Breviaire 70 (1970)

Home  |  44th TFS Hymnal (1970)  |  121st Aviation Company Tiger Tunes (1970)  |  1963rd TFS Song Book (1970)  |  Argus Tuft's Compendium of Verse (1970)  |  Bawdy Barrack-room Ballads (1970)  |  Breviaire 70 (1970)  |  Bull Durham Songs of SEA (1970)  |  The Downwinds: DET WESTPAC (1970)  |  Folklore Collection #1 (1970)  |  Folklore Collection #2 (1970)  |  Folklore Collection #3 (1970)  |  Folklore Collection #4 (1970)  |  Limericks Lewd and Lusty (1970)  |  Rugby Songs and Jokes (1970)  |  Son of Rugby Jokes (1970)  |  Tipi's Bar Guide (1970)  |  Untitled Folklore Collection #1  |  Untitled Folklore Collection #2 (1970)  |  What Rugby Jokes Did Next (1970)  |  What's New  |  Contact Us
 

Below is the raw OCR of Breviaire 70.  If you wish to verify the text, please download the PDF of the scanned pages.

 
BREVIAIRE 70
 
./
•"-j

- 1 -
- 2
INTROÏT DE RABELAIS
Cy n'entrez-pas, hypocrites bigots,
Vieux matagots marmiteux borsouflés;
Torcoulx, badauds, plus que n'estoient les Goths
Ni Ostrogothz., précurseurs des magots :
Haires, cagotz, cafars ampantouflés,
Gueux mitouflés, frapparts escorniflés,
'Befflés enflés, fagoteurs de tebus; ; -.-
Tirez 'ailleurs po^jr'vendre vos abus. ;

- 3
VH.É
Çfs etupiÀn^.
KEFRAIN •
Et l'on s'en fout d'attraper la vérole ! -;
Et l'on s'en fout, pourvu qu'on tire un coup,
Avec, avec *..«une femme. ♦ . sous Ils roses !
Et dans les bras de li volup-fca !
Avec un sùs~suspensoir au cul I
Vive les EtudiantL, ma mère>
Vive les Etudiantr !
Ils ont des femmes et pas d.-fenfants !
Vive les Etudiants t
Vive les Etudiantes...
Elles falment avoi la pirie *-u ventre... •
Vive les avocats...
Ils ont des couilles en rhocolat...
Vive les sorbonnards..#                                  l
Ils ont des couilles en p'oau d'iéiard..,
Vive les coloniaux»••
Ils ont les couIUds en peau ue Chameau.## '
Vive les carabins.,» j
Ils ont des femmes oui boisent bien...» '
Vive les carabines...
Elles adorent vous sucer la pine...
Vive les artilleurs.••
Ils tirent un coup tous les quart d'heure
Vive les Pharmaciens...
Ils ont 1'permanganate pour rien...
Vive les pharciennes...
Elles sont putains ou hien.lGsbiennes...
Vive les P.C.B.....
Ils ont les couilles galvanisées
Vive les aviateurs
Ils lèvent la queue tous les quart d'heure..
Vive les aviatrices...
Elles ont les manches entre les cuisses...
Vive les Arts Déco.,.
Ils ont les couilles près du pinceau...
Viv'le quartier latin...
Toutes les filles y sont putains...

-, p; «.
C'Edï rTOUo Li^d PÏIARMCIEÏÏd
( Sur lTair 2 C'est noup les Africains) ,
. ' ' REFRAIN
C'est nous les pharmaciens qui venons vous trouver
Du fond d'nos facultés pour vous administrer
Les capotes? les forceps, : la poudre à faire bander
La vaseline du Codex pour--mieux faire pénétrer
La pine dans le ton, comme le couteau dans 1'beurre
Ces impuissants baiseront avec ardeur
Et .si quelqu'un nous traite d'épicier ..
Son cul fera connaissance avec not1 pied
Faisons ma mère, devant.derrière9
Les p'tites pucelles9 les vieilles maquerelles
Les sales putains9 les filles de rien
C'est nous les Pharmaciens* :
P&ihLJR JOUPLET
Les littéraires sont dos andouilles
Les P.GyB. sont des bizuths (bis)
Un carabin n! vaut pas une "' c ouille
Diuti 5harmaci.cn, -A c'est connu (bis)
nEILuEIiE- COUPLET \
Et quand plus tard dans nos /boutiques
On s'souviendra du bon vieux temps! (bis)
X3ù nous bandions uommo des triques!
lC.!était l'époque do nos vingt ans (bis)

B I CETEE ...
■                             i REFRAIN
On n'peut pas bander.toujours
ID1 faut jouir des roupsttesc.
On n'peut pas bander toujours
Il faut jouir de ses amours.
Dans ee Bioêtre où l'on slembôte,
Loin de Paris que: je, regrette,
J!ai bien souvent et longtemps médité -
Sur la vieillesse et la oaduoité,
Amis, Amis9 apprenez à connaître
Ce vieux refrain, oc refrain dcrBieetre...
D'un vieux, un jour, jo tenais la quequette,
La sonde en main, de l'autre la-cuvette
Pendant ce temps mon esprit méditait
Ce que tout bas .le vioillard me disait :
"Prenez bien soin de oos pauvres gogottos,
Un jour viendra vous pisserez sur vos bottes"
Idiots, fous, épilepi iquos,
Sont dos arguments sans réplique
Tout dépérit, le pauvre gonre humain
Nfa plus d!espoir que dans le carabin;
Or pour créer une raoe nouvelle'
Jamais, enfants ne mouchez la ohandelle»

9 -
À 1!oeuvre donc jeunes athlètes,
Gaillardement engrossez les fillettes,
Baisez, foutez, ne craigner nul écueil
Quand on est jeune, il faut baiser à l^oeil
Avec le temps, Vénus devient avare,
Aux pauvres vieux, le coup est cher et rare
Quand la vieillesse triste et caduque .
Vous foutra son pied sur la nuque,
Quand votre vit à jamais désossé,
dur vos r ous tons pendra flasque et .glacé
Allez crier à la face du prêtre
Ce vieux refrain, ce refrain de Bioêtre,••
%^
- 10 «
CHARLOTTE
Branle,(ter) Charlotte,/
Branle (bis) ça fait du bien
Branle (ter) ma -hère
Branle (bis) jusqu'à domain.
Dans sm boudoir, ïa petite Charlotte
Chaude du ion, faute d'avoir un vit
se masturbait avec une carotte
Et jouissait étendue sur son lit.
"Ali! disait~o?lc,   dans ce siècle où nous sommes
Il faut savrir se  passor des garçons
Moi pour ma part,   je mo fous bien dos hommes
Avec ardeur je me  branle le con#,f
Alors, sa main n'étant plus paresseuse
Allait, venait jomme un patit ressort
Et faisait; jouir la petite vicieuse
Aussi ce jeu lui plaisait-il bien fort.
Mais ô malheur, ô fatale disgrâce,
La jouissance lui fit faire un sursaut
Du contre coup la carotte se casse
Et dans le cen il"an'reste un morceau,
Un médecin, praticien fort habile,
Put appelé, qui lui fit bien mal,
Mais par malheur, la carotte indocile,
Ne put sortir du conduit vaginal,

- II -
Mesdemoiselles9 que le sort de Charlotte
Puisse longtemps vous servir do leçon
Ah 3royez-moij laissez là la carotte
Préférez lui la vit:d'un beau garçon,
A
- 12 -
 
mm v
11

I3~.-
CÏÏANdON DE LOUROINE
De l'hôpital vieille pratique
Ha maîtresse est une putain
Dont lo vagin syphilitique
A vérole le quartier latin.
Mais moi, vieux pilier de 1!école
Je l'aime-à cause do son mal,
Oui de son ami»
Nous sommes unis par la vérole
Mieux que par lo lien conjugal (bis)
Oui la vérole nous assemble
dous les mornes lois tous les deux
Nous vivons, nous souffrons ensemble,
Plus- heureux que des demi-dieux.
Tous les matins, choquent nos verres
Nous buvons IgVûïi dwieten,
Le Van rfwieleii,
Et nous partageons en frères
'Les pilules de Dupuytren (bis). '
~ 14 -
Nous transformons en pharmacie
;• Le lien sacré de nos amours
Les plumasseaux oi la iiarpie.
S'y confectionnent tour à tour; ,
• Tandis qu'avec lo biçhorure , ■
: Elle me fait- des in jetions, "■
. ;                 Des injection^
- Avec l'axonge et le4 mercure
| Moi je lui fais des: frictions (bis).
\ . Délassement de l1innocence,
ii Je regarde chaque: matin
;! \ 61 quelque nouve?.le ■ excroissance
j' ; Ne vient, pas orner son vagin
' . Tandis qu* avec un oeil timide
\ . Elle jette un timide regard
\ >                    Timide regard,
' ; Sur mon corps que les syphilides
\\[ Ont tacheté comme un léopard (bis).

- 15 -
C A-iRO L IN E
Aais^ que l!on nous serve à boire
Que l'on nous serve du bon vin
Tintin, tintin, tint aine et tintin
Je m'en vais vous monter l'histoire
de Caroline la putain,
Tintin tintaine et'tintin.
Son père était machiniste
Du théâtre de 1! Odéon
Tonton...
Sa mère était une fleuris!e
Vendant sa fleur et ses boutons,
Tonton.......
A quatorze ans, suçant des pines
Elle fit son. éducation.
Tonton...
A dix huit ans, dans la débine
Elle s!engagea dans un boxon
Tonton...
A vingt quatre ans, sur- ma parole,
C'était déjà une fière putain
Tintin...
Elle avit foutu la vérole
Aux trois quart du quartier latin
Tintin...

