux* La troupe aussitôt prend les armes L'enterre en versant force larmes Comme au renvoi d'un cardinal Ou bien d'un garde national, Puis les plus jolies, morpionnos Portaient on pleurant des^luronnes De fleurs blanches et de poils de oui- Qu'avait tant aimé le vaincu. Sons'-heval même l'acoompagne . Et quatre morpions d'Espagne Vue larme à l'oeil, le orôpe au k»as. Tenaient les quatre coins du drap. Au bord du profond précipice On rangea les morpions novices Ils déferler mt par escadrons Tout en sonnant de leurs clairons* Ils le suivirent au cimetière S'assirent en rond sur leur derrière La trotte au cul la larme à l'oeil Tous les morpions étaient en deuil. On lui él'va un cénotaphe Et l'on grava cette épitapàe "Ci gît un morpion de valeur Tombé sans vie au iiamp d'honneur". -27 - ;^£&& ~ 28 - Tandis que la foule en détresse En pleurs lisait la messe L'adversaire de l'onguent gris Monta tout droit en paradis. Et l'on fit une relique Que l'on mit dans une basilique Pour que les futurs bataillons Sachent comment meurt un morpion. Sur une ocuillc grosso et velue L'on érigea une ostaiuc A ce capitaine de morpions Mort si brav'mcnt au fond d!un oon. Depuis ce jour on voit dans l'ombre A la porte d'un caveau- sombre Les morpions de noir vêtus Montant la garda au trou du cul. - ,Depuis ce temps dams 3.a vallée On entend des bruiis de mêlée Les morpions pour venger l'vaincu Se cramponnent à tous les poils du cal. Si parfoist lessoirs de brume Quand sut terre se lève la lune On voit les âmes des morpions-, Voltiger sur les' pils du con* - 29 DE FROFTIBUS Cochon d*1 "Un toi" (l) ■ Bois donc ton verre (bis) Et surtout ne le renverse pas* De frontibus (bis) A la martiale (bis) Et glou, glou9 gloUj glou (2) Il est dos nôtres (bis) Car il a bu son verre oomme_ les autres. (i) Nom du buveur que l'on fait boire (2) Jusqufa co quo la verra soit vidé» -30- COOïïai DE MOINE; Entrant dans une église ; Je ne.vis d!abord rien . Qujuri vieux cochon de moine- Qui s'brciilait-âajis. un soin. Si j't^onoule ouïe cule Si j•t 'onoule "'juseju-1 à demain Si jf tf on ouïe cule\ ouïe Si j't'encuîe c'est pour ton bien, Qu*un vieux cochon do moine Qui svbranlait dans uri coin Qui confessait les filles Du soiï\ jusqu'au matin, / Il dit à\la plus jeune Tu reviendras demain,/, Je to forpis voir l'bbrbe Qui pousse, dans la main» Qui fait grossir; le ventre .Et arrondir les soins. Et nous ferons ensemble. Un petit- cçnmoin. - 31 - Aux souilles tricolores Aux pals du oui châtains. Et le petit bonhomme Bandera comme un saint» . Il ira au bordel Son père y allait bien Enfiler les maquerelles. Sont père le faisait bien. Il aura la vérole Son père l'avait bien. ~ 52 - CHEVALIER .DE ïATmLE RQREB;, Chevaliers*-, do; là table ronde . Goûtons voir si 3„3 vin est bon (bis) Goûtons .voir9 oui oui oui Goûtons voir non non non Goûtons voir si le vion est bon (bis) J'en boirais Cinq à six bouteilles Une femmes sur Ion gm0u£ ' Pan, pari9 pan qui frappe à la pqrtp ? Je or ois* bien que ~;*efï mon amiev. i • Si c'est ;elle que le diab&e l1 emporte De venir/troubler mon plaisir. s Si je meurs, je veux quTon m!enterre Dans une cave où y ' a du bon vin Les deux pieds contre la muraille* Et la tête sous le robinet Et les. quatre plue grands ivrognes Porterons les quair*coins du drap. ~ 33 - Et si le tonneau se débonde J'en boirais jusqu'à-mon loisir♦ Et s'il en reste quelques gouttes Ce sera pour nous rafraîchir» Sur ma tombe je veux qu,cn inscrive "Ici git le roi des buveurs"• ~ 34 ~ LA RIE OWIER Chandon de P.C.B. En descendant la rue Cuvier (bis) Par -une putain j'fus racolé (bis) Elle me dit d'un air tendre : "Eh bien ? "Monte dedans ma chambre!" "Et vous m'entendez bien "Et nous t*entendons bien !" Moi qui suis d'l'Université (bis) J'aime savoir où j'mots les pieds (bis) J'achète une chandelle "Eh bien ?" Pour monter chez la belle. • «Et vous m'entendez bien . . "Et nous t'entendons bien.!" Moi qui n'suis qu'un grand dégoûtant (bis) Je çonto l'escalier on m'bronlant (bis) En haut j'ia carambole... Elle avait la vérole... Quand la vérole fut attrapée (bis) A l'hôpital fallut aller (bis) A l'hôpital maritime... Me faire soigner la pineCa# 35 - Ils m'ont foutu pour soigner (bis) Quatr*carabins, six P#C#B, (bis) Mais cette bande d'andeuilles♦ • • Ils m'ont coupé les oouilles... Quand on a plus, ni couilles, ni vit (bis) Rien ne vous plaît, ni vous sourit (bis) On s'en.va au.bordel••. Paire minette aux maquerelles• • • Depuis ce jour, soir et matin (bis) Je maudis toutes les putains (bis) Car elles me rappellent 'Eh bien ?" • " Mes couilles qui étaient si belles Et qui marchaient si bien. ~ 36 - En rêvant de garnison (bis) Nous étions trois jeunes garçons (bis) Mais de l'argent .n'en avions guère, Sons dessus dessous Sens devant9 derrière À nous trois nous n'avions qu'un sou Sens devant derrière (bis) Sens dessus dessous (bis) Nous arrivâmes au bon logis "(bis) Hôtesse qu'avez vous de cuit T (bis) J'ai du lapin et du bon lièvre , Du bon lièvre et du cidre doux. Maint(nant qu'vcus avez,bien maiigé (bis) Peut être desirez vous: couchez? ,-.\ Jern',ai qu'une ihambre sur le derrière, Et lâ.sorvante qui couche en dessous.^ Sur les onze heures en entendit (bis) L'hôtesse qui poursait des grands cris (bis) "Vous allez m'faire péter la charnière Allez y donc un peu plus mou" « EN BïïVMANT DE GARNISON 37.- Mais quand vint l'iraure de minuit (bis) Il se fit un bien plus'grand bruit (bis) C'était l'lit du d'ssous qui s! fichait par terre Avec la petite bonne qui baisait d'ssous. di vous repassez par ici (bis) Souvenez vous du bon logis (bis) Et souvenez vous de la bonne hôtesse Qui remue le cul faire faire bouger les fesses Et d'ia pftite bonne qui remue tout. LE DIGUE DU CUL Le di&up du cul Sur la rrute de gantes (bis) De "Nantes à Montaigu La digue 7 la digue De Hantes à Honfaigu La digue" dus oui. , ,.; La digue du cul Je rencontre. ûn£ belle Qui_ donnait le cul nû. Je bande mon arbalète Et lui fout droit dans le cul# La belle se réveille Et dit ; "J'ai l1diable dans!lfcul" Ion oe n'est pas le diable Mais un beau dard poilu Qui bande et qui décharge Et qui t'en fous plein 1* oui. ~ 39 - Si ce n'est pas le diable Refous-l'-moi dans le oui S'il y est bien qu'il y reste Et qu'il n'en sorte plus, 'D <^ iV k"tJ:^Jé, If iM i» ##&■ ^^~-
KYRIE Kyrie, Chris te Dominuni nostrum Kyrie Elei'son. . Kyrie, Kyrie, Dans les chambres do nos abbés (bis) De nos abbés On n'y mange (bis) Que des mots fort bien préparés (bas) . Mais nous autres, Pauvres apôtres, Pauvres moines Tripaillons de moines, Sacré nom de Dieu de religieux, Nous ne bouffons que des mets.frelatés E-E-E-E- leïson* Kyri$ Kyrie Dans les chambres de nos abbés (bis) On n'y boit Que des vins fort bien cachetés (bis) Bien cachetés# Mais nous autres, Pauvres moines, Tripaillons de moines, Sacré nom de dieu de religieux, Nous ne buvons que des vins frelatés E-E-E-E- leïson. Kyrie, Kyrie,_ - ■■■ Dans les ehcmbres do nos abbéô (bis) On se couche Sur des matelats bien-douillets (bis) Las bien douillets Mais nous 'autres . "Pauvres apôtres v \. Pauvres mrines v- . Tripaillons de moines Sacré nom do dieu de religieux Nous couchons ' sur- la paille ■■ do blé • •; .. E~E~E-E~v-ieïson, ; ;Kyri'e, Kyrxë: Dans-les chçim.bro£ de; lies abbés (bis) De. nos abbéâ\ ^ On n'y baise r(%is) Que les femmes de Qualité-'(bis) De qualité/ . n Mai s. nous autres* . Pauvres moines■• '"-% Ttipaillons de ;m£linos Sacré nom dé dieu de religigpx Nous ne suçons que 2Les oulê^vérolés E-E-E-E- ieïspxiVÀ ■ ; Kyrio, Kyrie-j;^ ■■-.'■;■■':■■ Dans les chambres do no^ abbës^bis) De nos abbés ' U ;.:. On n'onculo (bis) \ Que des jeunes gens fnrt 'bien tournés (bis) Fort bien iournéSf Mais nous autres,' Pauvres apotroM, /Pauvres moihos/ Tri prj.lleus ' de moines Sasré nom de Dieu do religieux Noue no pouvons que ncun entre '3uler E-E-E--J- loïson* - 43 - *&?£?? Ià3 O^IÏÏTUES Partant:pour la croisade in soigneur fort jaloux^. De l'honneur de sa daine Et do son droit cl1 époux . Fit faire un 3 oointuro Au solide:fermoir *\ Qu'il attaeha lui-même .à sa belle "un ;beau soir. Tra la la la la <La vlèrû (bis) Tra la la la la la ;■*--»■ Une fois la; ceinture ;• solidement bougée Il partit triomphant En emportant la ïLcf. Depuis la tendre Ysoult Soupire nuit? M Jour "Quand te rouvriras-tu" Prison do mas amours"? Or9 elle fit ^oiinaissanae Le .soir au; fond, dos bois D'un Joua- troubadour Poète Éabntnartrois "Voyons lui dit Ysoult - "Voulez-vous, essayer ' "3i l'amour d'un poète - "Peut faire un serrurier." Elle était si jolie Et belle et tant ot tant Que le feimoir céda Et qu'elle on fit autant Depuis près do trois ans .Durait leur tendre amour Quand le soigneur revint Avec cors ot- tambours. îïotro-'Italie étant groeso Envi ron. de neuf mois S'écria "sur ma vie "Quel malheur j'entrevoie "Remettons la eoin1*iro * "Ton jaloux" dit l'amant "N'y versa que du feu*' Le sire s'en aperçut Et se mit on courroux "Do quoi vous plaignez-vous "Soigneur il est à vous "Depuis bientôt trois ans "Fermé à double tour "Ce fils noble Seigneur, "Attend votre retour." Miracle! cria-t-ril Femme au 3cour vertueux Ouvrons bien vite la porto Au fils respectueux, , . Et de joie auseitôli Ysoult a enfanté, Mais depuis la ceinture -.-. C'est lui qui se la met, JEAN GILLES LE GENDRE ; . " Beau père, mon beau père Je viens me plaindre à'vous Choeur 2 idem LE BEAU BERE De quoi vous plaignez-vous ?■ Jean Gilles, mon gendre De quoi vous plaignez-vous ? Ma fille er-'t toute à vous! LE GEHBBE. Oui mais que faut-il faire Quand, nous pommes entre nous ? Choeur : idem LE BEAU BjJRE Que ne la baisez-vous? Jean Gilles, mon gendre' Que ne la baisez-vous ? Ma fille est toute à vous ! # - 48 - LE GENDRE Oui mais si je la baise, Des gosses elle me fout Choeur : idem • LE BEAU 1ERE ' Que ne la p'iotez vous ? Jean Gilles9 mon Gendre Que ne la pliotoz vous ? Ma filles est toute à vous ! .' LE GEMDIE Mais si je là p'ioto, . . des seins deviendrons mous ! Choeur 1 idem LE BEAU EERE-.