17 -
Le marquis de la Couillemolle
Lui fit bâtir une maison
Toni on...
A l'rifeigne du "Morpion qui vole"
Une belle enseigne pour un boxon
Tonton...
Elle voulut aller à Rome
Pour recevoir ^absolution
Tonton...
Le Pape était fort bien à Rome
Mais il était dans son boxon
Tonton...
Et, sfadressant au Grand Vicaire,
Elle dit 2 "J'ai trop prêté mon con",
Tonton...
"Si tu l'as trop prêté ma chère
Eh bien reprête-le moi donc!"
Tonton...
Et la serrant ^htre ses cuisses,
Il lui donna 1!absolution,
Tonion.
Il aitrâpa la chaude pisse
et trenie six douzaines de morpions
Tonton.
Elle finit cette tourmente
Entre les bras d'wi marmiton
Tonton...
Elle mourut La pine au ventre
Le con fondu jusqu'au menton,
•Tonton...
- 18
Et quant on la mit dans la bière
On vit pleurer tous so3 morpions
Tonton..#
Et quand on la mit dans la terre,
Ils s'arrachèrent les poils du con,
Tont<
1

19 -
LA JAVANAISE
Quand pour la première fcis
Julot encula
Une Javanaise
Il sentit sur ses Joints
Quelque chosp. de gras
Comm * dfla mayjnnaise
Son con était si-Ionj
Si large et profond
Si plein de liquida
Qu'il avait l1impression
Que son saucisson
Nageait dans le viie#
REFRAIF
C!est la java, lo bite à papa.
Les couilles à Julot
Sa p'tite casquette
Ses grosses rouprtt^s
Et son p'tit mégot,
Viens mon Landru, mon turdu
Fout la moi dans l'cul •;
Viens mon trésor, mun M^stor^
Pousse un peu plus fort. ?
Mon père était branleur
Astiqueur d^ bices
Dans un bal musette
Ma mère était putain
Faisait des pompiers
A tous ceux ds 1*orchestre
Non tu ne verras plus
Les poils de mon cul
J'en ai fait des brosses
20
A cent sous le kilo .;
C'est du* bon boulot ' -,
Pour*nourrir les gosses"

DE PRQF0NDI5
REFRAIN
De profondis morpionibus
Et Secatis roupeftibus
Et excita verolatjs
0 muse pr^te moi ta l^re • \.
Afin qu'en vers je puisse uir3 :?
L'un des combats les plus fameux
Qui se déroulèrent srus' las: cieux.
Dans un Vagin' de forte taille
600.000 poux liv scient bataille^
A un nombre égal de ...orpions
Qui défendaient 1!entrée uu con.
i '"■■/; • , •
Le choc fut épouvantable <
On croyait qiie c! était-le diable
Leg femmes enceintes en acdauchcnt
ChiojGnt d1 In merde hp lieu d' enfants.
La bataille fut giganctsque
Tous les. morpions prérirent ou f resque
A i1exception d3e nluo trapus
Qui s'accrocha:* ant aux âjoils du cul.
- 22 -
Ils ont bouchés presque la fente
Que les morpions morts ensaglantent
Et la vallée :du cul au con
Etait jonchée de morpions.
Le commandant d'une escouade
Voyant périr ses camarades
C£ia : Morpions! nous sommes foutus
Piquons une charge au trou du cul.
Un morpion de noble origine
Qui revenait de Palestine
Leva sa lance et s!écria :
Les morpions meurent et n'se rendent pas.
Pour reprendre lfavantage
Les morpions luttaient avec rage
Mais leurs efforts furent superflus
Les poux gardèrent le dessus.
Le général nouvel Enée
Sortant des rangs de son armée
A son rival beau chevalier
Propose un combat singulier.
A chfval sur un poil de roupette
Armé d'une longue lorgnette
Le capitaine des morpions
Examinait les' positions.
Bardé d'un triple rang de crasse
Transpercé malgré sa cuirasse
Le capitaine des morpions
Tomba sans vie au fond du con.

- 24
Puis au plus fort de la "bataille
Soudain frappé par la mitraille
Le maréchal dos morpions- .;
Tomba mort à l'entrée du cpn. j
■ . • *• -: * • • '■ '
Tout à coup un.obus arrive
Qui lui fait perdre l1équilibre
Le capitaine est bien foutu
Il tombe au fond du trou de oui.
Un morpion motocycliste
Prenant la raie du oui pour piste
Vint avertir l'état major
Que la capitaine était mort»
Pour retirer leur capitaine
Tous les morpions firent la chaîne
Mais hélas vains furoni leurs efforts
L!abîme ne rend pas ses morts.
Un soir au bord do la ravine
Tout couvert de foutre et d'urine
On vit un fantôme tout nu
A cheval sur un poil &rv cul*.
C'était l'ombre du capitaine
De chancres et drastioots pleine
Qui faute d'inhiMation
Pgait le maroilo et l'arpion.
Devant ce spectre qui murmure
DTêtre privé de sépulture
Tous les' morpions firent serment
De lui élever-un monument•

En vain l'on Tiior^ho sa dépouille
Sur la pine et sur 1:;3 deux oouillos
On ne trouva qu'un .bout de queue
Qu'un sabre aurait coupé on deux*
La troupe aussitôt prend les armes
L'enterre en versant force larmes
Comme au renvoi d'un cardinal
Ou bien d'un garde national,
Puis les plus jolies, morpionnos
Portaient on pleurant des^luronnes
De fleurs blanches et de poils de oui-
Qu'avait tant aimé le vaincu.
Sons'-heval même l'acoompagne .
Et quatre morpions d'Espagne
Vue larme à l'oeil, le orôpe au k»as.
Tenaient les quatre coins du drap.
Au bord du profond précipice
On rangea les morpions novices
Ils déferler mt par escadrons
Tout en sonnant de leurs clairons*
Ils le suivirent au cimetière
S'assirent en rond sur leur derrière
La trotte au cul la larme à l'oeil
Tous les morpions étaient en deuil.
On lui él'va un cénotaphe
Et l'on grava cette épitapàe
"Ci gît un morpion de valeur
Tombé sans vie au iiamp d'honneur".

-27 -
;^£&&
~ 28 -
Tandis que la foule en détresse
En pleurs lisait la messe
L'adversaire de l'onguent gris
Monta tout droit en paradis.
Et l'on fit une relique
Que l'on mit dans une basilique
Pour que les futurs bataillons
Sachent comment meurt un morpion.
Sur une ocuillc grosso et velue
L'on érigea une ostaiuc
A ce capitaine de morpions
Mort si brav'mcnt au fond d!un oon.
Depuis ce jour on voit dans l'ombre
A la porte d'un caveau- sombre
Les morpions de noir vêtus
Montant la garda au trou du cul. -
,Depuis ce temps dams 3.a vallée
On entend des bruiis de mêlée
Les morpions pour venger l'vaincu
Se cramponnent à tous les poils du cal.
Si parfoist lessoirs de brume
Quand sut terre se lève la lune
On voit les âmes des morpions-,
Voltiger sur les' pils du con*

- 29
DE FROFTIBUS
Cochon d*1 "Un toi" (l) ■
Bois donc ton verre (bis)
Et surtout ne le renverse pas*
De frontibus (bis)
A la martiale (bis)
Et glou, glou9 gloUj glou (2)
Il est dos nôtres (bis)
Car il a bu son verre oomme_ les autres.
(i) Nom du buveur que l'on fait boire
(2) Jusqufa co quo la verra soit vidé»
-30-
COOïïai DE MOINE;
Entrant dans une église ;
Je ne.vis d!abord rien .
Qujuri vieux cochon de moine-
Qui s'brciilait-âajis. un soin.
Si j't^onoule ouïe cule
Si j•t 'onoule "'juseju-1 à demain
Si jf tf on ouïe cule\ ouïe
Si j't'encuîe c'est pour ton bien,
Qu*un vieux cochon do moine
Qui svbranlait dans uri coin
Qui confessait les filles
Du soiï\ jusqu'au matin, /
Il dit à\la plus jeune
Tu reviendras demain,/,
Je to forpis voir l'bbrbe
Qui pousse, dans la main»
Qui fait grossir; le ventre
.Et arrondir les soins.
Et nous ferons ensemble.
Un petit- cçnmoin.

- 31 -
Aux souilles tricolores
Aux pals du oui châtains.
Et le petit bonhomme
Bandera comme un saint» .
Il ira au bordel
Son père y allait bien
Enfiler les maquerelles.
Sont père le faisait bien.
Il aura la vérole
Son père l'avait bien.
~ 52 -
CHEVALIER
.DE ïATmLE RQREB;,
Chevaliers*-, do; là table ronde .
Goûtons voir si 3„3 vin est bon (bis)
Goûtons .voir9 oui oui oui
Goûtons voir non non non
Goûtons voir si le vion est bon (bis)
J'en boirais Cinq à six bouteilles
Une femmes sur Ion gm0u£ '
Pan, pari9 pan qui frappe à la pqrtp ?
Je or ois* bien que ~;*efï mon amiev. i •
Si c'est ;elle que le diab&e l1 emporte
De venir/troubler mon plaisir. s
Si je meurs, je veux quTon m!enterre
Dans une cave où y ' a du bon vin
Les deux pieds contre la muraille*
Et la tête sous le robinet
Et les. quatre plue grands ivrognes
Porterons les quair*coins du drap.

~ 33 -
Et si le tonneau se débonde
J'en boirais jusqu'à-mon loisir♦
Et s'il en reste quelques gouttes
Ce sera pour nous rafraîchir»
Sur ma tombe je veux qu,cn inscrive
"Ici git le roi des buveurs"•
~ 34 ~
LA RIE OWIER
Chandon de P.C.B.
En descendant la rue Cuvier (bis)
Par -une putain j'fus racolé (bis)
Elle me dit d'un air tendre :
"Eh bien ?
"Monte dedans ma chambre!"
"Et vous m'entendez bien
"Et nous t*entendons bien !"
Moi qui suis d'l'Université (bis)
J'aime savoir où j'mots les pieds (bis)
J'achète une chandelle
"Eh bien ?"
Pour monter chez la belle.
• «Et vous m'entendez bien .
. "Et nous t'entendons bien.!"
Moi qui n'suis qu'un grand dégoûtant (bis)
Je çonto l'escalier on m'bronlant (bis)
En haut j'ia carambole...
Elle avait la vérole...
Quand la vérole fut attrapée (bis)
A l'hôpital fallut aller (bis)
A l'hôpital maritime...
Me faire soigner la pineCa#

35 -
Ils m'ont foutu pour soigner (bis)
Quatr*carabins, six P#C#B, (bis)
Mais cette bande d'andeuilles♦ • •
Ils m'ont coupé les oouilles...
Quand on a plus, ni couilles, ni vit (bis)
Rien ne vous plaît, ni vous sourit (bis)
On s'en.va au.bordel••.
Paire minette aux maquerelles• • •
Depuis ce jour, soir et matin (bis)
Je maudis toutes les putains (bis)
Car elles me rappellent
'Eh bien ?" • "
Mes couilles qui étaient si belles
Et qui marchaient si bien.
~ 36 -
En rêvant de garnison (bis)
Nous étions trois jeunes garçons (bis)
Mais de l'argent .n'en avions guère,
Sons dessus dessous
Sens devant9 derrière
À nous trois nous n'avions qu'un sou
Sens devant derrière (bis)
Sens dessus dessous (bis)
Nous arrivâmes au bon logis "(bis)
Hôtesse qu'avez vous de cuit T (bis)
J'ai du lapin et du bon lièvre ,
Du bon lièvre et du cidre doux.
Maint(nant qu'vcus avez,bien maiigé (bis)
Peut être desirez vous: couchez? ,-.\
Jern',ai qu'une ihambre sur le derrière,
Et lâ.sorvante qui couche en dessous.^
Sur les onze heures en entendit (bis)
L'hôtesse qui poursait des grands cris (bis)
"Vous allez m'faire péter la charnière
Allez y donc un peu plus mou" «
EN BïïVMANT
DE GARNISON

37.-
Mais quand vint l'iraure de minuit (bis)
Il se fit un bien plus'grand bruit (bis)
C'était l'lit du d'ssous qui s! fichait par terre
Avec la petite bonne qui baisait d'ssous.
di vous repassez par ici (bis)
Souvenez vous du bon logis (bis)
Et souvenez vous de la bonne hôtesse
Qui remue le cul faire faire bouger les fesses
Et d'ia pftite bonne qui remue tout.
LE DIGUE DU CUL
Le di&up du cul
Sur la rrute de gantes (bis)
De "Nantes à Montaigu
La digue 7 la digue
De Hantes à Honfaigu
La digue" dus oui. , ,.;
La digue du cul
Je rencontre. ûn£ belle
Qui_ donnait le cul nû.
Je bande mon arbalète
Et lui fout droit dans le cul#
La belle se réveille
Et dit ; "J'ai l1diable dans!lfcul"
Ion oe n'est pas le diable
Mais un beau dard poilu
Qui bande et qui décharge
Et qui t'en fous plein 1* oui.