■■ . Que ne la branlez vous ? Jean Gilles non gendre, Que no la branlez-vous ? Ma filles est toute à vous. LE Gl3JDRE. Oui ma si je la branle On se foutra de nous Choeur 1 idem 49 - LE BEAU PERE Que nTla gougnotez-vous ? Jean Gilles, mon gendre, Que n'ia gougnotez vous ? Ma fille est toute à vous ! LE GENDRE Oui, mais si jfla gougnote, Ca m1laissera comme un goût Choeur î idem LE BEAU PERE Que ne l!enauloz-vous ? Jean Gilles, mon gendre Que ne l1 calculez-vous ? Ma fille est toute à vous ! LE GENDRE Oui mais si je l'encule, Elle chiera partout. Choeur ; idem . LE BEAU PERE C'est vous qui me foi tes chior Jean Gilles mon gendre C'est vous qui me faites chier Aux chiottes et branlez-vous. LA HAUT oUR LA JoLLÏNE Air :!!Malbrough s'en va -n guerre" La Haut sur la colline Les deux pieds, les .doux mains sans la merde La haut sur la colline Il y avait un gros cul', (bis) Un gros ^cure do campagne Les deux pieds ««. Un gros curé do campagne- Qu!astiquait son gros bou (bis) Son gros bouquin de prière Les deux pieds •••'.. Son gros bouquin de prière Pour entrer Ô.&&& un con (bis) Dans un confessionnal Les deux pieds . «■■« Dans un confessionnal. Pour y tirer un cou (bis) Un coupable de l'enfer. Les deux pieds *.„ Un coupable de l'enfer Qui avait fait un pé (bis) 51 - Un gros péché meriol Los deux pies, los doux mains dans ,1a merde Un gros péché mortel Et avait trop été (bis) . Trop été au bordel Les deux pieds ... Trop été au bordel où il allait quêter (bis) Quêter l'aumône des pauvres Les deux pieds. ... Quêter lfaumône dos pauvres' Qui en «vaient besoin. LA P'TIE! HUGUETTE Chanson de droit - HEFR/JI Un jour, la pftiie ïïuguette, Tire moi donc la bito avec les doigts Un jour la p! tite Huguette ?■-. S'en revenait du bois (bis) En chemin elle rencontre Un étudiant en droit (bis); Il la prend, £L la baise. ♦• Sur le foin qu'étaii là (bis) Le foin était siAsec... ;^ Quf en faisant ."'fla-fla", (bis) V La mèee d1 la petite Hugubtte Vint à passer par là (bis) Elle dit î "Bai50., ma fille ... On n'en meurt pas pour ça"! (bis) Car si en en mourait... Je ne serais pas là (bis) Et si tu en meuraiè... Sur ta tombe, on mettrait: (bis) Ci gît la p'tito Huguette Qu'est morte en faisant ça"!(bis) ( ~ 53 - En faisant sa prière... Au grand Saint-Nieolas (bis) Lg grand saint quo lns gommes Portant la tôte on bas (bis) Quand ils la portent on 1rair. c • Ils inondent les draps (bis) # LG BERGER FIDELE 0 mon berger fidèle Vieno t!on reposer sur mon eoeur. A ma voix qui t'appelle Viens t ' on dorm ■ r au bonheur ! : Chr-mr des vierges : . Ah! frius-moi don"; ta pinc dans le oui Et ou ' on en ' finir, r e Ah! fous-moi c/;:ie t:/pine dons lo ~ul Et qu'on çn pari: plus! Ta langue me ohatruillo . : Jusqu* au fond du gocior Et tes: doigts ne trif cuillent Bien plus bas qa^ lo gésier» # Je sens tes testicules Battre 3ur m^n pétard. Je \rois qun lu mT maules 03a! le vaillrril braquomart. Mais ta queue devient molle Tu ne peux plur bander Oh! désir qui m\affoie9 Passe moi lo goclni ehé ! -■■ RofyAn^final /: '.:■■"" Ah! fous-moi 1?gocli;ii3hé dans le pal. Etqu!on on finisse ■' \ ., ; \ Ah! fous-moi l'godmiohé dans l1 cul Et qu!on en parle plus. r - 55 ~ DANd UN" AMPHITHEATRE Dans un amphithéâtre (bis) "Y* avait un macchabée . Macchabée (bis) Tsoin, Tsoin Ce macchabée disait Ah! cqx^on s1 emmerde ici Alc.rs on l'engueula Puis on le dépeça On le disséquera Avec un spéculum On le conservera Dans 1Talcool camphré Puis on le bouffera Et m le dégueulcra — Q Enfin en l1 enterrera--4XJ Dies irae dies illa" Sur sa tombe on me De l'aubépine on ^AimiRGL; ^ L'ECU-
- 57 - Une vieille à cheveux gris Voulut en tâtor aussi Par la porto do derrière ■. Fait'smoi passer la première T'nez voulà mon vieil écu Pour ..♦ " iM Vieille retournez "vous en Et reprenez votre argent .Car ce nf est pas à votre âge Qu'on entre en apprentissage Vous avez trop attendu Pour apprendre •.. La vieille on c!on retournant Marmottait oniro ses dents l * • ,fÂh.J vous ne .la baillez belle De me croire onooro pucelle Voilà cinquante et plus Que j'apprends à jouer de l'épinette, 59 ~ LE CORDONNIER PAMFHILE Le cordonnier. Pàmphile '/. À élu domicile Près du couvent de; filles Et bien il s'en trouva Ah; ah? ah, oh et bien il s'en trouva (bis) Car la gent monastique Jetait dans sa boutique. Les trognons et les chiques Restes do ses repas Ah, ah,,#.f. Un jour la soeur Jàvotte S'asticotait, la motte Avec une carotte. Grosse comme un bras Ah, ah .*•.•,♦■,.•■ Elle s'astique la tétasse , Sa mouille la bonasse Hais quêlqu'effort qu'elle,fasse •.: Le foutre"no vipnt pas .■• Ah, ah .:••• - Mais comme tout a :un terme Enfin jaillit le sperme Le een s'ouvre et se, ferme Et elle déchargea v Ah, ah *..♦ J 1 - 60 1 La soeur toute xmtonto j Retira de sa fonte I La .carotte écumante 1 ;" Et elle la Jota I Ah, ah • •*• ; I Par un hasard comique j La, carotte impudique 1 Tomba dons la boutique j De maître Barrabas I Ah, ah ♦ ♦.. Il dit: lrAh ! quelle, chance C*est' au jourd'hui"Dimandho Elle est à la sauce blanche Et cuippo il l'avala Ah, oh «.. -61- WS FILLES DE CAMABET < Los filles de Camaret se disent,toutes yierges(bis) Mais quand elles sont dans mon lit Elles préfèrent tenir mon vit Qu'un cierge (ter) Fillette de Camaret, où est ton pucelage "(bis) Il sfen est allé sur l'éàu ,v.,- Avec un beau matelot Il nage (ter) Mon mari s!en est allé à la peohd on Espace; (bis) Il m'a laissé sans un sou . — Mais avec mon petit trou J'en gagne (ter) Les riieuux ne notre lit sent faits de serge,crouge (bis) Mais quand nous sommes dedans La rage du cul nous prend Tout rouge (ter) • ' . Mon mari que fais-tu là, tu ne .porcès'ia cuisses (ter) Faut-il donc que tu sois aoul ' Pour ne pas trouver le trru qui pisse (ter) Le curé de Camaret à les veuilles qui pendent (bis) Et quand il s'assied dessus Ca lui rentre dans le'rcul - ' - Il bande (ter) ' '' . -* 62 - Monsieur lé Maire do Camaret a acheté un Sne (bis) Un Sne' républicain Pour baiser toutes les putains D1Bretagne (ter) Si les filles do Camaret s'en vont à la ' prière (bis) C'n'est pas pour prier le Seigneur Mais pour branler làprieur Qui bande (ter) Célina si' tu n'aimais, tu me ïairai des fouilles Et tandis: que 31les mangerais (bis) Ton prtit doigt mo chatouillerait • Les couillos (ter) La servante d1!!1 sieur 1* Curé à 1'ventre qui .' ' gargouille (bis) C'est qu'elle en trop mangé De l'andouille à M'sieur .l'curé D'iandouille (tor); Une simple supposition que tu serais ma tante (bis) Je te ferai le présont "' /; De l'andouille qui me pend Du ventre (ter), _ -. 64 - LA Fi22Ii> DU VIDANGEUR J » R.JFRAIN La femmes du vidangeur préfère à toute odeur L'odeur de son amant ;qu!elle aime épordument Ils étaient deux amants Qui ê1 rimaient tendrement Qui s'aimaient par devant, par derrière Ils étaient doux amonts Qui sf aimaient tendrement ■ Qui faisaient par derrière Ce qu'en fait par devant, La peuux de mes rouleaux \-.An Pour tous les caporaux La peau de mes roupottes Pour lfcaporal trempette La peau de mes rou^tons Pour 1Tcaporal clairon Ce qui pend par devant Ca s'ra pour l'adjudant Le reste de la boutique Pour le chef de musique Mes balles î mes balles f J!ai la eastapian danr le ventre Disait un curé à s^r: chantres A ses enfants de iioour i Deo Gratias (bis) J'ai du poil au cul, du pril au cul Bu poil aux fesses -: J!ai du pril au cul, du poil au cul J'ai du poil au con Le trou du cul toui déchiré, tout décousu, foutre ! L'autre jour l'idée n'est venue *' "~ Cre nom do Dieu v. d! en culor un pendu f Mais l'vont souffoJ.it dans la potence Voilà mon pendu qui no balance J*ai jamais^ pu l'onculcr qu'on volant Cre nom de Dieu, on n'est jamais content» Quand on "baise un con trop petit Cra.nom de Dieu on s1étorche le vit Mais^quand en baib^ un con trop large On no sent pas quand on décharge Et s1branler est bien emmerdant Cré nom de Dieu on n'est jamais content 1 En arrivant au Paradis J'ai senti se lover mon vit .J'enculai Saint-ïlichel Archange La Sainte Vierge et tous les anges ; Et si l'Ben Dieu ri1s'était pas cavale Cre nom de Dieu? je l'aurais :enculé ! 67- mS TROIS ORFEVRES Trois orfèvres à la Soint-Eloi ■ S* on .allèrent dincr chez un outre orfèvre Trois orfèvres à la Saint-Eloi S'en allèrent diner chez un bourgeois, Ils ont baisé toute la famille La mère au nichon Le père au cul La fille au con# REFRAIN Relevez la belle votre blanc jupon, Qu'on vous voit le cul, qu'on vous voit les fesses Relevez la belle votre blano jupon Qu'on vous voit le oui, qu'on vous: voit le con. La servante, qui avait tout vu Leur dit : "Foutez-moi votre pineaux fesses La servante qui avait tout vu • Leur dit : "Foutez-^noi votre .pine-. dans l'cul" ! Ils l'ont boisé.sur une chaise ' La chaise a cassé Ils sont tombés sans débander. Les orfèvres non contaits de ça Montèrent sur le toit pour boiser minette Los orfèvres non contents de- ça - Montèrent sur lo toit pour baiser le chat, - 68 - Chat, petit chat/ iiat. tu..mfég.yâ^ignes9 Petit polisson tu m'é^atigné^;-V;>-C;,v j Les roustons. \.- ^%'■/ XV Les orfèvres chezXl^patissrer Entrèrent pour mander quelques friandises Les orfèvres chez lèv.patissier "VV":\ Par les marmitons so rirent eneuler#| -. Puis voyant leurs vite pleins de merde :■' Il ont bouffé cà "v V En guise a'éclaira au chocolat. Les orfèvres .au mn ,ôx\ canon '; .. V Se retrouvèrent toun; à la frontière: Les orfèvres au ^o.n, du canon En guise de boulets lanceront des étrons'. ; ', Et bandant tous comme, des- carmes, A grands coups dn vits / Repousseront les ennemis» / /' * 6g ~ LE DUO DS BORDEAUX - 70 RE^MPT Taïaut, taïaut9 taïaut! Ferme ta gueule répondit l'écho, Le Duo de Bordeaux ressemble à son père Son frère à son père et son père à mon oui De là je conclus qu'lo Duc de Bordeaux Ressemble à mon cul comme deux gouttes d'eau. "Nom de Dieu disait la princesse En voyant la pino du baron J'aimerais, mieux l'avoir dans les fesses Que de la voir dan?; son pantalon* Chassqur as 'tu vu le trou de mon cul Si tu veux le voir tu reviendras ce soir Moi j'ai vu le tims je n'en ai rien dit 3i: tu vois le mien tu n'en diras rien# Le.Duc de Chevreuso ayant déclaré iQue tous les cocue devaient ôtre noyés : Madame de Chcvieuso lui a demandé S'il était bien sûr de savoir nager. La Duchesse de la ïrémnuille Malgré sa grande piété A patiné plus de paire de couilles Que la grande armée n'a usé d1 souliers. 71 ~ Le roy Dagobert a une pine on fer; Le bon Saint Eloy lui dit : "0 mon roi, Si vous m'enoulez, vous m'écorcherez" C'est vrai dit le roi, j'en ferai faire une de bois. r Si les femmes pissaient du vinaigre ^\s> Et ohiaient du poivre moulu La salade serait bientôt faite, Avec le cresson qui leur pousse au culg 9 - 72 LE POU il!' ^ARAIGNEE La tu, la tu m'emmerdes La tu, la tu refait chier Tu nous cnmmerdes Tu nous fais chier (bis) Et l'on entend Dans les champs Gazouiller les éléphants Et l'on entendDans le,?- fossés S'masturber les chimpanzés Et.l'en entend dans les plumards Battre le foutre à coups de brasuemards Et l'on entend scus,los ormeaux Battre la merde à coups de marteau. Non. non non non Saint Eloi n'est pas morts Car il bonde encore (bis) On jour un pou dans la rue Rencontra chemin faisa* Chemin faisant- Une ■■araignée Bon enfant Elle était toute velue Et vendait du verre pilé Pour s'ach'ter dos p'iits souliers. m M Le pou qui voulait la séduire ,: L'am'na chez l'nastroquet du coin • Troquet du coin Lui fit boirf sinçfr six -coups d'vik L'araignée ne fit qu'dri rire ; Lapaœvrette ne s'doutait pas Qu'elle courait ë 'son trépas» Le pou lui offrit une prise En lui disant d'un air joyeux D'un air joyeux- : !lColle toi iavoo ta Denise" ! L'araignée qu'on avait pas i Lui fit voir tous; ses appas ! ,',l. Le pou, une fr.anche oanoille Lui proposa trois francs six sious Trois francs six' sous "Ah qu'elle dit : C'estpas l'Pérou, Ce n'est qu'un fétu de paille Si tu m'donnais qu'at'sous d'plus Je te ferais voir Ir'trou de mon cul i Alors commencèrent las horreurs Le pou grimpa ^ur l'araignée Sur 1! araignée, V; .. '"^ - Il n'pouvait plus se r'tirer Tant il éprouvait d'bonheur, Aussi la pauvre araignée- ; Ecop'la maternité» " i:,^ ~ 75 - Le pèr1 d*r l1 araignée en colère Lui dit : "Tu m!as déshonoré Deshonoré Tu t'es laissée eneointer T'es aussi putain rqu*'-.'ta mère Lf araignée de désespoir - V ... S'est foutu quat1 coups d1 rasoir Le pou, le désospoir de-tins l1 fine S'arrache des poignées d1cheveux Poignées d1cheveux : Ah! qu'il dit "y a p'us d'bon Dieu" Grimpa sur 1d s tours de Notre Dame Et c'est là qu'il s'a foutu f Los cinq doigts et l'pouce dans l'cul ! (Largo et maSstroso) <d Alors les poux du voisinage jfe réunirent peur 1 ' enterrer Pour l'enterrer ku cimetière de Champerret Tout comme un grand personnage Et c'était bien triste à voir Tous ces poux en habit neiri OÛOuUp LE PLAISIR DES DIEUX ... , i k: *\^ "Du ïftoû Vuleain quand l'épouse mignonne v^a ,boxpnner loin do non. vieux sournois Le noir jaloux que l'amour aiguillonne Tranquillement se polit le diinois xW0±~eri dit-il à sa fichue femelle tïfe'mo fous bien do ton oon chassieux De mes cinq doigts je fais une pucelle Masturbons nous c'est le plaisir des Dieux!" Bast! laissons lui ce plaisir ridicule (chacun d'ailleurs s'éamuso à sa façon) Moi je.préfère la -manière d'Hercule . Jamais sa main no .lui servit de con. Le plus sal'conj la plu?- vieille fendas^e Rien ne résiste à;son vit glorieux. Nous serons fiers clo marcher sur ses traces Baisons, bai s on? c'est le plaisir des Dieux. ,4 Du Dieu Bacchus "quand accablé d'ivresse Le vit mollit et sur le con s'endort Soixante.neuf et le vit se redresse Soixante neuf ferait bander un mort Oh! clitoris ton parfum, de fromage Fait regimber nos engins glorieux A ta vertu nous rendons tous hommage. Camanuchons c'est le-plaisir les Dieux! 78 - Quand à Plu ton ave 3 sa large panse. Le moindre effort lui .semble fatiguant Aussi veut-il évitor la dépense Et fait suoer son pénis arrogant i % ,'.; Tout en rêvant aux extases passées Tous alanguis nous réjouissons ncs yeux Et laissant faire une mante empressée Faisons pomper c'est le plaisir des Dieux ! De Jupiter façon vraiment divine Le oen lui pue il .aime le- goudron;-.'!. ; ; D,un nid à merde- fl"fait un mtule à pine Et bat le beurre au milieu de 1* étron. Cette façon est cruellement bonne Pour terminer un gueuleton joyeux Après 1T dessert on s! on ouïe en couronne Enoulons nous c'est le plaisir des Dieux ! Au reste qmi qu'on fasse à sa te te Main, cons cul, beùohe au plaisir- tout, o§t bon Sur quelqu1autel du* en eélèbre la f $ te ... Toujours là-haut on or;t sûr du pardon* . Foutre et jouir voilà l'unique affaire Feutre et jouir voilà quels sont nos voeux• Foutons amis qu'importe la manière Foutons9 foutons o'ost le plaisir.des Dieux ! - 79 - LES COUILLES DE MON GR/USDwFEHE REFRAIN La bite, la bite (bis) C'est la bite à mon père La bite, la bite (bis) C'est la bite à papa Qui fait plaisir à ma maman A ma maman. Les souilles de non grand-père* Sont pendues dans l'escalier Et ma grand-mère se. d:ésespère De les voir se dessécher. •;. Car c'est la plus )?elle paire De toutes les couilles du quartier On peut venir les admirer Tous les ans au 14 Juillet. LE CHASSEUR D'AFRIQUE MaMan qu'est-ce qu'un pucelage La Allah, la Allah, la Allah Allah Maman qu'est-ce qu'un pucelage C'est un oiseau mon enfant (ter) Un oiseau qu'on met en cage Jusqu'à l'âge de quinze ans Ma p'tit' soeur qui en a treize L'a perdu depuis longtemps Avec un chasseur d'Afrique Derrière- le mur du couvent Le curé qui las vit faire A voulu-t-en faire autant Avec soeur Marie-Thérèse La supérieure du couvant La morale de cette histoire C'est qu'il naquit un enfant Cet enfant fut une fille Qui disait à sa maman •.. LES CENT LOUIS D'OR Un jour étant en diligence Sur une route entre deux bois Je "branlais avec assurance ïne fillette au frais ninois : J*avais retroussé sa chemise Et nis le doigt sur son bouton, Et le bandais nalgré la bise, A déchirer non pantalon» Pour un cjosurt d*heure entre ses cuisses In prince eut donné un trésor Et noi j'aurais, Dieu ne bénisse J'aurais donné ^ent louis d'or ! Las de branler sans résistance La tête en feu, la pine aussi Je pris sa nain, quelle indécence ! Et la riis en forne d'étuis Et je jouissais à perdre haleine Je déchargeais, quel enbarras «i Sa nain, sa robe en étaient pleines, Et ça ne ne suffisait pas, Sentant rallumer na fournaise, Je lui dit :!! Tiens, fais plus encore ! Sortons d'ici que je te baise, Je te pronets cent louis d'or!". ~ 83 ~ La belle alors toute confuse, Me répondit ingénuement : "Pardon, Monsieur, si je refuse Ce que vous n'offrez galamment Mais j'ai jure do rester sage Pour mon fiancé, pour mon nari, De conserver mon pucelage, Il ne sera jamais qu'à lui". "Tu n'auras pas le ridicule, Dis-je, d'arrêter mon essor, Permets au moins que je t'enoulë, Je.te promets cent louis d'or!" Au premier relai de la route, Nous descendîmes promptement : "Au cul, il faut que je te foute Ne pouvant te foutr' autrement". Dans une auberge, nous. entrâmes, Tout s'y trouvait, bon feu, bon lit, Brûlants d'amour nous nous couchâmes, Je l'enculais toute la nuit. Afin de changer de jouissance, Je lui dit : "Tiens, fais plus encore, Livre ton con et tout d'avance, Je te promets cent louis d'or!" "Je veux bien, sans plus de harangue, Dit-elle on no suçant le.,gland, Livrer mon con à votre langue Pour np pas trahir mon serment". Aussitôt placés tête bephe, comme deux anoureux dans 'lé'lit, Avec ardeur, noi jo la lèche, Pendant1 qu?elle "me <suçait le vit. . Mais la voyant bientôt pâmer'' Je pus lui ravir son trésor ' Et je ne dis la pine entrée : "Je gagne mes cent louis, d'or!" Huit jours: après;.cette-aventure, J'étais do.£etour à Paris, Ne prenant plus de'nourriture, Restant tout pensif au logis A la gorge ainsi qu'à la pine, J'avais, c'est, inquiétant,, : Chancres, boutons et on l'devine, Un' chaud'pir.se on même temps. Prenant le parti le plus sage Je ne transportais chez Ricord, Qui ne dit : "Un tel pucelage, Vous coûtera cent louis d'or!". 85 - LEd MOINES DE SAINT -■ BEHTARDIN . '.REFRAIN Et voilà la vie, la vie, la vie, la vie chérie Ah! oh! (bis) Et voilà la vie que tous les noines font. Nous sonnes les noines de Saint Bernardin (bis) Nous nous couchons tard et n! levons pas matin Le prieur-x-ous engueule, nais nous nous en foutons, Voilà qu'est 1?on,: est bonf est bon» Pour notre dîner, de bons petits oiseaux Que l'en nonne cailles, bécasses ou perdreaux De l'andouillett' de Vire et du p'tit vin d!Mâcon Voilà qu' est bon, est bonP est .bon4- , Pour no"us coucher,, dans un lit aux draps blancs Une jeunenonne de quinze à seize ans Qu'a la taillé, bien faite et les nichons bien ronds Voilà qu'*est bon, est "bon, est bon* La nuit tous ensemble nous nous enculons Jusqu'au jour ensemble nous buvons, buvons Puis après sous la table nous roulons et domons Voilà qu'est bon, est bon, est bon, - 86 ~ Si c'est là la vie que les noines font Je ne ferait noine avec ma Jannetcn Le soir dans na chaubrette, j'iiu. chatouillerai „ ' 1! bouton Voilà qu'es± bon, est bon, est bon* - 87 - LE MOUSQUETAIRE Air : "Il était une bergère" (Tous le"s couplets sont sur le type du premier1' Quand j'étais mousquetaire; La rage du cul La rage du con La rage du jus De mes noirs roustons Quand j f étais mousquetaire, J'allais toujours bandant, Eamplan J!allais toujours bandant. Je m'en fus au bordel ... Peut-on foutre en payant ? ... Oui- m'répond la maquerelle ... Prenez cette belle enfant ... Je la prendsy je la baise ... Je la fous toute en sang ... Ah ! que dira ma mère ... En me voyant en sang ... LES KAIMES » y. 4 Les p'titesfilles qui vont à la messe Se mettent dès ooussins sous les genoux Elles f'raient mieux de se les mettre sous lies -S-.-:--- fesses Afin de mieux, tirer un coup Grand Saint- Symphorien ( v Confessez nos femaes ( "bis Confessez les bien (bis) ( La duohesse de la Trémouille Malgré sa grande piété A patiné plus de paires de couill&3 "| Qrae la Grande Armée n'a usé de scaœ-jxLèds S!! Les duo de Dampierre ayant déclaré Que tous les oocus devraient être noyés, Madame de DampLerre lui,a demandé S ' il; ; était bien sûr de sav oir ; nagé; ! M Si les femmes pissaient du vinaigre Et liaient du poivre moulu ; La salade serait bientôt faites Aveo le cresson qui leur poussa au oui. Grmid Saint Symphoii en / Confessez nos femmes Confessez les bien . Confessez les bien. - 90 « LE BRIGADIER PANDOR —=:«'-=>— ——^r*-=rx- r>» =>- r>» zd—rx» Bitez moi, Pandor.! Vous êtes bien vaginal ce ma tin # Où allez vous si pédérastoment En testioulant de la sorte ?;\ "Je m1 on vais sur les foutrifications, On y-jouit, paraît-il, d'un priât'Se vulve Particulièrement olitorosquc." Bitoz/m'i Pandor Eculeur compto^-vous rentrez ? Sur les souilles de bézouille et bézouille et demi Si j& n'ai pas trou du cul passion Eh bien! bandez-bien PandorI L&3 80 OBA&SEmi À lVruvortur:> do la chasse Dans un dhaio.au rioho on gibior Riche ai gibior Une mrquis* Sans héritiers Invita dos shassours on masse i^Lors vit-on plus d'un chasseur Àçcouru son? qufon lo lui dise Et à la liasse do 3.a marquise Roua étions 80 cha^sburs 80 80 80 80 ohe-sours 80 80 30 GO chasseurs Qui n!avirnf pas pour ! Encouragés par notre belle îîous abattions plus d'un faisan Lorsqu'un ncaiglior effrayant Tout à coup s'élança sur elle Malgré sa force et sa vigueur Et pour déf xidre la marquise Nous le forçai!1 à lâcher prise Nous étiens ... etc... Allons chasseuis vite on oampagne Dit ■■■■la narquise il faut partir Il suffit pas d^ se réjouir Il faut enooro manger ot b^ire Au milieu dos chants et dos cris La table fut aussitôt mise Et à la tabl1 do la narquiso Nous étions «♦♦ etc.