~ 39 -
Si ce n'est pas le diable
Refous-l'-moi dans le oui
S'il y est bien qu'il y reste
Et qu'il n'en sorte plus,
'D
<^
iV
 
k"tJ:^Jé, If iM

 
 
##&■

^^~-
W
;r\
fer
<&
feN
fcf/
 
W
*t
 
LA POIIPOMETTE
LE COffiMLEUR DU JUL SEC
-  Aimes-tu mieux boire et déguouler
Que -de nVpas boire, et tfemmerder ?
LE BUVEUR DEoIGîTE
-  Oui j'aime mieux boire et déguouler
Que de n'pas boire et m'emmerder,
LE CHOEUR
Qu'on verse à boiro à De cochon là
On verra bien s'il dégueulera;
Pendant qu'il .àégueulera
Que son voisin s1apprête
Pendant qu'il s'apprêtera,
Chantons la pomponnette
La pomponnette,
La pomponnette
JLJL XXJ.««oaooooooo»«aoo« J-O r 5i
Ce cochon là* a bien filé
A son voisin de r* commencer,



KYRIE
Kyrie, Chris te
Dominuni nostrum
Kyrie Elei'son. .
Kyrie, Kyrie,
Dans les chambres do nos abbés (bis)
De nos abbés
On n'y mange (bis)
Que des mots fort bien préparés (bas)
. Mais nous autres,
Pauvres apôtres,
Pauvres moines
Tripaillons de moines,
Sacré nom de Dieu de religieux,
Nous ne bouffons que des mets.frelatés
E-E-E-E- leïson*
Kyri$ Kyrie
Dans les chambres de nos abbés (bis)
On n'y boit
Que des vins fort bien cachetés (bis)
Bien cachetés#
Mais nous autres,
Pauvres moines,
Tripaillons de moines,
Sacré nom de dieu de religieux,
Nous ne buvons que des vins frelatés
E-E-E-E- leïson.
Kyrie, Kyrie,_ -         ■■■
Dans les ehcmbres do nos abbéô (bis)
On se couche
Sur des matelats bien-douillets (bis)
Las bien douillets
Mais nous 'autres .
"Pauvres apôtres
v \. Pauvres mrines
v- . Tripaillons de moines
Sacré nom do dieu de religieux
Nous couchons ' sur- la paille ■■ do blé •
•; .. E~E~E-E~v-ieïson, ;
;Kyri'e, Kyrxë:
Dans-les chçim.bro£ de; lies abbés (bis)
De. nos abbéâ\ ^
On n'y baise r(%is)
Que les femmes de Qualité-'(bis)
De qualité/ . n
Mai s. nous autres* .
Pauvres moines■• '"-%
Ttipaillons de ;m£linos
Sacré nom dé dieu de religigpx
Nous ne suçons que 2Les oulê^vérolés
E-E-E-E- ieïspxiVÀ
■ ; Kyrio, Kyrie-j;^ ■■-.'■;■■':■■
Dans les chambres do no^ abbës^bis)
De nos abbés ' U ;.:.
On n'onculo (bis) \
Que des jeunes gens fnrt 'bien tournés (bis)
Fort bien iournéSf
Mais nous autres,'
Pauvres apotroM,
/Pauvres moihos/
Tri prj.lleus ' de moines
Sasré nom de Dieu do religieux
Noue no pouvons que ncun entre '3uler
E-E-E--J- loïson*

- 43 -
*&?£??
Ià3 O^IÏÏTUES
Partant:pour la croisade
in soigneur fort jaloux^.
De l'honneur de sa daine
Et do son droit cl1 époux .
Fit faire un 3 oointuro
Au solide:fermoir *\
Qu'il attaeha lui-même .à sa belle "un
;beau soir.
Tra la la la la <La vlèrû (bis)
Tra la la la la la
;■*--»■
Une fois la; ceinture ;•
solidement bougée
Il partit triomphant
En emportant la ïLcf.
Depuis la tendre Ysoult
Soupire nuit? M Jour
"Quand te rouvriras-tu"
Prison do mas amours"?
Or9 elle fit ^oiinaissanae
Le .soir au; fond, dos bois
D'un Joua- troubadour
Poète Éabntnartrois
"Voyons lui dit Ysoult -
"Voulez-vous, essayer '
"3i l'amour d'un poète -
"Peut faire un serrurier."

Elle était si jolie
Et belle et tant ot tant
Que le feimoir céda
Et qu'elle on fit autant
Depuis près do trois ans
.Durait leur tendre amour
Quand le soigneur revint
Avec cors ot- tambours.
îïotro-'Italie étant groeso
Envi ron. de neuf mois
S'écria "sur ma vie
"Quel malheur j'entrevoie
"Remettons la eoin1*iro *
"Ton jaloux" dit l'amant
"N'y versa que du feu*'
Le sire s'en aperçut
Et se mit on courroux
"Do quoi vous plaignez-vous
"Soigneur il est à vous
"Depuis bientôt trois ans
"Fermé à double tour
"Ce fils noble Seigneur,
"Attend votre retour."
Miracle! cria-t-ril
Femme au 3cour vertueux
Ouvrons bien vite la porto
Au fils respectueux, , .
Et de joie auseitôli
Ysoult a enfanté,
Mais depuis la ceinture -.-.
C'est lui qui se la met,

JEAN GILLES
LE GENDRE ; . "
Beau père, mon beau père
Je viens me plaindre à'vous
Choeur 2 idem
LE BEAU BERE
De quoi vous plaignez-vous ?■
Jean Gilles, mon gendre
De quoi vous plaignez-vous ?
Ma fille er-'t toute à vous!
LE GEHBBE.
Oui mais que faut-il faire
Quand, nous pommes entre nous ?
Choeur : idem
LE BEAU BjJRE
Que ne la baisez-vous?
Jean Gilles, mon gendre'
Que ne la baisez-vous ?
Ma fille est toute à vous !
#
- 48 -
LE GENDRE
Oui mais si je la baise,
Des gosses elle me fout
Choeur : idem                        •
LE BEAU 1ERE '
Que ne la p'iotez vous ?
Jean Gilles9 mon Gendre
Que ne la pliotoz vous ?
Ma filles est toute à vous ! .'
LE GEMDIE
Mais si je là p'ioto, . .
des seins deviendrons mous !
Choeur 1 idem
LE BEAU EERE-.■■ .
Que ne la branlez vous ?
Jean Gilles non gendre,
Que no la branlez-vous ?
Ma filles est toute à vous.
LE Gl3JDRE.
Oui ma si je la branle
On se foutra de nous
Choeur 1 idem

49 -
LE BEAU PERE
Que nTla gougnotez-vous ?
Jean Gilles, mon gendre,
Que n'ia gougnotez vous ?
Ma fille est toute à vous !
LE GENDRE
Oui, mais si jfla gougnote,
Ca m1laissera comme un goût
Choeur î idem
LE BEAU PERE
Que ne l!enauloz-vous ?
Jean Gilles, mon gendre
Que ne l1 calculez-vous ?
Ma fille est toute à vous !
LE GENDRE
Oui mais si je l'encule,
Elle chiera partout.
Choeur ; idem .
LE BEAU PERE
C'est vous qui me foi tes chior
Jean Gilles mon gendre
C'est vous qui me faites chier
Aux chiottes et branlez-vous.
LA HAUT oUR LA JoLLÏNE
Air :!!Malbrough s'en va -n guerre"
La Haut sur la colline
Les deux pieds, les .doux mains sans la merde
La haut sur la colline
Il y avait un gros cul', (bis)
Un gros ^cure do campagne
Les deux pieds ««.
Un gros curé do campagne-
Qu!astiquait son gros bou (bis)
Son gros bouquin de prière
Les deux pieds •••'..
Son gros bouquin de prière
Pour entrer Ô.&&& un con (bis)
Dans un confessionnal
Les deux pieds . «■■«
Dans un confessionnal.
Pour y tirer un cou (bis)
Un coupable de l'enfer.
Les deux pieds *.„
Un coupable de l'enfer
Qui avait fait un pé (bis)

51 -
Un gros péché meriol
Los deux pies, los doux mains dans ,1a merde
Un gros péché mortel
Et avait trop été (bis) .
Trop été au bordel
Les deux pieds ...
Trop été au bordel
où il allait quêter (bis)
Quêter l'aumône des pauvres
Les deux pieds. ...
Quêter lfaumône dos pauvres'
Qui en «vaient besoin.
LA P'TIE! HUGUETTE
Chanson de droit
- HEFR/JI
Un jour, la pftiie ïïuguette,
Tire moi donc la bito avec les doigts
Un jour la p! tite Huguette ?■-.
S'en revenait du bois (bis)
En chemin elle rencontre
Un étudiant en droit (bis);
Il la prend, £L la baise. ♦•
Sur le foin qu'étaii là (bis)
Le foin était siAsec...              ;^
Quf en faisant ."'fla-fla", (bis) V
La mèee d1 la petite Hugubtte
Vint à passer par là (bis)
Elle dit î "Bai50., ma fille ...
On n'en meurt pas pour ça"! (bis)
Car si en en mourait...
Je ne serais pas là (bis)
Et si tu en meuraiè...
Sur ta tombe, on mettrait: (bis)
Ci gît la p'tito Huguette
Qu'est morte en faisant ça"!(bis)

( ~ 53 -
En faisant sa prière...
Au grand Saint-Nieolas (bis)
Lg grand saint quo lns gommes
Portant la tôte on bas (bis)
Quand ils la portent on 1rair. c •
Ils inondent les draps (bis) #
 
LG BERGER FIDELE
0 mon berger fidèle
Vieno t!on reposer sur mon eoeur.
A ma voix qui t'appelle
Viens t ' on dorm ■ r au bonheur !
:             Chr-mr des vierges :               .
Ah! frius-moi don"; ta pinc dans le oui
Et ou ' on en ' finir, r e
Ah! fous-moi c/;:ie t:/pine dons lo ~ul
Et qu'on çn pari: plus!
Ta langue me ohatruillo           .                        :
Jusqu* au fond du gocior
Et tes: doigts ne trif cuillent
Bien plus bas qa^ lo gésier» #
Je sens tes testicules
Battre 3ur m^n pétard.
Je \rois qun lu mT maules
03a! le vaillrril braquomart.
Mais ta queue devient molle
Tu ne peux plur bander
Oh! désir qui m\affoie9
Passe moi lo goclni ehé !
-■■ RofyAn^final /: '.:■■""
Ah! fous-moi 1?gocli;ii3hé dans le pal.
Etqu!on on finisse ■'               \         ., ; \
Ah! fous-moi l'godmiohé dans l1 cul
Et qu!on en parle plus. r

- 55 ~
DANd UN" AMPHITHEATRE
Dans un amphithéâtre (bis)
"Y* avait un macchabée .
Macchabée (bis)
Tsoin, Tsoin
Ce macchabée disait
Ah! cqx^on s1 emmerde ici
Alc.rs on l'engueula
Puis on le dépeça
On le disséquera
Avec un spéculum
On le conservera
Dans 1Talcool camphré
Puis on le bouffera
Et m le dégueulcra
—                  Q
Enfin en l1 enterrera--4XJ
Dies irae dies illa"
Sur sa tombe on me
De l'aubépine on

^AimiRGL; ^ L'ECU-
Dans notre ville est venu (bis'-)".
Un fameux: joueur de luth (bis)*
Il a mis sur sa boutique
Pour attirer la pratique v ■■•■■;•
A 1!auberge de l'écu
On apprend à jouer de l'épinette''X'-.^-
A 1!auberge de l'écu: .           . ,
On apprend à jouer du .♦'.                ../"*"
RJTRAIÏÏ                        ,"-V'
Trou la la trou la la .
Trou la trou la tr^u la 1ère
Toute les filles de Paris
De Montmartre à Saint-Demis
Ont vendu leurs collerettes
Pour avoir un m!tit écu
Pour apprendre à ,♦•
Une jeune fille se présenta
Qui des leçonr- demanda -
"Ah! que ce??, leçons sont bonnes
Il faudra qu'on m1 en redonne
Tenez voilà mon p'tit écu
Pour apprendre;.."



- 57 -
Une vieille à cheveux gris
Voulut en tâtor aussi
Par la porto do derrière ■.
Fait'smoi passer la première
T'nez voulà mon vieil écu
Pour ..♦ "                iM
Vieille retournez "vous en
Et reprenez votre argent
.Car ce nf est pas à votre âge
Qu'on entre en apprentissage
Vous avez trop attendu
Pour apprendre •..
La vieille on c!on retournant
Marmottait oniro ses dents          l * •
,fÂh.J vous ne .la baillez belle
De me croire onooro pucelle
Voilà cinquante et plus
Que j'apprends à jouer de l'épinette,

59 ~
LE CORDONNIER PAMFHILE
Le cordonnier. Pàmphile                        '/.
À élu domicile
Près du couvent de; filles
Et bien il s'en trouva
Ah; ah? ah, oh et bien il s'en trouva (bis)
Car la gent monastique
Jetait dans sa boutique.
Les trognons et les chiques
Restes do ses repas
Ah, ah,,#.f.
Un jour la soeur Jàvotte
S'asticotait, la motte
Avec une carotte.
Grosse comme un bras
Ah, ah .*•.•,♦■,.•■
Elle s'astique la tétasse                            ,
Sa mouille la bonasse
Hais quêlqu'effort qu'elle,fasse •.:
Le foutre"no vipnt pas .■•
Ah, ah .:•••                                      -
Mais comme tout a :un terme
Enfin jaillit le sperme
Le een s'ouvre et se, ferme
Et elle déchargea v
Ah, ah *..♦
J
1                                                 - 60
1                          La soeur toute xmtonto
j                          Retira de sa fonte
I                          La .carotte écumante
1 ;" Et elle la Jota
I                          Ah, ah • •*• ;
I                          Par un hasard comique
j                          La, carotte impudique
1                          Tomba dons la boutique
j                          De maître Barrabas
I                                Ah, ah ♦ ♦..
Il dit: lrAh ! quelle, chance
C*est' au jourd'hui"Dimandho
Elle est à la sauce blanche
Et cuippo il l'avala
Ah, oh «..

-61-
WS FILLES DE CAMABET <
Los filles de Camaret se disent,toutes yierges(bis)
Mais quand elles sont dans mon lit
Elles préfèrent tenir mon vit
Qu'un cierge (ter)
Fillette de Camaret, où est ton pucelage "(bis)
Il sfen est allé sur l'éàu                       ,v.,-
Avec un beau matelot
Il nage (ter)
Mon mari s!en est allé à la peohd on Espace; (bis)
Il m'a laissé sans un sou . —
Mais avec mon petit trou
J'en gagne (ter)
Les riieuux ne notre lit sent faits de serge,crouge (bis)
Mais quand nous sommes dedans
La rage du cul nous prend
Tout rouge (ter) •                              ' .
Mon mari que fais-tu là, tu ne .porcès'ia cuisses (ter)
Faut-il donc que tu sois aoul '
Pour ne pas trouver le trru
qui pisse (ter)
Le curé de Camaret à les veuilles qui pendent (bis)
Et quand il s'assied dessus
Ca lui rentre dans le'rcul          - ' -
Il bande (ter) ' '' .
-* 62 -
Monsieur lé Maire do Camaret a acheté un Sne (bis)
Un Sne' républicain
Pour baiser toutes les putains
D1Bretagne (ter)
Si les filles do Camaret s'en vont à la
'          prière (bis)
C'n'est pas pour prier le Seigneur
Mais pour branler làprieur
Qui bande (ter)
Célina si' tu n'aimais, tu me ïairai des fouilles
Et tandis: que 31les mangerais                       (bis)
Ton prtit doigt mo chatouillerait •
Les couillos (ter)
La servante d1!!1 sieur 1* Curé à 1'ventre qui
.' '                 gargouille (bis)
C'est qu'elle en trop mangé
De l'andouille à M'sieur .l'curé
D'iandouille (tor);
Une simple supposition que tu serais ma tante (bis)
Je te ferai le présont                      "' /;
De l'andouille qui me pend
Du ventre (ter), _

-. 64 -
LA Fi22Ii> DU VIDANGEUR                          J »
R.JFRAIN
La femmes du vidangeur préfère à toute odeur
L'odeur de son amant ;qu!elle aime épordument
Ils étaient deux amants
Qui ê1 rimaient tendrement
Qui s'aimaient par devant, par derrière
Ils étaient doux amonts
Qui sf aimaient tendrement ■
Qui faisaient par derrière
Ce qu'en fait par devant,
La peuux de mes rouleaux \-.An
Pour tous les caporaux
La peau de mes roupottes
Pour lfcaporal trempette
La peau de mes rou^tons
Pour 1Tcaporal clairon
Ce qui pend par devant
Ca s'ra pour l'adjudant
Le reste de la boutique
Pour le chef de musique
Mes balles î mes balles f
J!ai la eastapian danr le ventre
Disait un curé à s^r: chantres
A ses enfants de iioour i Deo Gratias (bis)
J'ai du poil au cul, du pril au cul
Bu poil aux fesses                        -:
J!ai du pril au cul, du poil au cul
J'ai du poil au con
Le trou du cul toui déchiré, tout décousu, foutre !

L'autre jour l'idée n'est venue *' "~
Cre nom do Dieu v. d! en culor un pendu f
Mais l'vont souffoJ.it dans la potence
Voilà mon pendu qui no balance
J*ai jamais^ pu l'onculcr qu'on volant
Cre nom de Dieu, on n'est jamais content»
Quand on "baise un con trop petit
Cra.nom de Dieu on s1étorche le vit
Mais^quand en baib^ un con trop large
On no sent pas quand on décharge
Et s1branler est bien emmerdant
Cré nom de Dieu on n'est jamais content 1
En arrivant au Paradis
J'ai senti se lover mon vit
.J'enculai Saint-ïlichel Archange
La Sainte Vierge et tous les anges ;
Et si l'Ben Dieu ri1s'était pas cavale
Cre nom de Dieu? je l'aurais :enculé !

67-
mS TROIS ORFEVRES
Trois orfèvres à la Soint-Eloi ■
S* on .allèrent dincr chez un outre orfèvre
Trois orfèvres à la Saint-Eloi
S'en allèrent diner chez un bourgeois,
Ils ont baisé toute la famille
La mère au nichon
Le père au cul
La fille au con#
REFRAIN
Relevez la belle votre blanc jupon,
Qu'on vous voit le cul, qu'on vous voit les fesses
Relevez la belle votre blano jupon
Qu'on vous voit le oui, qu'on vous: voit le con.
La servante, qui avait tout vu
Leur dit : "Foutez-moi votre pineaux fesses
La servante qui avait tout vu •
Leur dit : "Foutez-^noi votre .pine-. dans l'cul" !
Ils l'ont boisé.sur une chaise '
La chaise a cassé
Ils sont tombés sans débander.
Les orfèvres non contaits de ça
Montèrent sur le toit pour boiser minette
Los orfèvres non contents de- ça -
Montèrent sur lo toit pour baiser le chat,
- 68 -
Chat, petit chat/ iiat. tu..mfég.yâ^ignes9
Petit polisson tu m'é^atigné^;-V;>-C;,v j
Les roustons. \.- ^%'■/ XV
Les orfèvres chezXl^patissrer
Entrèrent pour mander quelques friandises
Les orfèvres chez lèv.patissier "VV":\
Par les marmitons so rirent eneuler#| -.
Puis voyant leurs vite pleins de merde :■'
Il ont bouffé cà "v                                 V
En guise a'éclaira au chocolat.
Les orfèvres .au mn ,ôx\ canon '; .. V
Se retrouvèrent toun; à la frontière:
Les orfèvres au ^o.n, du canon
En guise de boulets lanceront des étrons'. ; ',
Et bandant tous comme, des- carmes,
A grands coups dn vits                                       /
Repousseront les ennemis» / /'

* 6g ~
LE DUO DS BORDEAUX
- 70
RE^MPT
Taïaut, taïaut9 taïaut!
Ferme ta gueule répondit l'écho,
Le Duo de Bordeaux ressemble à son père
Son frère à son père et son père à mon oui
De là je conclus qu'lo Duc de Bordeaux
Ressemble à mon cul comme deux gouttes d'eau.
"Nom de Dieu disait la princesse
En voyant la pino du baron
J'aimerais, mieux l'avoir dans les fesses
Que de la voir dan?; son pantalon*
Chassqur as 'tu vu le trou de mon cul
Si tu veux le voir tu reviendras ce soir
Moi j'ai vu le tims je n'en ai rien dit
3i: tu vois le mien tu n'en diras rien#
Le.Duc de Chevreuso ayant déclaré
iQue tous les cocue devaient ôtre noyés
: Madame de Chcvieuso lui a demandé
S'il était bien sûr de savoir nager.
La Duchesse de la ïrémnuille
Malgré sa grande piété
A patiné plus de paire de couilles
Que la grande armée n'a usé d1 souliers.