•* ~ 93 - - 94 Lorqu!un nous servit lo chompagne Lgs coeurs se ...dispos1 à l'amour Chacun voulut plriro à son tour À notre illustre compagne Chacun d!ollo obtint unT faveur Si bien que la daine était prise Et;dans lo lit ce la marquise Nous étions ... 09 etc.... Pour fêter- oc jour mémorable- La marquiso neuf moir- plus tard M s au monde un jeune bâtard Qui aujourd'hui osl redoutable De sa force ignorent l'àùteui* Il voulut que 1* m.l'on intruiso "Tu es" dit la marquise' L'enfant des'89 chasseurs... qui n'avaient - 95 ~ L'HOTEL DIEU REFRAIN Sacré nom de Pieu, quelle allure, nom de diou (bis) Sacré nom de Dieu, quelle allure ! (bis). bis Au fond de l'Hôtel-Dieu, nom de Dieu ! ( Y avait une surveillante ( Qu'avait tant d'amoureux, nom de Dieu ! Qu'elle n'savait lequel prendre, Ah! Nom de Dieu ! Qu'avait tant d'amoureux, nom de Dieu! ( , . Qu'elle n'savait lequel prendre, ( Lfintern' de garde, un jour, nom de Dieu ! En mariage la demande, Ah! Nom de Dieu ! L'intern1 de garde, un jour, nom de Dieu ! (bis En mariage la demande, ( Le pèrr ne d'mande pas mieux, nom de Dieu ! Ha mère est consentante, Ah! Non de Dieu ! Le pèr! ne dfmandr pas micux^ nom de Dieu ! ( La mère est consentante, ( Malgré les envieux, nom de Dieu ! Ils coucheront ensemble Ah! Nom de Dieu ! t 97 - Malgré les envieux, non do Dieu ! ( bis Ils coucheront ensemble, ( Dan? un grand lit d1 milieu ncci.de Dieu ! Tout garni de guirlandes, Ah ! nom de Dieu ! Dans un grand lit d'milieu, nom de Dieu ! Tout garni de guirlandes, Aux quatre coins du pieu, nom de Dieu ! Quatr1carabins qui bandent Ah ! Non de Dieu î Aux quatre ceins du pieu, non de Dieu ! Quatr' carabins qui bandent, La belle est dans le pieu, non de Dieu ! Elle écarte Ion jambes, Ah ! non de Dieu ! Vis bis M A R G 0 T Un jour à la barrière Margot, Margot Tortillait son derrière Bien beau, bien beau» Doucement, je mfapproche Et puis, et puis Les deux nains dans- nés poches, JTlui dis, j'iui dis : 0 na beauté divine veux-tu, veux-tu Que je te fout1 m. pine Dans l!cul, dans lfcul„ Monsieur, n1 ré pondit -elle, J'peux pas; 3fpeux pas Je suis encor* puoelle Hélasj hélas ! Puisqu'il faut que j'connenoc Eh bien, eh bien, A toi la préférence Pour rien, pous rien. Je la crus sur parole Jésus, Jésus, Elle avait la vérole Je l'eus, je l'eus. Et aa pine nnoore vierge Coula, ooula, Ni plus ni moins qu'un cierge Voilà, voilà. Depuis cette aventure D'anour, d'anour, * Je ne lave au neroure, La nuit, le jour4 Depuis 00 jour néfaste, Mon Dieu, non Dieu Je n'ouin fait pédéraste Ca vaut bien nieux# - 101 - PLAIdIR D'AMOUR Pine au cul madone Bertrand Vous avca'ûes filles (bis) Pine au cul ïladame Bertrand vous avec des filles. Qui ont le cul trop grand. Elles ont V cul comme des narrai tes Pour les .enfiler faut des.grosses "bites Pine au; cul madame Bertrand1 • Vous avez des filles qu'ont Vcul trop grand* Plaisir dîneur no dure qu'un instant Chagrin d'amour dute toute la vie. Arrêtez, arrêtez cocher j'ai un poil du cul Pris dans la portière Arrêtez, arrêtes cocher jfai un poil du cul Pris dans 1!marchepied Paut-il pour un poil de cul, pour un poil de con Paire tant do manière Paut-il pour un .poil,do cul, pour un poil de con Faire tant do façon Plaisir d'amour . ## Le trou trou de grand* maman Fait lever là bîte (bis) Le Troutrou de grand1 maman Hait lever la bite à grand papa* Plaisir d'amour ... Ma mère j!ai l'con qui baille Ma fille fous-y de la paille Cré nom de non quelle drôle de façon De s1fourrer ainsi do la paille dans le con Jf aimerais mieux un "bien gros vit Que toute la paille du pays. Plaisir d * ancur •... Tiens Marie, voilà cent sous Pompe-moi l1 noeud Eends-noi trois francs Mais non Monsieur c! est "bien trop peu Pour pomper un si beau noeud Plaisir dtanour ... Les femmes ça pue, ça sent la charogne Les femmes- ça pue, ça sent la morue Y.a que l'treu d'mon cul Qui sent l'eau de Cologne Y a que lvtrou d'non cul Qui sent la vertu, Plaisir. d! amour ... Si jfte foutais ma pine dans l!cul Prendrais-tu mes couiUes pour des mirabelles Si j'te foutais na pine dans l'cul Prendrais -tu mes oouilles pour des prunes au - ±04 -r Plaisir d'amour ... Tripote-moi la Mte avec tes doigts Ah! la belle bibite Tripote-moi la bite avez tes doigts Oh! .la belle bibite en bois Bite en bois, ad bibitum Plaisir d'amour ... SPu l'as voulu t'en plains pas Fallait pas y aller, ma p'tite Msotte Tu l'as voulu t'en plains pas Fallait pas y aller avec les doigts. - 105 - QU'ON M'APPORTE Au paradis guit jours avant sa faute Le père Adam bandait comme un sochon Dieu qui lo vit lui ota une côte Qu'il façonna pour faire le pronier... . KM Qu'on apporte qu'on apporte Des femmes et qu'on les deshabille Qu'on apporte qu'on apporte Dos fomnos ot qu'on les fouto à poils Comment Noo repoupla-t-il la terre Avec sa femn' dons leur uniqu' maison Y en a qui disont que c'est par la prière Moi je prétonds que c'est à coups de ... Pourquoi David prit-il une puceUe Dans sos vieux jours et froid comme un glaçon C'est pour avoir en dormant avec elle Le doux plaisir de lui tater le ... 3 émir ami s la rein' de Bablylone Sémiramis la reine aux blancs nichons Fit appeler Arohimède en persoB&e Pour mesurer la largeur de son ... Quand Zénobie la reine de Palmyre Fit à son nom subir une ablation Eli' répétait avec un doux sourire Jfaime bien mon nom quand je l'ai dans le ... - 106 - Quand Ménélas eut reteurvé Hélène Dans un boxon de l'antique Ilion Peur s'assurer qu'elle lui serait fidèle Dvun cadenas il lui boucla le 9m, Pourquoi Enée.a t-il quitté la Grèce Pourquoi César franchit le-Rubison . _ - C'est'quf si les Grecques avaiont de belles fesses Los Italiennes ont de pltfe ■jolis «.. Lo vieux... Prian du haut de ses tourelles do masturbait' ceoiie un foutu cochon C'est qu'il avait, vu là-bas dans la plaine "Dos .feixios nues qui s'astiquaient le ... Pourquoi Platon n'avait qu 'taie soûl1 c oui lie r: • Pourquoi' Platon n'avait qu'un seul rousten C'est que la nèr! de cet illustre andouille Avait'gardé l'autre au fond de son *»• Pourquoi Paris en jugeant les déesses . Héprisa--"t-il et Pallas et Junon C'est que de? deux il ne vit que les fesses -: Et que Vénus lui présenta le .•« ",- Napc lé on épousant Joséphine Tout l'nend' disait qu'il avait bien raison Car l'empereur vait une sacrée pine Et Joséphine avait un sacré • • ♦ ¥apr lé on heamé de renommée Conquit l'Europe à grand coups de canon On lui offrait couronnes et trophées Et Marie-Louise lui offrit son ».♦ -. lue - Los imbécil's ainsi que les vicaires Auraiont voulu interdir1 ma chanson Ni l'un ni l'autre ne serait sur torre 61 leur maman n'avait prêté son ... Allons vieux frère encore une bouteille De t brn vin qui fair perd' la raison 3i l'on ~n bcit on peut fair' des merveilles di l'en en bcit trop on s'endort sur le ... - 109 - ST£KCEà A dOPHE Tu m'demandes tes : lettres, ta photographie- Ton éponge à cul, ton bidel d'métal Je m'en fous pas mal, ingrate d.ophie Et j'te renvoie l'tout par colis postal* Tu veux faire la peau,, un me lier dfgrenouille, Et me remplacer par d'autres amont s Mais, veio^tu, j'm'en fooa come d'ia peau d*mes couil3.es Car tu pues du bec et l'as 1' xn trop grand. Je t'ai rencontrée un .soir dans la rue, Où tu dégueulais tripeo et boyaux Ah! si j'avais su qu'tu n'étais qu'une grue J1 t'aurais balancée par .V trou deo geg'nots. Mais j't'ai ramassée,. Dixi, que j'étais bête Car le lendemain je ri' suif aperçu Que j'avais .des morpions des- pieds à la tôto-, Des p^ils du nombril jusqu'au trou du cul-, Ei le lendemain t'avais tes aifaires Le sang inendait la hoiibr ) a loucher? Nfa-t~il pas fallu pour te satisfaire Que j'te liche le yxi pour mieux le sécher ? En ai-je bouffé de tes portos blanches ! Mais quand j'ai voulu tirer un bon coup, Tu ne gigotais pas plus qu'une planche Et je n'esquintais sons rien faire du tout* Et puis tu avais des passions honteuses J'en rougis encore rien que d'y penser Et pour apaiser ta chair luxurieuse À tous tes caprices m'a fallu céder. ;.: N'a t-il pas fallu que ma langue se perde Dans les plis profonds de ton trou de cul Je lfai retirée toute pleine de merde J'en ai dégueùlé, tu n'en as rien su. Adieu pour toujours, va, tu me dégoûtes, De toi, je me fous, je sais me branler . Je ferai gicler mon sperme goutte -à goutte Plutôt que d'revenir te caramboler. Oui, c'est bien fini, je le l'dis, sans glose, N'ayant plus d'putain, je n'serai plus cocu. Et si par hasard, je te fais quelqu' chose, Ce n'sera jamais qu'un coup d'pied dans l'cul. 112 - TROU NORMAKD Aaiëf il existe un nouent Où les fennes, les filles et les nères, Anis, il existe un moment, Où les ferxies ont "besoin d'un ornant Qui les chatouille Jusqu'à go qu'elles nouillent Et qui les -baise Le cul sur une chaise, Mes anis, pour bien chanter l'amour Il faut boire (ter) Mes amis, pour bien -monter lfanourf Il faut boire, la nuit, le jour, A la santé su petit conduit Par où Margot fait pipi. Margot fait pipi par un petit concon, Par son petit duit duit, par son petit conduit A la santé du petit conduit Par où Margot fait pipi. Il est en face du trou Lai* trou, Laî trou, laï trou la 1ère Il est en face du trou Laï trou, laï trou, laï trou la 1ère. Il est en haut du trou, etc.* Il est en bas du trou, etc ••• Il est à gauche du trou, etc....; Il est à droite du trou, etc... Il est très loin du &rou, etc.... Il est tout près du trou, etc., Il passera par le trou, ctc«»« Attention! verre aux lèvres! Un instant do silence! Une minute de recueillement! Une seconde d'abnégation! Verre aux lèvres! Cul secf 113 - Il est passé par le trou, etc... Il descendra par le trou, etc..» Il sortira par le trou, etc ... TRAINE TES GOUILLES REFRAIN Train1 tes souilles par terre ïrends ta pine à deux nains, non cousin, Nous partons on guerre, A la chasse aux :putains. Ce n'est pas par le .cul One se frnt les cocus Mais c'est bien par le con Que los cocus se-font. Re, re, ro, regarde donc; . Cré non de non,, La petite dame du second V Qui est à son balcon Qui a les yeux fixés dorme un canon Sur le deuxième bouton De. Lion pantaki, de. non pantaka, De non pantako, de .non pantalon. - 115 - Re, re, re, regarde donc, Cré non do non Les beaux nichonc ! Cré non do Dieu, ~" Les jolie yeux ! Cré non -à1 un chien, Jfla boiserai bien Et tbij ot noi, .