71 ~
Le roy Dagobert a une pine on fer;
Le bon Saint Eloy lui dit : "0 mon roi,
Si vous m'enoulez, vous m'écorcherez"
C'est vrai dit le roi, j'en ferai faire une
de bois.
r
Si les femmes pissaient du vinaigre ^\s>
Et ohiaient du poivre moulu
La salade serait bientôt faite,
Avec le cresson qui leur pousse au culg
9
- 72
LE POU il!' ^ARAIGNEE
La tu, la tu m'emmerdes
La tu, la tu refait chier
Tu nous cnmmerdes
Tu nous fais chier (bis)
Et l'on entend
Dans les champs
Gazouiller les éléphants
Et l'on entendDans le,?- fossés
S'masturber les chimpanzés
Et.l'en entend dans les plumards
Battre le foutre à coups de brasuemards
Et l'on entend scus,los ormeaux
Battre la merde à coups de marteau.
Non. non non non Saint Eloi n'est pas morts
Car il bonde encore (bis)
On jour un pou dans la rue
Rencontra chemin faisa*
Chemin faisant-
Une ■■araignée Bon enfant
Elle était toute velue
Et vendait du verre pilé
Pour s'ach'ter dos p'iits souliers.

m
M
 
 
Le pou qui voulait la séduire ,:
L'am'na chez l'nastroquet du coin •
Troquet du coin
Lui fit boirf sinçfr six -coups d'vik
L'araignée ne fit qu'dri rire ;
Lapaœvrette ne s'doutait pas
Qu'elle courait ë 'son trépas»
Le pou lui offrit une prise
En lui disant d'un air joyeux
D'un air joyeux- :
!lColle toi iavoo ta Denise" !
L'araignée qu'on avait pas i
Lui fit voir tous; ses appas ! ,',l.
Le pou, une fr.anche oanoille
Lui proposa trois francs six sious
Trois francs six' sous
"Ah qu'elle dit : C'estpas l'Pérou,
Ce n'est qu'un fétu de paille
Si tu m'donnais qu'at'sous d'plus
Je te ferais voir Ir'trou de mon cul i
Alors commencèrent las horreurs
Le pou grimpa ^ur l'araignée
Sur 1! araignée,                      V; .. '"^ -
Il n'pouvait plus se r'tirer
Tant il éprouvait d'bonheur,
Aussi la pauvre araignée- ;
Ecop'la maternité» " i:,^

~ 75 -
Le pèr1 d*r l1 araignée en colère
Lui dit : "Tu m!as déshonoré
Deshonoré
Tu t'es laissée eneointer
T'es aussi putain rqu*'-.'ta mère
Lf araignée de désespoir - V                   ...
S'est foutu quat1 coups d1 rasoir
Le pou, le désospoir de-tins l1 fine
S'arrache des poignées d1cheveux
Poignées d1cheveux                                  :
Ah! qu'il dit "y a p'us d'bon Dieu"
Grimpa sur 1d s tours de Notre Dame
Et c'est là qu'il s'a foutu f
Los cinq doigts et l'pouce dans l'cul !
(Largo et maSstroso)
<d
Alors les poux du voisinage
jfe réunirent peur 1 ' enterrer
Pour l'enterrer
ku cimetière de Champerret
Tout comme un grand personnage
Et c'était bien triste à voir
Tous ces poux en habit neiri
OÛOuUp
LE PLAISIR DES DIEUX
... , i k: *\^
"Du ïftoû Vuleain quand l'épouse mignonne
v^a ,boxpnner loin do non. vieux sournois
Le noir jaloux que l'amour aiguillonne
Tranquillement se polit le diinois
xW0±~eri dit-il à sa fichue femelle
tïfe'mo fous bien do ton oon chassieux
De mes cinq doigts je fais une pucelle
Masturbons nous c'est le plaisir des Dieux!"
Bast! laissons lui ce plaisir ridicule
(chacun d'ailleurs s'éamuso à sa façon)
Moi je.préfère la -manière d'Hercule .
Jamais sa main no .lui servit de con.
Le plus sal'conj la plu?- vieille fendas^e
Rien ne résiste à;son vit glorieux.
Nous serons fiers clo marcher sur ses traces
Baisons, bai s on? c'est le plaisir des Dieux.
,4 Du Dieu Bacchus "quand accablé d'ivresse
Le vit mollit et sur le con s'endort
Soixante.neuf et le vit se redresse
Soixante neuf ferait bander un mort
Oh! clitoris ton parfum, de fromage
Fait regimber nos engins glorieux
A ta vertu nous rendons tous hommage.
Camanuchons c'est le-plaisir les Dieux!

78 -
Quand à Plu ton ave 3 sa large panse.
Le moindre effort lui .semble fatiguant
Aussi veut-il évitor la dépense
Et fait suoer son pénis arrogant i %         ,'.;
Tout en rêvant aux extases passées
Tous alanguis nous réjouissons ncs yeux
Et laissant faire une mante empressée
Faisons pomper c'est le plaisir des Dieux !
De Jupiter façon vraiment divine
Le oen lui pue il .aime le- goudron;-.'!. ;             ;
D,un nid à merde- fl"fait un mtule à pine
Et bat le beurre au milieu de 1* étron.
Cette façon est cruellement bonne
Pour terminer un gueuleton joyeux
Après 1T dessert on s! on ouïe en couronne
Enoulons nous c'est le plaisir des Dieux !
Au reste qmi qu'on fasse à sa te te
Main, cons cul, beùohe au plaisir- tout, o§t bon
Sur quelqu1autel du* en eélèbre la f $ te ...
Toujours là-haut on or;t sûr du pardon* .
Foutre et jouir voilà l'unique affaire
Feutre et jouir voilà quels sont nos voeux•
Foutons amis qu'importe la manière
Foutons9 foutons o'ost le plaisir.des Dieux !

- 79 -
LES COUILLES DE MON GR/USDwFEHE
REFRAIN
La bite, la bite (bis)
C'est la bite à mon père
La bite, la bite (bis)
C'est la bite à papa
Qui fait plaisir à ma maman
A ma maman.
Les souilles de non grand-père*
Sont pendues dans l'escalier
Et ma grand-mère se. d:ésespère
De les voir se dessécher. •;.
Car c'est la plus )?elle paire
De toutes les couilles du quartier
On peut venir les admirer
Tous les ans au 14 Juillet.
LE CHASSEUR D'AFRIQUE
MaMan qu'est-ce qu'un pucelage
La Allah, la Allah, la Allah Allah
Maman qu'est-ce qu'un pucelage
C'est un oiseau mon enfant (ter)
Un oiseau qu'on met en cage
Jusqu'à l'âge de quinze ans
Ma p'tit' soeur qui en a treize
L'a perdu depuis longtemps
Avec un chasseur d'Afrique
Derrière- le mur du couvent
Le curé qui las vit faire
A voulu-t-en faire autant
Avec soeur Marie-Thérèse
La supérieure du couvant
La morale de cette histoire
C'est qu'il naquit un enfant
Cet enfant fut une fille
Qui disait à sa maman •..

LES CENT LOUIS D'OR
Un jour étant en diligence
Sur une route entre deux bois
Je "branlais avec assurance
ïne fillette au frais ninois :
J*avais retroussé sa chemise
Et nis le doigt sur son bouton,
Et le bandais nalgré la bise,
A déchirer non pantalon»
Pour un cjosurt d*heure entre ses cuisses
In prince eut donné un trésor
Et noi j'aurais, Dieu ne bénisse
J'aurais donné ^ent louis d'or !
Las de branler sans résistance
La tête en feu, la pine aussi
Je pris sa nain, quelle indécence !
Et la riis en forne d'étuis
Et je jouissais à perdre haleine
Je déchargeais, quel enbarras «i
Sa nain, sa robe en étaient pleines,
Et ça ne ne suffisait pas,
Sentant rallumer na fournaise,
Je lui dit :!! Tiens, fais plus encore !
Sortons d'ici que je te baise,
Je te pronets cent louis d'or!".

~ 83 ~
La belle alors toute confuse,
Me répondit ingénuement :
"Pardon, Monsieur, si je refuse
Ce que vous n'offrez galamment
Mais j'ai jure do rester sage
Pour mon fiancé, pour mon nari,
De conserver mon pucelage,
Il ne sera jamais qu'à lui".
"Tu n'auras pas le ridicule,
Dis-je, d'arrêter mon essor,
Permets au moins que je t'enoulë,
Je.te promets cent louis d'or!"
Au premier relai de la route,
Nous descendîmes promptement :
"Au cul, il faut que je te foute
Ne pouvant te foutr' autrement".
Dans une auberge, nous. entrâmes,
Tout s'y trouvait, bon feu, bon lit,
Brûlants d'amour nous nous couchâmes,
Je l'enculais toute la nuit.
Afin de changer de jouissance,
Je lui dit : "Tiens, fais plus encore,
Livre ton con et tout d'avance,
Je te promets cent louis d'or!"
"Je veux bien, sans plus de harangue,
Dit-elle on no suçant le.,gland,
Livrer mon con à votre langue
Pour np pas trahir mon serment".
Aussitôt placés tête bephe,
comme deux anoureux dans 'lé'lit,
Avec ardeur, noi jo la lèche,
Pendant1 qu?elle "me <suçait le vit. .
Mais la voyant bientôt pâmer''
Je pus lui ravir son trésor '
Et je ne dis la pine entrée :
"Je gagne mes cent louis, d'or!"
Huit jours: après;.cette-aventure,
J'étais do.£etour à Paris,
Ne prenant plus de'nourriture,
Restant tout pensif au logis
A la gorge ainsi qu'à la pine,
J'avais, c'est, inquiétant,, :
Chancres, boutons et on l'devine,
Un' chaud'pir.se on même temps.
Prenant le parti le plus sage
Je ne transportais chez Ricord,
Qui ne dit : "Un tel pucelage,
Vous coûtera cent louis d'or!".

85 -
LEd MOINES
DE SAINT -■ BEHTARDIN
. '.REFRAIN
Et voilà la vie, la vie, la vie, la vie chérie
Ah! oh! (bis)
Et voilà la vie que tous les noines font.
Nous sonnes les noines de Saint Bernardin (bis)
Nous nous couchons tard et n! levons pas matin
Le prieur-x-ous engueule, nais nous nous en foutons,
Voilà qu'est 1?on,: est bonf est bon»
Pour notre dîner, de bons petits oiseaux
Que l'en nonne cailles, bécasses ou perdreaux
De l'andouillett' de Vire et du p'tit vin d!Mâcon
Voilà qu' est bon, est bonP est .bon4- ,
Pour no"us coucher,, dans un lit aux draps blancs
Une jeunenonne de quinze à seize ans
Qu'a la taillé, bien faite et les nichons bien ronds
Voilà qu'*est bon, est "bon, est bon*
La nuit tous ensemble nous nous enculons
Jusqu'au jour ensemble nous buvons, buvons
Puis après sous la table nous roulons et domons
Voilà qu'est bon, est bon, est bon,
- 86 ~
Si c'est là la vie que les noines font
Je ne ferait noine avec ma Jannetcn
Le soir dans na chaubrette, j'iiu. chatouillerai
„ '                              1! bouton
Voilà qu'es± bon, est bon, est bon*

- 87 -
LE MOUSQUETAIRE
Air : "Il était une bergère"
(Tous le"s couplets sont sur le type du premier1'
Quand j'étais mousquetaire;
La rage du cul
La rage du con
La rage du jus
De mes noirs roustons
Quand j f étais mousquetaire,
J'allais toujours bandant,
Eamplan
J!allais toujours bandant.
Je m'en fus au bordel ...
Peut-on foutre en payant ? ...
Oui- m'répond la maquerelle ...
Prenez cette belle enfant ...
Je la prendsy je la baise ...
Je la fous toute en sang ...
Ah ! que dira ma mère ...
En me voyant en sang ...

LES KAIMES
» y. 4
Les p'titesfilles qui vont à la messe
Se mettent dès ooussins sous les genoux
Elles f'raient mieux de se les mettre sous lies
-S-.-:---                                                                fesses
Afin de mieux, tirer un coup
Grand Saint- Symphorien ( v
Confessez nos femaes ( "bis
Confessez les bien (bis) (
La duohesse de la Trémouille
Malgré sa grande piété
A patiné plus de paires de couill&3 "|
Qrae la Grande Armée n'a usé de scaœ-jxLèds S!!
Les duo de Dampierre ayant déclaré
Que tous les oocus devraient être noyés,
Madame de DampLerre lui,a demandé
S ' il; ; était bien sûr de sav oir ; nagé; ! M
Si les femmes pissaient du vinaigre
Et liaient du poivre moulu ;
La salade serait bientôt faites
Aveo le cresson qui leur poussa au oui.
Grmid Saint Symphoii en                                       /
Confessez nos femmes
Confessez les bien .
Confessez les bien.
- 90 «
LE BRIGADIER PANDOR
—=:«'-=>— ——^r*-=rx- r>» =>- r>» zd—rx»
Bitez moi, Pandor.!
Vous êtes bien vaginal ce ma tin #
Où allez vous si pédérastoment
En testioulant de la sorte ?;\
"Je m1 on vais sur les foutrifications,
On y-jouit, paraît-il, d'un priât'Se vulve
Particulièrement olitorosquc."
Bitoz/m'i Pandor
Eculeur compto^-vous rentrez ?
Sur les souilles de bézouille et bézouille
et demi
Si j& n'ai pas trou du cul passion
Eh bien! bandez-bien PandorI

L&3 80 OBA&SEmi
À lVruvortur:> do la chasse
Dans un dhaio.au rioho on gibior
Riche ai gibior
Une mrquis* Sans héritiers
Invita dos shassours on masse
i^Lors vit-on plus d'un chasseur
Àçcouru son? qufon lo lui dise
Et à la liasse do 3.a marquise
Roua étions 80 cha^sburs
80 80 80 80 ohe-sours
80 80 30 GO chasseurs
Qui n!avirnf pas pour !
Encouragés par notre belle
îîous abattions plus d'un faisan
Lorsqu'un ncaiglior effrayant
Tout à coup s'élança sur elle
Malgré sa force et sa vigueur
Et pour déf xidre la marquise
Nous le forçai!1 à lâcher prise
Nous étiens ... etc...
Allons chasseuis vite on oampagne
Dit ■■■■la narquise il faut partir
Il suffit pas d^ se réjouir
Il faut enooro manger ot b^ire
Au milieu dos chants et dos cris
La table fut aussitôt mise
Et à la tabl1 do la narquiso
Nous étions «♦♦ etc.•*

~ 93 -
 
- 94
Lorqu!un nous servit lo chompagne
Lgs coeurs se ...dispos1 à l'amour
Chacun voulut plriro à son tour
À notre illustre compagne
Chacun d!ollo obtint unT faveur
Si bien que la daine était prise
Et;dans lo lit ce la marquise
Nous étions ... 09 etc....
Pour fêter- oc jour mémorable-
La marquiso neuf moir- plus tard
M s au monde un jeune bâtard
Qui aujourd'hui osl redoutable
De sa force ignorent l'àùteui*
Il voulut que 1* m.l'on intruiso
"Tu es" dit la marquise'
L'enfant des'89 chasseurs... qui n'avaient

- 95 ~
L'HOTEL DIEU
REFRAIN
Sacré nom de Pieu, quelle allure, nom de diou (bis)
Sacré nom de Dieu, quelle allure ! (bis).
bis
Au fond de l'Hôtel-Dieu, nom de Dieu ! (
Y avait une surveillante                               (
Qu'avait tant d'amoureux, nom de Dieu !
Qu'elle n'savait lequel prendre,
Ah! Nom de Dieu !
Qu'avait tant d'amoureux, nom de Dieu! ( , .
Qu'elle n'savait lequel prendre, (
Lfintern' de garde, un jour, nom de Dieu !
En mariage la demande,
Ah! Nom de Dieu !
L'intern1 de garde, un jour, nom de Dieu ! (bis
En mariage la demande,                                              (
Le pèrr ne d'mande pas mieux, nom de Dieu !
Ha mère est consentante,
Ah! Non de Dieu !
Le pèr! ne dfmandr pas micux^ nom de Dieu ! (
La mère est consentante,                                          (
Malgré les envieux, nom de Dieu !
Ils coucheront ensemble
Ah! Nom de Dieu !
t 97 -
Malgré les envieux, non do Dieu ! ( bis
Ils coucheront ensemble, (
Dan? un grand lit d1 milieu ncci.de Dieu !
Tout garni de guirlandes,
Ah ! nom de Dieu !
Dans un grand lit d'milieu, nom de Dieu !
Tout garni de guirlandes,
Aux quatre coins du pieu, nom de Dieu !
Quatr1carabins qui bandent
Ah ! Non de Dieu î
Aux quatre ceins du pieu, non de Dieu !
Quatr' carabins qui bandent,
La belle est dans le pieu, non de Dieu !
Elle écarte Ion jambes,
Ah ! non de Dieu !
Vis
bis

M A R G 0 T
Un jour à la barrière
Margot, Margot
Tortillait son derrière
Bien beau, bien beau»
Doucement, je mfapproche
Et puis, et puis
Les deux nains dans- nés poches,
JTlui dis, j'iui dis :
0 na beauté divine
veux-tu, veux-tu
Que je te fout1 m. pine
Dans l!cul, dans lfcul„
Monsieur, n1 ré pondit -elle,
J'peux pas; 3fpeux pas
Je suis encor* puoelle
Hélasj hélas !
Puisqu'il faut que j'connenoc
Eh bien, eh bien,
A toi la préférence
Pour rien, pous rien.
Je la crus sur parole
Jésus, Jésus,
Elle avait la vérole
Je l'eus, je l'eus.
Et aa pine nnoore vierge
Coula, ooula,
Ni plus ni moins qu'un cierge
Voilà, voilà.
Depuis cette aventure
D'anour, d'anour,
* Je ne lave au neroure,
La nuit, le jour4
Depuis 00 jour néfaste,
Mon Dieu, non Dieu
Je n'ouin fait pédéraste
Ca vaut bien nieux#

- 101 -
PLAIdIR D'AMOUR
Pine au cul madone Bertrand
Vous avca'ûes filles (bis)
Pine au cul ïladame Bertrand
vous avec des filles.
Qui ont le cul trop grand.
Elles ont V cul comme des narrai tes
Pour les .enfiler faut des.grosses "bites
Pine au; cul madame Bertrand1 •
Vous avez des filles qu'ont Vcul trop grand*
Plaisir dîneur no dure qu'un instant
Chagrin d'amour dute toute la vie.
Arrêtez, arrêtez cocher j'ai un poil du cul
Pris dans la portière
Arrêtez, arrêtes cocher jfai un poil du cul
Pris dans 1!marchepied
Paut-il pour un poil de cul, pour un poil de con
Paire tant do manière
Paut-il pour un .poil,do cul, pour un poil de con
Faire tant do façon
Plaisir d'amour . ##
Le trou trou de grand* maman
Fait lever là bîte (bis)
Le Troutrou de grand1 maman
Hait lever la bite à grand papa*

Plaisir d'amour ...
Ma mère j!ai l'con qui baille
Ma fille fous-y de la paille
Cré nom de non quelle drôle de façon
De s1fourrer ainsi do la paille dans le con
Jf aimerais mieux un "bien gros vit
Que toute la paille du pays.
Plaisir d * ancur •...
Tiens Marie, voilà cent sous
Pompe-moi l1 noeud
Eends-noi trois francs
Mais non Monsieur c! est "bien trop peu
Pour pomper un si beau noeud
Plaisir dtanour ...
Les femmes ça pue, ça sent la charogne
Les femmes- ça pue, ça sent la morue
Y.a que l'treu d'mon cul
Qui sent l'eau de Cologne
Y a que lvtrou d'non cul
Qui sent la vertu,
Plaisir. d! amour ...
Si jfte foutais ma pine dans l!cul
Prendrais-tu mes couiUes pour des mirabelles
Si j'te foutais na pine dans l'cul
Prendrais -tu mes oouilles pour des prunes au

- ±04 -r
Plaisir d'amour ...
Tripote-moi la Mte avec tes doigts
Ah! la belle bibite
Tripote-moi la bite avez tes doigts
Oh! .la belle bibite en bois
Bite en bois, ad bibitum
Plaisir d'amour ...
SPu l'as voulu t'en plains pas
Fallait pas y aller, ma p'tite Msotte
Tu l'as voulu t'en plains pas
Fallait pas y aller avec les doigts.
- 105 -
QU'ON M'APPORTE
Au paradis guit jours avant sa faute
Le père Adam bandait comme un sochon
Dieu qui lo vit lui ota une côte
Qu'il façonna pour faire le pronier...
. KM
Qu'on apporte qu'on apporte
Des femmes et qu'on les deshabille
Qu'on apporte qu'on apporte
Dos fomnos ot qu'on les fouto à poils
Comment Noo repoupla-t-il la terre
Avec sa femn' dons leur uniqu' maison
Y en a qui disont que c'est par la prière
Moi je prétonds que c'est à coups de ...
Pourquoi David prit-il une puceUe
Dans sos vieux jours et froid comme un glaçon
C'est pour avoir en dormant avec elle
Le doux plaisir de lui tater le ...
3 émir ami s la rein' de Bablylone
Sémiramis la reine aux blancs nichons
Fit appeler Arohimède en persoB&e
Pour mesurer la largeur de son ...
Quand Zénobie la reine de Palmyre
Fit à son nom subir une ablation
Eli' répétait avec un doux sourire
Jfaime bien mon nom quand je l'ai dans le ...