ça ferait du bien ! Elle est puecdle (bis) Nony non, non, ce n'est pas vrai;, Y at-il des cocus parmi nous ? Lesquels eent-ce ? (bis) Y a t-il des cocus pami nous ? Tous, tous, tous ! - 116 - LE PERE HJPMLOUP REFRAIN Zut. Merde, Pine et box on L*Père Dupanloup est un cochon L'Père Dupanloup dans lf utérus Etait déjà si plein d'astuces Que dans le ventre de sa mère Il suçait la queue do son père, L'Père Dupanloup dans son berceau Bandait déjà canne un taureau Pour satisfaire ses caprices Il enculait sa vieille nourrice L'Père Dupanloup 1! 14 Juillet Alla s'promener à dos de nulet Pour que sa fête soit complète Il encula la pauvre bête - 117 L'Père Dupanloup monte en bateau Mais il avait l'système si beau Qu'il avait bien sent nille grenouilles À lui sucer la peau des -souilles L'Père Dupanloup nonte en ballon Mais il avait l1système si long Qu'à trois cents mètres de l'atmosphère La peau de ses cquilles traînait par terre L'Père Dupanloup dans un wagon Se conduisait comme tin cochon Passait sa bito par la portière Il éborgna le gard'barrière L'Père Dupanloup à Zanzibar Voulait montrer tout son bazar ' • Mais empêché par une patrouille Y n'put montrer qu'une de ses couilles A la prise do la Smalah Dupanloup était encore là On le chercha devant derrière Il enculait les domadaires A la bataille a'la îioskeva C'est encoro. lui qui nous sauva Il n'eut qu'à montrer sa biroute Pour mettre les Russes en déroute. Pendant la grève des tramways Il montra bien ce qu'il était Pour aiguiller les grosses machines Il appuyait avec sa pine. L'Père Dùpcnloup quand il fut vieux ïïe bandait plus qu* un jour sur deux Il se coupa les couilles de rage Pour en faire un sas de voyage L*Père Dupaaloùp dans son cercueil Bandait encore comae un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essayer d*soulever 1Tcouvercle, L'Père Dupanloup au Paradis Voulut baiser Vierge Marie Cre non de Dieu dit 1!éternel Prends non ciel pour un bordel. - 120 - ~ 121 - ALLONS A ïl'iooUK Ils étaient doux orienta Qui s ' aimai ■■ nt. tendrement Qui voulaient voyager Mais ne savaient xrxiont Qui voulaient voyager Mais no savait oemmont Le vit dit au yn ; Tu seras bâtiment Je serais la grand mât Que l'on plante dedans Mon reus ton de gpnzho Sera lieutenant Les peils de non oui Seront les hantons Et les morpions Grimperont dedans La peau de mes eeuilles Fera veile au vent Le trou de mon xil Soufflera dedans Sac^ré nom de Dieu Ca puera "bougrement. « 122 ~ LA SALOPE Il était une fillo Qui s'appelait Suzen Et qui aimait à rire Avec tous les garçons ! RSFIiAEN Ah! la salope 7a laver ton cul malpropre Car il n!est pas propre tirelire Car il n'est pas propre tirela (bis) II Et qui aimait à lire Avec tous les garçons Mais à force de rire Son ventre devint rend. III Mais à force de rire Son ventre devint rond Sa mère lui demande Qui tra fait ça Suzcn ? IV Sa mère lui demande Qui t!a fait ça Suzon ? C!èst le fils du gard1barrière Par derrièr! la maison» - 323 - C'est l'fils du gardbarrière Par dorrièr1 la maison Il a mis noun ma robe ■ In gros "bâton tout rond VI - 124 - LE MUSEE D'AIEîMEd Air 2 "potit navire" mmuLE Et les rc ustons, tcn, tcn du pèie Plat en (bis) Dans du o^ten,,* Hydrrphi......,..le# 4 I Vcur- verrez coi musée d'Athènes Un brut d'ia quouo à Démos thènes, II Vous y verrez dans une vitrine Trois poils de cuX à Prcserpine III Vous y verrez Junon, Hercule Photographiés quand ils s' eneulent IV Vous y verrez le discobole La pine rongée par la vérole V Vous y verrez la chaste Diane Le con bouche par une banane VI Vous y verrez la belle Hélène Lorsqu'elle on a la bouche pleine - 125 - 126 - VII Vous y verrez Aristophane Quand il se p'lit la banane VIII Vous y verrez l!bel Alcibiade Qui lire son, eeup en zxnq saocades IX Vous y verrez lfgrand Périclés Les reupettes noyées dans la graisse X Vous y verrez le visn.1 Hpnère En itraia-d!cnoulor sa belle nère XI Vous y voirez le père Ulysse îïi train de soigner sa ohaudo pisse XII Et l'idyllique Théoorite Dans l'oul d'un bouc poussant sa bite XIII Vous y verrez l1cochon dr.c5corate La main dans sa probe qui s1 la gra.tte XIV Vous y verrez une des fesses De dapho la belle poétesse XV Vous y verrez dans une onphere Un peu de foutre au vieux Nestor XVI 7"ii y verrez' un puvOaga Koi:iific dejir un r-rx^r pnagep - 127 ÎE6 FlLL^o ;„.: L_. ROCHELLE Les filles de La Reehelle La .Allah, Allah, AU ah. 0 Allah:9 Allah, Lep filles de La Rochelle Ne ©ont pas bégueulofe du tout Elles portent des ?Jiomisettes La Allahs... Elles partent C. ■■. herd.settes Qui nMeur arriv: pas -aux g'nôux Le tailleur qui les a faites La Allah,,. La tailleur qui 3c s a faites A regarde par en d,p-sous.« jfel a vu une ehapolle La Allah,••• Il a vu une Chapelle (jui n'est pas eelle d^ Saint-Oloud * £our entrer dans oette ehapelle ici Allah, •♦. Pjbur entrer-" dans setto ehapelle Ij faut se mettra à genoux. il faut présenter un vierge la Allah,*.. Il faut présoïlor "un derge Qui n'ait pas de ne-iie au bout» - 128 ~ Oar s'il y avait une mèche La Allahe., Car s'il y avait une mèche Ga fouirait le feu partout. Et les pompiers d!La Rochelle La Allah..... Et 1)0 pompiers d!La Rochelle N'en vi on ciraient jamais à bout. Et les p!tits gars &rLa Rochelle' La Allah.. » Et los p'tits gars d'La Ro-holle Pourraient plus tirer leur »ooup# - 129 - £ BRABAIïOOM-J D'UH-J PUïAffi Je ne Souviens Itrsquo j'étais jeune fille Qu'un jeune gxrçon qui passai! par b'stihour Me trouva, si jeune et £i gentille Qu'il nie fit Vcq-t sa grosse pine en chaleur Et tout à coup ^ous non jupoon s1 élan ce L'énorae queue du1 il tenait à la main Il déchira mon vraie d'innocence Voilà pourquoi j.$ mo suis fait putain (bis) Je ne sais pas s j ' étais un pou coquine J'aimais déjà mi'on no chatouille le bouton J'avais gou^/de ce 'ixn ju^ de pine J'avais reçu Au foutre daias non con J'avais baisé je n'étais plus pucelles Je ch élis sais le. mciior do putain Plus je baisais plus je devenais belle Voilà pourquoi jo no suis fait putain.(bis) - 130 Quoique ge_ no s^is qu'une fille publique J'ai de l^aneur et do l-1 humanité ••■ T'^ut citoyen de notre libre Belgique Pourra, baisers, jouir en liberté ; Pour de l'argent le riche aura na^ f^nte ■■ Le pauvre lui pourra baiser pour rien Peur soulager. 1 ,hunani"té souffrante-'- VodJ-à pourquoi je no suifi fait putain» (bis) -.131 - L«INT.^RÎllïIÛNALt; DÙ6 i^lJIiuïîo France Cfest Thérèse qui; rit quant on la baise Latin .Régulus voulut qu'on âa lui suée • Espagne C'est France donnez qui bande à l'aise Puisse Tu te Berne9 l'aura pas nun irou d'Bâle Angleterre Mas ter Eitt se branle5 se branle le bite Allemagne Baisse ta gaine Gre1 jlion que j1 baise ta croupe Pologne Ladislas s* lave la pine au whisky Bulgarie Romanoff suée la pirm au sous off Russie Dinitri qui trai.no ses veuilles en ski duède Lève ton pull que jfplrto ton avant scène - 132 Italie C'o-st Lolo qui est ravio au lit. Madagascar Bando bien fort car .ta nana arrive Israël BoniiG 1t.ii zeb Jacob que j'tel aviv Chino Li oali sa bite en chiant d'osus : Japon Qui c'ost-y qui m1 a rais ça au oui Ccngo Li méchant blano bais'fournie à Bamboula» - 133 - DAKd UNE TOUR DE <,ONDE£d Dans une leur do Londres Y*a dos morpirns qui m'emmerdent la nuit dans bruit Dans une trur de Londres Y1 avait un prisonnier (bis) Y'avait un prisonnier La pine au oui les mouilles pendantes Y'avait un prisonnier La pine au oui bien enfoncée. Ohé, Ohé, Ohé ! Il no voyait personne • •♦ Que la fille du geôlier (bis) Un jour il lui demande La elef pour aller ohier (bis) Il s*assit sur le trône Il se nit à ohier (bis) En attendant qu!ça sëohe Il se mit à ehanter (bis) J*emmerde les gendarmes Et la maréohaussée (bis) Les gendarmes l'entendirent Et vinrent le truoider (bis) La nirrale de l'histoire C'est qu'il ne faut ohier dans avoir de papier* ¥56 - ■:-■: ÏÙ6 EïTO>IiH!fc> J)È FIUÏOS BICFRâffl Ohé! ohe! Vivent les étudiants do France Ohé! cité! Vivent le s étudiants fronçais Lo^ ferjnes. dr>s étudiants Sr nt iiaudoe oonna- la "braise • Quand elles nVont■.pas d'aiiants Elles prennent des bâtms dT ehaises, Nous irons m bordel Nos père y ail aient bien Enoilor les naqu1relies Et baiser les putains. Nous irons à l'église Nos pères y allaient bien En.ou.ler la maîtrise Et branler le saoristain, Quand nous irons en Chine Jjes femmes des mandarins Nous cu serons la pine Au son" des tambourins. ai ta femme est gentille Bourgeois faut la prêter ■dinm gare à'\ta fille-/ Elle se fixa violer, Si le bourgeois -rouspète Il se fera cirer Cirer sur les reupottes Jusqu'au jugement dernier, 157 - l: femi-ïh] du roulier Il est minuit La femme du roulier S'en va de poria en porto, De taverne on taveïïie Eli1 cherche soir mari . ïireli Avec une lanterne Madam1 l'hrtesso Ou e-°t d'-ni mcn nari lrn Liari est ici Il est . àcxiF la f euponte Il y prend sos ébats Tirola Avec nrtro servant;). dalaud -'d'ivrogne Pilier do cabaret Tu os là qui te saoules Et qui fait ripaille Pendant que tes enfants Tirolan dont y- uchés sur la paille El toi la belle Aux yeux do merlan frit Qui m'as pris mon mari Je vais to prend1., mesure I),un! bonn1 culett' de peau tfirelo "Qui.ne craint pas l'usure/ -.139 Tais toi, na femme ,> toisâtoi Tu m'fais ehier Dans la berm1 r où été Est-ce ainsi qu'en s1 comporte ^'to fous mon pied dans lfcul
~ 140 ~ - 141- Cette fois jo soîif Mon qultu nTlas nis Ce nrcst plus ton p'tit doigt qui Et1 chatouille Je sens ton nonbril contre lo mien Et la chaleur de tes ooui3J.es Ton doigt n'était pas si nouille Il entrait et roso-rlait'sans cadence Maintenant o!os1 bien plus réguler Ah îlcn de Dieu, ah nom de Dieu ! Quelle jouissance ! - 142 - LA POMPE A MËHBE Et puisqu'il faut que ri on n1 so perde Dans la nature (bis) Où tout!est bon (bis) Amis pressons la pompe à merde Le jour paraît à l'horizon* Parlé : Faites avancer la prmièro vriture Vérifier les manomètres Renverser la vapeur En avant tout doucement ! la Pompons la merde9 pompons gaiement- En envoyant s'faire foutre ceux qui n* sont pas contents ! En passant place do la République Quand 1*petit jour xmaence à se lever On entendit un grand bruit métallique La pompe à merde se mit à fonctionner^ rioupo à l'! oignon, bouillon démocratique Perdreaux truffés du faubourg rit Germain Yous serez tous c'est une li physique Beuffes un jour chies le lendemain. Fille de rêl do 1|â. beauté si fi ère Tu dois chieJ^fSStei«Dieu l'a voulu Ton cul rayai comme un ml prolétaire A la nature doit payent son tribut, Humble ouvrier, ta modeste cuisine Te fait du riche envier les festins Console toi les produits qu'il rumine îï-.i re vendrons pas plu,"7; -»,h:;rs au ■ les ti l?\ <."* & ^ c - 143 - ~ 144 - Puissants du jour qui bouchez vos narines Qjiiand nous pompons le fruits de vos excès àl nous cessions do vider vos latrines Que sentiraient vos splondides palais ? 0 vanité dos parfums de ce monde Roses, jasmins, qu'êtes vous devenus ? Vous embaumiez à cent lieues à la. rondo ; La merde passe et vous ne sentez plus# Nous voudrions bien que le canon tonne En proclamant la patrie on danger Nous saurions tous, en vrais fils do Bellone Mieux que Cambreraie emmerder 1T étranger. Dieu pour nos sens créa, los fraîches roses La papillon-, aux'brillantes couleurs Les gais refrains pour les esprits moroses Et pour nos culs il fit les vidangeurs NINI'PjISII DE CIIIEN Quand elle était polite Le soir elle allait A mainte-Marguerite Pour se s os .saler Maintenant qu'elle est grande Elle fait le ircltcir Avec toute la bande A Richard Lenoir* Elle a la peau douce Aux t-achos do sm Une odeur de rcuoso Qui donne le frisson Et dansées prunelles Aux tons vert de gris L'amour é tin celle Dans ses yeux d'r'uris, Quand le soleil brille Dans ses cheveux roux L* génie d*la Bas"ii!lo Lui fait les yeux ci: ux Et quand elle s1 promène 8ulT bord de canal -|T .....-- -Tout 1? quartier s-1 ramène Du bout df l'arsenal, - 146 - Et le gars qu' ollo aime Qu13llo a dans.la poau C' est Bibi la crème Paroo que c'est im homme. Qui n1a pas le foie blanc Aussi faut vrir comme Nini l'a dans l'sang REFRAIN A la Bastille On l'aimo bien Nini poau do chien Elle est si belle et si gentille Qu'on l'aine bien qui ça ? Nini pe.au de ah ion ou ça Y A la Bastille. - 147 ~ LE (JURE PIEdAU Je vais vous raconter L'histoire De Pineau curé do :h ^z nous (bis) Rjioau ml papa,, Pineau cul maman (bis) RLneau cure do chez nous (tais) Monsieur 1* curé est un saint home C'est un compagnon do Jésus C'est un oon papar c'est un c on'maman C'est un compagnon do Jésus. Monsieur 1'curé a d'-s calottes Des calottes do drap noir. Monsieur 1'curé a dos plates bandes Il en cultive des fleurs. Monsieur l'curé a une foniaine Au bord d'elle il va s'asseoir* Monsieur 1'curé a un caresse • des rrues pètent our l; pavé. Monsieur l'euré rouf-: on chaire don grand vicaire le suit. Monsieur l'euré dii au vicaire d or tons z'observer le couchant,.. Monsieur l'euré aime Ion Anglaises Pour leur sin.,. gularité* Monsieur l'curé aime les chinoises Pour leur corn,*, préhensivité.. Qui est-ce qui a fait cette chanson, C;est Pineau le curé de chez nous. BANDAIS-TU Refrain I Bandais-tu, bandais-tu fort ? I Quand tu pelotais les nichons d!Adè| Bandais-tu, bandais-tu fort ? I Quand tu pelotais ces. divins trésor! Si tous les pavés étaient des birôutes I On verrait les femmes s*coucher sur les routl Si les cons poussaient comme des poçme de tel On verrait les pines labourer la terre I Si les cons nageaient comme des grenouilles I On verrait flotter bien des paires de couilJ Si les c-ons volaient comme des bécasses I On verrait les pines "partir à la chasse. I \ . v -■• '\ - 150 ~ 'FRùM GDILLAWEl-IiS Frère Guillaunetto Quand tu renernfr as une filloîta Que fais-tu ? ÂLien Ja l'emmena dans Lia ohanbretto Domino mine,. domine rainette Je m'emmène dans ma ohambratte Domine. Frère la Guil3.ouinette Quand tu ran entras uno fiLlott© Que iu 1T emmena d;ms ta iiaiïbrette Que fais-tu ? Amen. - 151 - Je décharge dans sa '; raque tto Je tira una première sraiapette Ja tire une deuxième trompette J*sans lfBai Dieu èour mns roupattes Ja m1 fais faire una petite lidh.ette Ja lui fais una p'tite min3tte Je lui fous dans l'treu qui pète Je rrtira'Lia p'tito bistreuquette • Puis je la-baise an levrette J!lavo la belle danc: la cuvette Jg Ja J1 demande parclcr -u-us je ±a- oai^-a an ■j.ovraxi'G ^v r'iavo la belle doxifi la *nivette ^ ? fe-m'l'essuie danr la soiriel-iof?^ / ra bois l!eau do la eurvotto /A messe Ja TeiïiQTiho une -autre nonetto \ Je reeommenoe 3.rhistoriette, 152 ~ MINUIT JHRfcTIHÏ ïlintiit bourgeois9 c'est l'heure solennelle Madame vite est entrée dans son dodo9 Monsieur bien vite a soufflé la chandelle Mais dédaigneuse, elle tourne le dos. Bientôt son corps trésaillo d'espérance Dans cette nuit où naquit le sauveur Dessous les draps, elle sent qu'il s'avance Noël ! Noël ! Voici le Rédempteur (bis) Monsieur bien vite, a brisé tVuto entrave Et l'oreiller en a volé en l'air Fou do désir2 de passi on ? il en bave À ce mrmont s'accomplit le mystère don neeud puissant est dur comme du for Madame voit les ci euy s ' ontrr uvrir Est-ce Jésus ? Non- }*osf son potrt frère ! NoKL ! Noël i Jo sens le Rédompiour ! (bis) -153 JEAMKBTON Joannoton prend sa faucille Larirette, larirette Jeanneton prend sa faucille Pour aller couper des joncs. En chemin elle rencontre Quatre jeunes et beaux garçons. Le premier un, peu timide Lui caressa le menton. Le OGocmà un moins sage Le. coucha sur le gazon Lo troisième vli intrépide- : ----- Lui souleva le jupon Ce que fit le quatrième N'est pas dit dans la chanson Si vous le saviez, mesdames Vous iries couper dos joncs La morale de 'ïotto histoire C'est qu'les hommes sont des cochons La morale do ?ctte histoire C'est qu'les femmes aiment les cachons. LA PfîAU L'OOUIÏLE Y!a qu'la poau d'couilles ... Pour conserver 1' tabac Voilà, voilà, voilà, lo refrain militaire Y'a qu'la poau d1couilles Pour conserver l4 tabac Voilà, voilà, voilà le refrain du soldat, Moi j'm'en fous, j'ai du poil au cul Ca m1 tiens chaud l'hiver En été j'me les fait couper Pour nioux respirer Tiens ïitino voilà cent sous Pompe moi l'noeud, ronds mai trois francs Non, monsieur, c'est bien trop pou Peur sucer un si gros noeud* ïiipote moi la bito avec les doigts 'Ah! la bille biroute Tripote mai la bito avec les doigts x\h! la belle birouta aa bois. Lfas4»tu vu ? oui je l'ai vu L'abricot de la cantinière L'as-tu vu ? oui je l'ai vu don p'tit abricot fondu* Il est tout noir, il est tout blanc L'abricot de la cantinière Il est tout ncir, il est tout blanc Il est fendu par devant, I - 155 - Ma mère j'ai l'eon qui baille ïp fille feu? y d1 la paille Gjrénom de nom quelle drôle d'invention Otie de se foutre de la paille dans le xn gainerais mieux un bon gros vit Qi^e toute la paille du pays, Traîiie tes couilles par terre Prends ta pine à deux mains mon cousin Notys paxtons en guerre A Ip. chasse aux put aine» Quand je bande Ma pine touche non vxatre Qjoand j! bande plus Ma^ pine toucha mon cul, Il est ovale men trou ce balle Il n'est ni rond ni carré ni pointu Il est" ovale mon trou ce balle II, est ovale le trou de mon cul» La bito la bito (bis) C'est la bito à m n père La bito la bito C'est Xa bite à papa. Qui fait plaisir à ma maman Chagrin d!aa_mour ne dure qu'un moment- Plaisir d'amour d'amour dure toute la vie* #.YÏ=ïï* lit n*/2 VIS! ^S
5 Le toubib lui ayant ocnseillé î)e ne plus oolter $cxi£ sa sapote anglaise Aussitôt rfmis sur pieds* il en a oenEiandé IJcuze douzaines ave 3 "bout renfcroé. Au premier vup qu!il a tiré C'est ses souilles qui ont la^hé Ras la oapote anglaise On les a ret<~urvéas aux quat! ooins du \ quartier Et 1! bordel a fermé ses volets. 7 Maroha funèbre loter n'est plus îep putains l'ont dépendu Un Fronçais de plus Que lis Anglais aurons frutu Et sa pino Qu'avait belle mine Ne bandera plus .ainsi triomphe la vertu, - 159 - ' 8 Le b> rdel a rcuvert ses volets Par un beau matin de mai Au temps dis premières fraises L'persormel était entièrement renouvelé Et la tôlière était toute en beauté• 9 La foule se pressait et riait Elle avait oublié le danger Quand on baise Etait d'se oercfior aux ma ohins anglais Et le bordel s'est payé des bidets, - 161 - LfINVALIIXiî EiS LA PINfi DE BOId ïl faut le voir poux le oroire Venez dcno veir^ venez dono voir Il vous épatera bourgeois L1 invalide à la pine de bois, bois L'invalide à la pine de bois. Je viens de voir, o'ort un vrai prodige Enfoneés les frères riamois Je viens do voir? j'en ai lfvertige L'invalide à la pine de bois* Vn honnie dont la pine se dévisse Et qui se fort àer norpims De la vérole, de la iiaude pisse Ce qui lfemmerde 3'onl .les bubons. Faut vou? dire que eet honme étrange Est muni de plusieurs étuis Contenant des pinen de rechange En bois de différente pays. De sa campagne d'Italie Ce brave et -vaillant guerrier À rapporté la plur "jolie La pine en,bois do Laurier. - 162 ~ Quand il a calle an "bris do iian^ De dix coups o3Ia prrta la fardoau Quand il a colla en bris d'ebèno Il baifîo cr-ixio un mcricaud. Il annula xmo un Kaby].a Quand il a colle en p&lLiiar Ht il baisa canne un imbécile Quand il a colla on /'liviar. Quand il a callo on bris de iiama Aucun* ferme peut lui résiatar On lo voit bander co-Hcie un came Quand il a celle 'on pcivrior Mai? voilà s'n plu? grand vice Dèo qu'il vit un:: femme 1a ua s or Il m "t aa piao on bods d'régliaae • Qii-'ï vit- il va lui fcd.ro auear. Avec s en étui fidèlo Il peut toujours bo contenter Vaut-il oniancor un.:; puaa'le ï Il net sa pino en oranger Ei parfria a!i3. oat raalade 13. peut lui--mômo so soigner Car il pi^sa do la limanada Avec aa pina on citronnier.. - 164 - MADAME FOURINA "Madame Fourina, 1CO rue de la Lune", muni de ce : précieux renseignement, je me rendis à l'adresse indiquée et d'adressant à la concierge : "Madame r" Fourina SVP ?" "Connais pas, enfin montez toujours vous verrez", me répondit-elle d'un air:rogue. Peu encouragé par cette indication, j'hésite à m!engager sous la voûte, mais je me décide a monter. Au premier étage je rencontrais-une femme de chambre, jeune, accorte, l'air engageant. "Madame Fourina SVP ? mon enfant" "Madame Fourina la célèbre pompeuse de noeuds, au troisième, la • porte de gauche". "Merci mon enfant" dis-je en lui glissant dans la main une pièce du Pape, et je montais rapidement au troisième étage la porte-à gauche. Je sonne,-un monsieur? correctement vêtu ■ ; la rosette à la boutonnière, vint m'ouvrir . "Madame Fourina ?" "C'est bien ici, donnez-vous la peine d'entrer, cher Monsieur. Certes vous ne trouverez pas ici le luxe insolent ni l'opulence de mauvais aloi qui caractérise les maisons de prostitution, mais bien le confortable bon goût qui sied à un ménage étroitement uni. D'ailleurs Madame Fourina, mon épouse, n'opère qu'en robe montante et je ne tolérerai jamais que l'on se permit la moindre privauté à son égard. Je puis ajouter que nous avons dans notre clientèle les membres les plus huppés de la noblesse, de l'armée et du clergé. Donnez-vous la peine de vous asseoir, cher Monsieur. Permettez, c'est moi qui déboutonne, Oh !