- 106 -
Quand Ménélas eut reteurvé Hélène
Dans un boxon de l'antique Ilion
Peur s'assurer qu'elle lui serait fidèle
Dvun cadenas il lui boucla le 9m,
Pourquoi Enée.a t-il quitté la Grèce
Pourquoi César franchit le-Rubison
. _ - C'est'quf si les Grecques avaiont de belles fesses
Los Italiennes ont de pltfe ■jolis «..
Lo vieux... Prian du haut de ses tourelles
do masturbait' ceoiie un foutu cochon
C'est qu'il avait, vu là-bas dans la plaine
"Dos .feixios nues qui s'astiquaient le ...
Pourquoi Platon n'avait qu 'taie soûl1 c oui lie
r: •         Pourquoi' Platon n'avait qu'un seul rousten
C'est que la nèr! de cet illustre andouille
Avait'gardé l'autre au fond de son *»•
Pourquoi Paris en jugeant les déesses
. Héprisa--"t-il et Pallas et Junon
C'est que de? deux il ne vit que les fesses
-: Et que Vénus lui présenta le .•«
",- Napc lé on épousant Joséphine
Tout l'nend' disait qu'il avait bien raison
Car l'empereur vait une sacrée pine
Et Joséphine avait un sacré • • ♦
¥apr lé on heamé de renommée
Conquit l'Europe à grand coups de canon
On lui offrait couronnes et trophées
Et Marie-Louise lui offrit son ».♦

-. lue -
Los imbécil's ainsi que les vicaires
Auraiont voulu interdir1 ma chanson
Ni l'un ni l'autre ne serait sur torre
61 leur maman n'avait prêté son ...
Allons vieux frère encore une bouteille
De t brn vin qui fair perd' la raison
3i l'on ~n bcit on peut fair' des merveilles
di l'en en bcit trop on s'endort sur le ...
- 109 -
ST£KCEà A dOPHE
Tu m'demandes tes : lettres, ta photographie-
Ton éponge à cul, ton bidel d'métal
Je m'en fous pas mal, ingrate d.ophie
Et j'te renvoie l'tout par colis postal*
Tu veux faire la peau,, un me lier dfgrenouille,
Et me remplacer par d'autres amont s
Mais, veio^tu, j'm'en fooa come d'ia peau
d*mes couil3.es
Car tu pues du bec et l'as 1' xn trop grand.
Je t'ai rencontrée un .soir dans la rue,
Où tu dégueulais tripeo et boyaux
Ah! si j'avais su qu'tu n'étais qu'une grue
J1 t'aurais balancée par .V trou deo geg'nots.
Mais j't'ai ramassée,. Dixi, que j'étais bête
Car le lendemain je ri' suif aperçu
Que j'avais .des morpions des- pieds à la tôto-,
Des p^ils du nombril jusqu'au trou du cul-,
Ei le lendemain t'avais tes aifaires
Le sang inendait la hoiibr ) a loucher?
Nfa-t~il pas fallu pour te satisfaire
Que j'te liche le yxi pour mieux le sécher ?
En ai-je bouffé de tes portos blanches !
Mais quand j'ai voulu tirer un bon coup,
Tu ne gigotais pas plus qu'une planche
Et je n'esquintais sons rien faire du tout*

Et puis tu avais des passions honteuses
J'en rougis encore rien que d'y penser
Et pour apaiser ta chair luxurieuse
À tous tes caprices m'a fallu céder. ;.:
N'a t-il pas fallu que ma langue se perde
Dans les plis profonds de ton trou de cul
Je lfai retirée toute pleine de merde
J'en ai dégueùlé, tu n'en as rien su.
Adieu pour toujours, va, tu me dégoûtes,
De toi, je me fous, je sais me branler .
Je ferai gicler mon sperme goutte -à goutte
Plutôt que d'revenir te caramboler.
Oui, c'est bien fini, je le l'dis, sans glose,
N'ayant plus d'putain, je n'serai plus cocu.
Et si par hasard, je te fais quelqu' chose,
Ce n'sera jamais qu'un coup d'pied dans l'cul.

112 -
TROU NORMAKD
Aaiëf il existe un nouent
Où les fennes, les filles et les nères,
Anis, il existe un moment,
Où les ferxies ont "besoin d'un ornant
Qui les chatouille
Jusqu'à go qu'elles nouillent
Et qui les -baise
Le cul sur une chaise,
Mes anis, pour bien chanter l'amour
Il faut boire (ter)
Mes amis, pour bien -monter lfanourf
Il faut boire, la nuit, le jour,
A la santé su petit conduit
Par où Margot fait pipi.
Margot fait pipi par un petit concon,
Par son petit duit duit, par son petit conduit
A la santé du petit conduit
Par où Margot fait pipi.
Il est en face du trou
Lai* trou, Laî trou, laï trou la 1ère
Il est en face du trou
Laï trou, laï trou, laï trou la 1ère.
Il est en haut du trou, etc.*
Il est en bas du trou, etc •••
Il est à gauche du trou, etc....;
Il est à droite du trou, etc...
Il est très loin du &rou, etc....
Il est tout près du trou, etc.,
Il passera par le trou, ctc«»«
Attention! verre aux lèvres!
Un instant do silence!
Une minute de recueillement!
Une seconde d'abnégation!
Verre aux lèvres!
Cul secf
113 -
Il est passé par le trou, etc...
Il descendra par le trou, etc..»
Il sortira par le trou, etc ...

TRAINE TES GOUILLES
REFRAIN
Train1 tes souilles par terre
ïrends ta pine à deux nains, non cousin,
Nous partons on guerre,
A la chasse aux :putains.
Ce n'est pas par le .cul
One se frnt les cocus
Mais c'est bien par le con
Que los cocus se-font.
Re, re, ro, regarde donc; .
Cré non de non,,
La petite dame du second V
Qui est à son balcon
Qui a les yeux fixés dorme un canon
Sur le deuxième bouton
De. Lion pantaki, de. non pantaka,
De non pantako, de .non pantalon.
- 115 -
Re, re, re, regarde donc,
Cré non do non
Les beaux nichonc !
Cré non do Dieu, ~"
Les jolie yeux !
Cré non -à1 un chien,
Jfla boiserai bien
Et tbij ot noi, .ça ferait du bien !
Elle est puecdle (bis)
Nony non, non, ce n'est pas vrai;,
Y  at-il des cocus parmi nous ?
Lesquels eent-ce ? (bis)
Y  a t-il des cocus pami nous ?
Tous, tous, tous !

- 116 -
LE PERE HJPMLOUP
REFRAIN
Zut. Merde, Pine et box on
L*Père Dupanloup est un cochon
L'Père Dupanloup dans lf utérus
Etait déjà si plein d'astuces
Que dans le ventre de sa mère
Il suçait la queue do son père,
L'Père Dupanloup dans son berceau
Bandait déjà canne un taureau
Pour satisfaire ses caprices
Il enculait sa vieille nourrice
L'Père Dupanloup 1! 14 Juillet
Alla s'promener à dos de nulet
Pour que sa fête soit complète
Il encula la pauvre bête
- 117
L'Père Dupanloup monte en bateau
Mais il avait l'système si beau
Qu'il avait bien sent nille grenouilles
À lui sucer la peau des -souilles
L'Père Dupanloup nonte en ballon
Mais il avait l1système si long
Qu'à trois cents mètres de l'atmosphère
La peau de ses cquilles traînait par terre
L'Père Dupanloup dans un wagon
Se conduisait comme tin cochon
Passait sa bito par la portière
Il éborgna le gard'barrière
L'Père Dupanloup à Zanzibar
Voulait montrer tout son bazar ' •
Mais empêché par une patrouille
Y n'put montrer qu'une de ses couilles
A la prise do la Smalah
Dupanloup était encore là
On le chercha devant derrière
Il enculait les domadaires
A la bataille a'la îioskeva
C'est encoro. lui qui nous sauva
Il n'eut qu'à montrer sa biroute
Pour mettre les Russes en déroute.
Pendant la grève des tramways
Il montra bien ce qu'il était
Pour aiguiller les grosses machines
Il appuyait avec sa pine.

L'Père Dùpcnloup quand il fut vieux
ïïe bandait plus qu* un jour sur deux
Il se coupa les couilles de rage
Pour en faire un sas de voyage
L*Père Dupaaloùp dans son cercueil
Bandait encore comae un chevreuil
Avec sa pine en arc de cercle
Il essayer d*soulever 1Tcouvercle,
L'Père Dupanloup au Paradis
Voulut baiser Vierge Marie
Cre non de Dieu dit 1!éternel
Prends non ciel pour un bordel.

- 120 -
~ 121 -
ALLONS A ïl'iooUK
Ils étaient doux orienta
Qui s ' aimai ■■ nt. tendrement
Qui voulaient voyager
Mais ne savaient xrxiont
Qui voulaient voyager
Mais no savait oemmont
Le vit dit au yn ;
Tu seras bâtiment
Je serais la grand mât
Que l'on plante dedans
Mon reus ton de gpnzho
Sera lieutenant
Les peils de non oui
Seront les hantons
Et les morpions
Grimperont dedans
La peau de mes eeuilles
Fera veile au vent
Le trou de mon xil
Soufflera dedans
Sac^ré nom de Dieu
Ca puera "bougrement.

« 122 ~
LA SALOPE
Il était une fillo
Qui s'appelait Suzen
Et qui aimait à rire
Avec tous les garçons !
RSFIiAEN
Ah! la salope
7a laver ton cul malpropre
Car il n!est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela (bis)
II
Et qui aimait à lire
Avec tous les garçons
Mais à force de rire
Son ventre devint rend.
III
Mais à force de rire
Son ventre devint rond
Sa mère lui demande
Qui tra fait ça Suzcn ?
IV
Sa mère lui demande
Qui t!a fait ça Suzon ?
C!èst le fils du gard1barrière
Par derrièr! la maison»
- 323 -
C'est l'fils du gardbarrière
Par dorrièr1 la maison
Il a mis noun ma robe ■
In gros "bâton tout rond
VI

- 124 -
LE MUSEE D'AIEîMEd
Air 2 "potit navire"
mmuLE
Et les rc ustons, tcn, tcn du pèie Plat en (bis)
Dans du o^ten,,* Hydrrphi......,..le#
4
I
Vcur- verrez coi musée d'Athènes
Un brut d'ia quouo à Démos thènes,
II
Vous y verrez dans une vitrine
Trois poils de cuX à Prcserpine
III
Vous y verrez Junon, Hercule
Photographiés quand ils s' eneulent
IV
Vous y verrez le discobole
La pine rongée par la vérole
V
Vous y verrez la chaste Diane
Le con bouche par une banane
VI
Vous y verrez la belle Hélène
Lorsqu'elle on a la bouche pleine
- 125 -

126 -
VII
Vous y verrez Aristophane
Quand il se p'lit la banane
VIII
Vous y verrez l!bel Alcibiade
Qui lire son, eeup en zxnq saocades
IX
Vous y verrez lfgrand Périclés
Les reupettes noyées dans la graisse
X
Vous y verrez le visn.1 Hpnère
En itraia-d!cnoulor sa belle nère
XI
Vous y voirez le père Ulysse
îïi train de soigner sa ohaudo pisse
XII
Et l'idyllique Théoorite
Dans l'oul d'un bouc poussant sa bite
XIII
Vous y verrez l1cochon dr.c5corate
La main dans sa probe qui s1 la gra.tte
XIV
Vous y verrez une des fesses
De dapho la belle poétesse
XV
Vous y verrez dans une onphere
Un peu de foutre au vieux Nestor
XVI
7"ii y verrez' un puvOaga
Koi:iific dejir un r-rx^r pnagep
- 127
ÎE6 FlLL^o ;„.: L_. ROCHELLE
Les filles de La Reehelle
La .Allah, Allah, AU ah. 0 Allah:9 Allah,
Lep filles de La Rochelle
Ne ©ont pas bégueulofe du tout
Elles portent des   ?Jiomisettes
La Allahs...
Elles partent C. ■■.     herd.settes
Qui nMeur arriv:  pas -aux g'nôux
Le tailleur qui les a faites
La Allah,,.
La tailleur qui 3c s a faites
A regarde par en d,p-sous.«
jfel a vu une ehapolle
La Allah,•••
Il a vu une Chapelle
(jui n'est pas eelle d^ Saint-Oloud
*
£our entrer dans oette ehapelle
ici Allah, •♦.
Pjbur entrer-" dans setto ehapelle
Ij faut se mettra à genoux.
il faut présenter un vierge
la Allah,*..
Il faut présoïlor "un derge
Qui n'ait pas de ne-iie au bout»