*0h j Oh : .Ie superbe organe ! jamais dans ma carrière'je ne vis un appareil testicuo-urinaire aussi bien constitué que celui de Monsieur. ; ' Mais je m'aperçois que si je continue les passes longitudinales, le sperme ne tarderait pas à jaillir-et Madaine Fourina ne pie pardonnerait jamais d'avoir empiété sur ses attributions personnelles. v Voyons, quelle méthode désire Monsieur ? Madame Fourina a trois, méthodes ": la méthode ordinaire, la langue ^trompeuse et la méthode Fourina qu£. m'a valu -la décoration que je porte à la boutonn:* •,'■■!. La méthode -ordinaire je ne vous ferai pas l'injure de vous.la décrire. V 4K- '■ v La langue trompeuse consiste dans les : tiftillements du téton gauche à"-V extrémité du petit- orteil droit en évitant soigneusement l'organe pour 'ne se précipiter sur lui qu'au moment même, où il 'commence à désespérer. Voilà. La méthode Fourina qui m'a" valu la décoration que je porte à la boutonnière consiste ess tiellement en l'éclatement précipité autour de l'ori~ anal, puis gagnant de proche en proche, dans l'introd iàe l'appareil testlculai^e tout entier dans la boucrhe il'opératrice ;\ enfin par des succions hélicoïdales de -base de la tête de l'organe, on provoque la jouissanc du sexe qui se défend voluptueusement en ayant bien soin au moment psychologique de coiffer le gland dfun bouche résolument avide pour en exprimer du même coup le sperme retardataire. ~ 165 - Mais' j'entends un bruit de gargarisme -. significatif : Madame Pcurina va être à vous dans un instant» Mme Pcurina % "Quelle méthode a ohoisi Monsieur ?" Mr Pcurina i "Permettez que je no retire* Ah! j'oubliais i -in4 freaies de plus ot pour la première fois depuis l'antique^ rejetant la sperme par les doux narines j, Madame Fcurina réalise le jugement de dalomon ou l'enfant eoupé en deupt» - 167— OH ! M îiiîE-) Dh! i.ia mère! ma pauvre mère !' (bis) Je voudrais me mariox» Je voudrais me marier? leno les autres Pour avoir filles et garçcns Comme les autres font» Mais ma fille! ma pauvre fille ! De quel les nourri ras-tu Y Je les nourrirai de lait Du lait de nies blanes niiicns» Maie ma fille! -ma. pauvre fille ! De quoi les v&tiraB^tu ? Je les vêtirai 9. ma mère De loino et ,de blane irien. Mais ma fille! ma pauvre fille ! De l'argent en aUraa-tu ? Le soir dérider'' 1er; buissons- Je trouas'rai mes blan?.s jupons» Mais ma fille! ma pauvr^ fille 1. Ton mari sera eceu Y SI mon mari est eeoeu Il port!ra des eornes au front• Mais 12a fille! ma pauvre fille ! Ton honneur sera perdu ? di mon honneur est perdu J'm'engagerai dans- un bexcn* 168 - hais ma fille ! ma pauvre fille ! Dans o' "boxon qu'y feras-tu ? J!y pousserai du oui, du y ri J'y attraperai des morpion?.. Mais ma fille ma pautoo fille ! fit ta vertu qu'en fais-tu ? Ma vertu je 1' ai au eul Ma vertu je l1 ai au con. Mais ma fille ma pauvre fille ! T'attrap'ras du mal au cul ? di j'attra' du mal au jul J'm1 f outrai dos in je étions. r - I6Q LA- ÇATRODÏILï RSFEilEÎ?- C'est une patrouille, attends moi là Entretiens toi pendant qu1 elle passe C'est une patrouille, al tends moi'là Entretiens^ toi pendant ea temps là* Viens par ici, viens mon p'tit homme N'y a pas tant: d1 monde ? on n'y voit ri ai Débouterai1 toi, tu voiras 3cmmo Je s1 rais gentille j 't'aimerais "bien lu m'donn'ras six sous pour ma peine Bénit soit le- noeud qui m' étrentio î Ah î ah ! ah ! ah ! C'est des boueux, n'y prend pas garde Viens qu' j'te maono ton p' tit outil Vrai, j'avais eru qu* e'et ait • la garde Il bande oneoro.., ^ot-il g.-ntil ! : Allons et que rien ne A 'arrête,, Fais moi cadeau, d'ta p!fit1 burette... Ab! eh! ah! ah! Vrai j'en ai t'y d'ia yèine tout drmono T ' as du lingoV.. . Es-tu marie ? T'es beau et t'as d •- yeux quo^ j'qimo7 Tu dois au moins être épi ^ier ? Ou même représentant d!la Chambre . •• Jouis drn^ ooehon... Ah! quel beau membre! Ah! ah! ah!'ah! - 170 ~ J'ai beau manier ta p!titc affaire Quoi don2 quo t'as, t'en finis" pas C' ost~y qu' tf .aurais bu cl! la bière, Ou bien ma guoul* qui t^rerrions-pas" ?' Pons g à une femme qu'aurais df bulles cuisses Ou bion pense à l1impératrice Ah! ah! ah! ah! Qu'ont e'quo tu dis ? Capota anglaise Mon oui est aussi propre quo l'tion , Je me fous pas mal de ta braise Tu poux tfon r!tourner d'où tu viens. Qui m'a foutu c't espèce d'endouiDJLo Qu'a seulement rien dans l'fond d'sas couillos Ah! ah! ah! ah! T'es rien poireau si tu supposes, Que y vais fia su er pour vingt ronds ! Allons abcule encore quelque ih( se Tu verras si j'te la pompe à fond T'icms' v'ia l"fils à Monsieur Augu^Sj Qui m'donne' tront' sous quand j'ia lui suce Ali! ah! ah! ah! nr- Cétaient dos marions d1 ennaissanoe Mais par où-donc il'a panaé ?■ ■■■:'. Que j'y finiss! sa..pHi-t». jouissance C'est'y vous M,s:îic^ur qu* -j'ai c-ixienoé ? Ah! merde-ça n'est .pan choie t ta tout d'mône Sûr9 il a du s'finir-■/ri mono, Refrain final . a Cré nom de Dinu, or 6 non de d'ià Faut pas-d'erédii dans c'métier, là :k&% 1 172 - MARIE ^UZQN En rêvant du camp df Châlons Bringue do zingue, bringue do zen J'ai rencontre Mario duzen Vinaigre et moutarde Chapeau do oeou Fous ton nez dans ma barbe Et ton doigt dans mon cul !Ja ! Frotte ton oui contre le mien Va t'faire feutre? moi j*an reviens Bringue da zingue la faridondaiiiQ Bringue de zingue la faridonden. J*ai rencontré Marie duzon Je l!ai couchée sur le gazon J'ai regardé dedans son con. Il était noir comme du charbon, Et dedans marchaient des.morpions, Comme les soldats d'Napoléon. Llo POILo JU CUL Faut-il avoir-.du pril nu cul ?■ a Cordent résoudr -■ c at ; affaire i Les uns di^ -nt : . "c1 al œçospai.p^" Et les autres ; "31 -r\ rup ;rflut! Dans 00 débat "x nlradi cl '"ire Où rien .-meere^n1 >ot réerlu '. La Bible/la F-V'.e :vi V11i: i oire Vont n^us jparler dss-peile du cul, xidain san-:,'d<'uta était velu Car cet ine i y! .0 para". île Qui sur nos ceui;*! ; dir'ail son gite Par un froid vif ^i zi< rfaidu. : ! Or Dieu qui. demi a. la pâture : A 1* ai s eau vf ai bl e a p :u ve tu Aux morpions pour ouverture Donna les pile de; nctrs cul, Ce fut David sans poils au cul Qui armé d'une sinpl fronde . Mais d!une nain que I^ieu seyaide. Tua Goliath au au velu. Ceci nous prouve Mon'je pense Que 1out homme bien ré- olu Doit compter sur La Providence Plue que sur. les poils de son cul. Ce fut par un poil dee^n cul D'une -longueur phéne menais Qu'au bout d- la branche fatale Âbsalen rosi a sur:pandu;. Depuis ce trépas mémo-arable . Tous les Hébreux' oni ro>olu Pour éviter un sor"i s aiblablc De se raser les poils du ^tuL - 174 - Samson qui certes était velu :'' A vu par une main traîtresse Avec le poil noir de sa fesse Tomber sa force et sa vertu. Sous les ciseaux qui le dépeuple Quand le poil tombe tout est foutu. C'est ainsi que le sort des peuples Tient dit la Bible aux poils du cul, Faut-il avoir du poil au cul Disait Hercule aux pieds d'Omphaie Et que t'importe ô ma vestale Un rouston plus ou moins velu ? Et tout en découvrant ses couiblles De pibiLs lustres9 noirs et touffus Il enroula sur-la quenouille '" Cent écheveaux de poils du cul. Faut-il avoir du poil au cul Disait Thésée aux Amazones Après qu'à cent de ces personnes La pine au cul il eut foutu. Bandant encore à la dernière*"" ■■ Il dit : ,fma belle qu'on penses-tu ?" Cré non de Zeus ! dit la guerrière Il faut avoir du poil au cul. Au temps de nos rois chevelus Et de l'antique loi salique C'était un titre honorifique Que de porter du poil au cul. Mais notre siècke égalitaire A réformé tous ces abus Et maintenant le prolétaire Peut se payer du poil au cul. JFaut-dl avoir eu poil au lui Vous •-îc^inaisi-az tour:, la pucollo --Et certes ce fut bien par elle Que leeikiglais fur-mi. vaincus A la vue do r m ariflauno •- Tout les Anglais au xl! velu '* ' Ont foutu lo. coup devant une femme Qui n'avait pas de p. il au cul* Faut-il av^ir du p- il au }ul Disaii Henri au J)ui de Guise. Mais celui si qui jo né prise ■A la quastiin n'^a répendu» Pour lors le rri dans -p-a >elère ci1 écria s "Je veux qu'en le tue Noir; pourrons dv-cotto manière Voir s'il avait ôm poil au cul" • Avaient-ils don3 du poil au -ul Quand; prie d'un a ardeur toute antique' A l'appo.l de la Se publique Pennes e1 vieilj.r-.rd s^zit aoiourus. *■ .Ames d'une ardeur sons pareille * ' Jusqu'aux enfanis -tous a1 sent'battus Car la valeur a dit Corneille ïï ' a pas 1dob< in d'ï• ^ il au cul , Faut-il avoir du pr.il ou cul Disait au pied des pyr;;o:iides A ses soldats fori intrépides Vn général de iras xïïiu.. • Jamais Français dans la bataille Fut-il .vainqueur % fut-il vaincu A l'ennemi sous le ni±1 raille N'a montré les poils de son ckU - 177 Faut-il avoir du poil au cul ? Disait au bon Monsieur Fallières Un attaché très militaire Qui p"ortait un casque pointu. Alors 1!homme à la la Vallière lui dit : "Soyez bien convaincu Les Français si vient la guerre Vous botteront les poils du culf!. Ce fut par un poil de son cul Dégraissé pour la circonstance Que 1!hygromètre fut en Franco Par de Saussure suspendu. Ceci prouve avec évidence Que tout Français chauve-ou poilu Doit réserver pour la science Le plus long poil de son cul. Faut-il avoir du poil au cul ? Nous avons en cette rencontre Pesé le pour, pesé le contre Et rien encore n*est résolu Mais un ^vis que je crois sage Que rien encore nfa combattu CTest qu'il vaut mieux pour son usage Un cul sans poil qu'un poil sans cul. - 178 - LE FtJSIL J'avais quinze ans et la passion des armes Un boau fusil tout neuf et tout flambant J'aurais voulu aonnaîtrê les alate^s: Et les onibats de tout soldat veillant. lion père était de la garde civique Pour son adresse, on l'admirait beaucoup Ah, nos omis, ah quoi plaisir unique Quand on voyait papa tirer son coup. Un boau matin je lui dit 2 Petit père, J,ai n.;S quinze ans et voudrais essayer Le beau fusil que seul avec ma père Tu as Elis neuf mois a pouvoir m* fabriquer Mon père alors no fit un peu cl'nerale Ta noble adresse no réjouit beaucoup Tiens non enfant, voici toujours mille balles Va tlon w-:ï fils, va t'en tirer ton coup. En ce tompr là vint un tir à la mode Qui demeurait je crois, rue du persil Vite jo courus vers cet endroit commode Pour essayer mon excellent fusil. Toutes les cibles étaiont blanches eu roses' Mon boau fusil sa levait 'tout d'un coup ' Je déchargeais et fis une rose Ali mes amis! quïctest bon 1*premier coup. - 180 - En peu de temps ria renommée fut grande De nobles dames se disputaient l'honneur De chatouiller de leurs mains fringantes Le beau fusil d'un si parfait chasseur, Toutes les nuits j'étais à l'exercice Ma carteuchière était toujours à bout lais maintenant j'use d'un artifice Je ne peux plus par nuit tirer qu'un coup. Maintenant le beau fusil qui naguère A tant de hauts faits si souvent abusé Repose en paix au musée de la guerre Où il surmonte deux vieux boulets usés ■ Il a tant connu do chaudes alarmes Et tant de combats livrés coup sur coup Que lorsque maintenant il laisse couler un: ; lame C'est par rogret.de n'plus tirer son coup, au 31 ser& I heure Je tirer son.... ........Cou ..cou - 181 - L'ARTILLEUR ,e mATZ REPRAIïï ArtiHourS, nés chors fréris, A sa san te 9 buvons un verre 0 Et répétons ce gaî refrain : Vive la taupe et les taupins ! Les artilleurs, les femmes (bis) Et le bon vin» Quand l'artilleurs de ï-ïetz Arrive en garnison Toutes les femmes de mets Se foutent le doigt dans l'eon, Pour préparer 1l chemin À l'artilleur rupin Qui leur foutra demain La pine dans le vao±n# Quand 1! artilleur do amtz Demande une faveur Toutes les femmes de mets L'accordent avec ardeur Et le mari cornard Voit l'artilleur chieard Baiser également La fille et sa maman, Quand l'artilleur de I-ïctz Quitte sa garnison Toutes les femmes de motz Se foutent à leur balcon Pour.scJ.uer le départ De :Iartilleur chicard Qui leur a tant foutu Sa pine au trou cm amU 182 ~ KEUNIER TU ES COCU Et ru et ru tontaine En passant par ton moulin ;, Et rin tin "tin. Meunier, meunier, tu es oeou (bis) J'ai vu tel foixie le oui. "tout- nu» J'ai vu ta femme le oui tcut nu (bis) Et un gros moine qui non tait- dessus . Qui lui foutais sa pino exi oui ■ Le pilon était fort poilu Et lo mortier était fendu Ca voulait tout le long du oui Et des morpions qui nageaient dessus Le plus vieux dit : "Nous sonnas foutus" Car voilà le déluge venu Rattrapons nous aux poils du iul riais les poils du oui n! tenaient plus Piquons une tête dans V trou du « oui C'est net seule, planche.de salut♦ LE CON ET Li BtUïJlLlE Nargue des pédants et des sots Qui viennent chagriner noe âmes Que fit Dieu pour guérir nos maux ? Les vieux vins et les jolies fommes. Il oréa pour notre bonheur Le sexe et le jus de la treille Aussi je viens aâ;son honneur - Chanter le ^on et la bouteille.- Dans l'Olympe, séjour dos Dieux On boit, on patine 1er fosses Et le nootar délioidux ■; .. ' H1est que du foutre de déesses. $± j*yvais jamais, Apollon Ne charmera plus non oreille • De Vénus je saisis lo aon De Baoohus je prends la bouteille. Dans les bassinoto féminins Quand on a trop brûlé d'ameroes Quelques bouteilles de vieux vins Au vit rendent toute sa foroo. .tais, plus l'on boit, plus l'on fout, Un buveur décharge à merveille Aussi le vin, pour dire tout C'est du foutre remis on bouteilles. - 184 - On ne peut pas bander toujours Du vit le temps borne lfusage On se fatigue à décharger Mais, amis9 on boit à tout âge Quant aux vieillards aux froids couÊllons QuTils utilisent mieux leurs vieilles : Quand on n'peut plus boucher de cons On débouche au moins des bouteilles» Mais hélas ! depuis bien longtemps Pour punir nos fautes maudites Le Bon Dieu fit les cons trop grands Et les bouteilles trop petites ! Grand Dieu ! fais nous t'en supplions Prr quelque nouvelle merveille Trouver toujours le fond du con/^~"^ _ Jamais c^lui de le bouteilles ! * v"v' % - 185 - LE BîJL^JJ D£ Vlïd Pan, pan de la Bretonnière Pan, pan do .la barba :au cen, Un bateau chargé de vits Descendait. une rivière Ihe dama do Parie Voulut ')H-aiv't'T un' P^ifl§. Une dam ï à v Pari^ Voulut- «^n acheter un^ajrto Pour :& choisir deux jolies .. f:: ■ Envoya.sa ahambrière. ' - • Chambrière -n femm' d'o^pfelt S'en -ar-t. aervi raa prœdM^ Elle a!^n "oai rl bien servi Qu'elle s «art pété la charnière Et du *^u>. jûr-qurau nombril Ce n'oai. plut- qu'une vaste ornière Les norpiengf nagent dedans Corne' poiasoiïsj en rivière On emiv baisai? par devant Va t1 faire fr.ui'r1 o'ofI par derrière] ~ 186 ~ On Trcit lui faire un enfant On no lui donn1 qu'un clyslèro On irait être -^n amant On est quo aon apothicaire •^ On arcit 1^ aimer tendrement La marchandise t^mbe par terre Ali ï dit-elle en lf écrasant Cui-là n!battra pas son père» Et il n'éoershera pas Ekn p.l.u". le oon de sa iÀëre# - 187 - LA PAROLE DE SAINT-VALL1ER François 1e: Qui dfentre mous Messieurs n'a- jamais admiré Un enculé royal au sein de ce palais ? Tu rougis, St-Vallier et mes propos te blessent : Moins cependant qu'hier ma pine entre les fesses. St-Vallier : Une insulte de plus ? Vous Sire- écoutez-moi Comme vous me le devez, puisque vous êtes roi Vous la fîtes mener nue en.place de Gresves .« Vous la baisâtes là, comme Adam fendit Eve. ! Elle vous bénissait, ne sachant en effet Ce qu'oui Roi cache au bout de lapine qu'il met. Puis, Sire, sans pitié pour ma race guerrière Pour le cul des Poitiers puceau depuis mille ans, Tandis que revenant-le con tout plein de sang Ellu priait pleine d'émoi le Dieu du pucelage De rendre votre vit moins dur à son passage Vous Roy Franois, le soir même du jour Vous avez sans pitié, sans pudeur, sans amour Des joies du cul, du con usant toute la gamme, ~ 188 ~ Dans votre lit9 tombeau do la vertu dos femmes -,Flétris déshonore, déoulloté, baisé ? Moi y Marquïa do dtVallioro vi l'alto do Brézé &n ne baisant-ciJisIL^'.^è manière infâme, Vous9 Roi François, sacré" chevalier par Bayayd Jeunes homme ! il vous faut senc Ion fosses d*ua - vieillard Y Et los poils do non cul, déjà blanchis, par lTâge ÏPont fhi me préserver d'un si cruel outrage Oh! voue! Dieu des bordels, qu*avez vous dit ■•' là-bas ( Lorsque vcoi^- avez- vu donn los plis do doux .draps dforrfonoo£ raide et rude et reugeâtro et sanglante "Che pine royale dans mes fesses*. saignantes dire ! on enfonçant trop vous avez mal %§i Que du sang d'une femme votre vit fut rougi , Cola peut sT expliquer* On comprend qufune femme Ait pu se laisser prendre à votr-v piège infâme, Mais que vous ayez pris et lo père et 1! enfant C^ue vous ayiez flétri sous votre noeud puissant Le aen d'une comtesse et le oui d'un vicomte C'est une chose infâme et dont vous rendrez compte Quand votre braquemard de fatigue .brisé, Pendra sur vos r eus tons inerte et usé» ~ T89 ~ - dire, je ne viens pas insui.tr votr ; ruine Quand on est enoulé on- a mauvaise mine9 . Et non malheureux cul flétri par cet affront A bien assez de mal a gardé son étren. Je me taiSi Seulement je me -nui'p/-iAa î ontôto De venir vous montrer .mon eu*. à chaque fête Et jusque ce qu'un père, un frère ou qaelqu1 époux La chose arrivera, vous ait onculé, vous, En me grattent le cu3 je r-viendrai vous dire Vous a1 avez enoulé j, vous m1 avez fait mal sire, Je fus tout déchiré par vira noeud bendani Encore tout barbouillé de iv utre et de sang, Pciut être veudrez-vous me f< r ;or a rao taire M'enculoz à nouveau, vous n'encrez la foire De pour que dans la nuit ce 5?oit mon • p- :tre nu Qui vienne vous trouver? un bouchon dans le cul. - 191 - LE BAL DU JUL jJI DU CON Trois poilp do 3uJL orar.soux ot salos Servaient ào y rd!à pan violon On avait décoré la sallo Avec des pouax d^iorpiops.. Du foutre do puT*v.los Brûlait dans Ins quinquots Et la mer1 maqu^ro.Mc Distribuai! lo,?. tiskots Criait Entrez^ entrez9 o9troz« ~ 192 ~ LE Bi^LEUR Il fait nuit lo lit estlarge^ En songeant à la décharge Il se réveille on bandant Et e'.est alors que Rosine " ''■■'■■ ■[ Doucement lui prend • la' pine ' La lui .glouglcute un "bon moment. Le baaideur est un vieux brave^ d'il se présente un coup grave CT^st un rude compagnon ::" Il a-, fait maintes ripailles ■Et porte plus d!UQe entaille Le la. quéquette au croupion.. , On brexile, on suce, en active -La décharge devient vive : Oar te us. les .deux sont adroits ., "Rosine .etaj.it très coquette - • : - Vient lui branler la quéquette XI-lui décharge entre les doigts. • ~ 193 - Il est là vautré 5 superbe Bandant encore conme un cJerbe Et dédaignant tout recours Sa bite ost toute gluante Mais dans sa fureur ardente Il ban de, il bande toujours. Mais la momiche crainteo Le foutre est toute engluée Elle ne peut plus jouir ■■- Le bandeur avec adresse Lui saisissant les doux fesses L1 enouïe alors pour ai- finir. - - 194 - m DE3GENDAWT LE MCBTMARTRE En descendant de Montmartre Par une nuit sons lune J!aperçois un prunier Qui était couvert de prunes. REFRAIN Y'là 1! printemps 9 1-2 Vlà 1: printemps tire tire 3^ire Vlà l1printemps pour les satyres V*là 1 ' printemps pour les amants. J*aperçois un prunier Qui était couvert de prunes J'y grimpe quatre à quatre Pour on cueillir quequ's unes. J'y grimpe quatre à quatre Peur en cueillir quequ's -unes La mère Jules qui m1voit faire Ma crie voleur de prunes ! La mère Jules qui m'voit faire Me crie voleur de prunes J'3.ui tire mon pantalon Et j'iui fait voir la lune Jflui tire mon pantalon Et j'iui fais voir la lune Elle avait la vue basse Elle a cru voir ses prunes. - 195 Elle avait la vue basse Elle a cru voir ses prunes Elle prend ; s os grands oiseaux Et veux m1 en couper une» Elle prend ses grands ciseaux Et veux m'en couper une "Halte'là! la mère Jules Ce ne sont pas là vos prunes!" "Halte là! la mèro Julos Ce no sont pas là vos prunes À gauche c'oBt Jupiter Et à droite c'ort Neptune". "A gauche c'ont Jupiter Et à droite c'est Neptune, Au milieu la comète Qui fait mrir los prunes". % - t >G r / 4- Y/Y \ // /, ■W, ' J vCF* "■" <H \Y » n V I ' ,i;i If > > A. l-ULS\Xi:-_s: /. / f ^
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198 La peau des souilles <••>••»•* Le bordel a fermé ses volets L'invalide a la ,pine .de, bois Madame Fourina.» Oh ! ma mère * o * * *. «, La patrouille . , Mario duzoii «. * « • o o o Le fus iaourac .a. u ;ui c -ce * Mots •«, 30CU «V, ut exile a • • • « « o ~ o o « « oat pai La Le baadeui : Si TaHier,.., C C • "• • O • • 3000004 En revenant de Montmartre ' .. • • • « • • • « • « • < 0 O S < 154 157 161 164 167 I6g 172 173 178 181 182 ÏS3 185. 187 192 194 - 200 A vi *• 1 à r ■^..yp [Re^vv, ; FaA-(s igsc^ i^o fr.J |
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