- 128 ~
Oar s'il y avait une mèche
La Allahe.,
Car s'il y avait une mèche
Ga fouirait le feu partout.
Et les pompiers d!La Rochelle
La Allah.....
Et 1)0 pompiers d!La Rochelle
N'en vi on ciraient jamais à bout.
Et les p!tits gars &rLa Rochelle'
La Allah.. »
Et los p'tits gars d'La Ro-holle
Pourraient plus tirer leur »ooup#
- 129 -
£
BRABAIïOOM-J D'UH-J PUïAffi
Je ne Souviens Itrsquo j'étais jeune fille
Qu'un jeune gxrçon qui passai! par b'stihour
Me trouva, si jeune et £i gentille
Qu'il nie fit Vcq-t sa grosse pine en chaleur
Et tout à coup ^ous non jupoon s1 élan ce
L'énorae queue du1 il tenait à la main
Il déchira mon vraie d'innocence
Voilà pourquoi j.$ mo suis fait putain (bis)
Je ne sais pas s
j ' étais un pou coquine
J'aimais déjà mi'on no chatouille le bouton
J'avais gou^/de ce 'ixn ju^ de pine
J'avais reçu Au foutre daias non con
J'avais baisé je n'étais plus pucelles
Je ch élis sais le. mciior do putain
Plus je baisais plus je devenais belle
Voilà pourquoi jo no suis fait putain.(bis)

- 130
Quoique ge_ no s^is qu'une fille publique
J'ai de l^aneur et do l-1 humanité ••■
T'^ut citoyen de notre libre Belgique
Pourra, baisers, jouir en liberté ;
Pour de l'argent le riche aura na^ f^nte ■■
Le pauvre lui pourra baiser pour rien
Peur soulager. 1 ,hunani"té souffrante-'-
VodJ-à pourquoi je no suifi fait putain» (bis)
-.131 -
L«INT.^RÎllïIÛNALt; DÙ6 i^lJIiuïîo
France
Cfest Thérèse qui; rit quant on la baise
Latin
.Régulus voulut qu'on âa lui suée
• Espagne
C'est France donnez qui bande à l'aise
Puisse
Tu te Berne9 l'aura pas nun irou d'Bâle
Angleterre
Mas ter Eitt se branle5 se branle le bite
Allemagne
Baisse ta gaine Gre1 jlion que j1 baise ta
croupe
Pologne
Ladislas s* lave la pine au whisky
Bulgarie
Romanoff suée la pirm au sous off
Russie
Dinitri qui trai.no ses veuilles en ski
duède
Lève ton pull que jfplrto ton avant scène

- 132
Italie
C'o-st Lolo qui est ravio au lit.
Madagascar
Bando bien fort car .ta nana arrive
Israël
BoniiG 1t.ii zeb Jacob que j'tel aviv
Chino
Li oali sa bite en chiant d'osus
:               Japon
Qui c'ost-y qui m1 a rais ça au oui
Ccngo
Li méchant blano bais'fournie à Bamboula»
- 133 -

DAKd UNE TOUR DE <,ONDE£d
Dans une leur do Londres
Y*a dos morpirns qui m'emmerdent la nuit
dans bruit
Dans une trur de Londres
Y1 avait un prisonnier (bis)
Y'avait un prisonnier
La pine au oui les mouilles pendantes
Y'avait un prisonnier
La pine au oui bien enfoncée.
Ohé, Ohé, Ohé !
Il no voyait personne • •♦
Que la fille du geôlier (bis)
Un jour il lui demande
La elef pour aller ohier (bis)
Il s*assit sur le trône
Il se nit à ohier (bis)
En attendant qu!ça sëohe
Il se mit à ehanter (bis)
J*emmerde les gendarmes
Et la maréohaussée (bis)
Les gendarmes l'entendirent
Et vinrent le truoider (bis)
La nirrale de l'histoire
C'est qu'il ne faut ohier
dans avoir de papier*

¥56 - ■:-■:
ÏÙ6 EïTO>IiH!fc> J)È FIUÏOS
BICFRâffl
Ohé! ohe!
Vivent les étudiants do France
Ohé! cité!
Vivent le s étudiants fronçais
Lo^ ferjnes. dr>s étudiants
Sr nt iiaudoe oonna- la "braise •
Quand elles nVont■.pas d'aiiants
Elles prennent des bâtms dT ehaises,
Nous irons m bordel
Nos père y ail aient bien
Enoilor les naqu1relies
Et baiser les putains.
Nous irons à l'église
Nos pères y allaient bien
En.ou.ler la maîtrise
Et branler le saoristain,
Quand nous irons en Chine
Jjes femmes des mandarins
Nous cu serons la pine
Au son" des tambourins.
ai ta femme est gentille
Bourgeois faut la prêter
■dinm gare à'\ta fille-/
Elle se fixa violer,
Si le bourgeois -rouspète
Il se fera cirer
Cirer sur les reupottes
Jusqu'au jugement dernier,
157 -

l: femi-ïh] du roulier
Il est minuit
La femme du roulier
S'en va de poria en porto,
De taverne on taveïïie
Eli1 cherche soir mari .
ïireli
Avec une lanterne
Madam1 l'hrtesso
Ou e-°t d'-ni mcn nari
lrn Liari est ici
Il est . àcxiF la f euponte
Il y prend sos ébats
Tirola
Avec nrtro servant;).
dalaud -'d'ivrogne
Pilier do cabaret
Tu os là qui te saoules
Et qui fait ripaille
Pendant que tes enfants
Tirolan
dont y- uchés sur la paille
El toi la belle
Aux yeux do merlan frit
Qui m'as pris mon mari
Je vais to prend1., mesure
I),un! bonn1 culett' de peau
tfirelo
"Qui.ne craint pas l'usure/
-.139
Tais toi, na femme ,> toisâtoi
Tu m'fais ehier
Dans la berm1 r où été
Est-ce ainsi qu'en s1 comporte

^'to fous mon pied dans lfcul
T^rplu
dit tu n'prends pas la porte
Pauvres enfoirts !
Mes chers pétris enfants
Plaignez voire deetiri
D'avoir un'pareil père
Je l'ai trouvé souche
Tixolé
Avec une aitro nèr"v
Pèie a bien fait
Lui dire: ses enfants
De s* en allsr x:uiier
Avec la cell1 qu'il aime
Etéquand nous serons grands
Tirelan
Nous en ferons de moine
Méchants enfants
Sacrés cochais dl enf ants !
d'écrié la mère furieuse
Et pleine do colèr©
Vous serez tous cocus
Tirelu
Commf le fut vetro père,*



~ 140 ~
 
- 141-
Cette fois jo soîif Mon qultu nTlas nis
Ce nrcst plus ton p'tit doigt qui
Et1 chatouille
Je sens ton nonbril contre lo mien
Et la chaleur de tes ooui3J.es
Ton doigt n'était pas si nouille
Il entrait et roso-rlait'sans cadence
Maintenant o!os1 bien plus réguler
Ah îlcn de Dieu, ah nom de Dieu !
Quelle jouissance !

- 142 -
LA POMPE A MËHBE
Et puisqu'il faut que ri on n1 so perde
Dans la nature (bis)
Où tout!est bon (bis)
Amis pressons la pompe à merde
Le jour paraît à l'horizon*
Parlé : Faites avancer la prmièro vriture
Vérifier les manomètres
Renverser la vapeur
En avant tout doucement !
la
Pompons la merde9 pompons gaiement-
En envoyant s'faire foutre ceux qui
n* sont pas contents !
En passant place do la République
Quand 1*petit jour xmaence à se lever
On entendit un grand bruit métallique
La pompe à merde se mit à fonctionner^
rioupo à l'! oignon, bouillon démocratique
Perdreaux truffés du faubourg rit Germain
Yous serez tous c'est une li physique
Beuffes un jour chies le lendemain.
Fille de rêl do 1|â. beauté si fi ère
Tu dois chieJ^fSStei«Dieu l'a voulu
Ton cul rayai comme un ml prolétaire
A la nature doit payent son tribut,
Humble ouvrier, ta modeste cuisine
Te fait du riche envier les festins
Console toi les produits qu'il rumine
îï-.i re vendrons pas plu,"7; -»,h:;rs au ■ les ti
l?\ <."*
& ^ c
- 143 -

~ 144 -
Puissants du jour qui bouchez vos narines
Qjiiand nous pompons le fruits de vos excès
àl nous cessions do vider vos latrines
Que sentiraient vos splondides palais ?
0 vanité dos parfums de ce monde
Roses, jasmins, qu'êtes vous devenus ?
Vous embaumiez à cent lieues à la. rondo ;
La merde passe et vous ne sentez plus#
Nous voudrions bien que le canon tonne
En proclamant la patrie on danger
Nous saurions tous, en vrais fils do Bellone
Mieux que Cambreraie emmerder 1T étranger.
Dieu pour nos sens créa, los fraîches roses
La papillon-, aux'brillantes couleurs
Les gais refrains pour les esprits moroses
Et pour nos culs il fit les vidangeurs
NINI'PjISII DE CIIIEN
Quand elle était polite
Le soir elle allait
A mainte-Marguerite
Pour se s os .saler
Maintenant qu'elle est grande
Elle fait le ircltcir
Avec toute la bande
A Richard Lenoir*
Elle a la peau douce
Aux t-achos do sm
Une odeur de rcuoso
Qui donne le frisson
Et dansées prunelles
Aux tons vert de gris
L'amour é tin celle
Dans ses yeux d'r'uris,
Quand le soleil brille
Dans ses cheveux roux
L* génie d*la Bas"ii!lo
Lui fait les yeux ci: ux
Et quand elle s1 promène
8ulT bord de canal
-|T .....-- -Tout 1? quartier s-1 ramène
Du bout df l'arsenal,

- 146 -
Et le gars qu' ollo aime
Qu13llo a dans.la poau
C' est Bibi la crème
Paroo que c'est im homme.
Qui n1a pas le foie blanc
Aussi faut vrir comme
Nini l'a dans l'sang
REFRAIN
A la Bastille
On l'aimo bien
Nini poau do chien
Elle est si belle et si gentille
Qu'on l'aine bien qui ça ?
Nini pe.au de ah ion ou ça Y
A la Bastille.
- 147 ~
LE (JURE PIEdAU
Je vais vous raconter L'histoire
De Pineau curé do :h ^z nous (bis)
Rjioau ml papa,, Pineau cul maman (bis)
RLneau cure do chez nous (tais)
Monsieur 1* curé est un saint home
C'est un compagnon do Jésus
C'est un oon papar c'est un c on'maman
C'est un compagnon do Jésus.
Monsieur 1'curé a d'-s calottes
Des calottes do drap noir.
Monsieur 1'curé a dos plates bandes
Il en cultive des fleurs.
Monsieur l'curé a une foniaine
Au bord d'elle il va s'asseoir*
Monsieur 1'curé a un caresse •
des rrues pètent our l; pavé.
Monsieur l'euré rouf-: on chaire
don grand vicaire le suit.
Monsieur l'euré dii au vicaire
d or tons z'observer le couchant,..
Monsieur l'euré aime Ion Anglaises
Pour leur sin.,. gularité*

Monsieur l'curé aime les chinoises
Pour leur corn,*, préhensivité..
Qui est-ce qui a fait cette chanson,
C;est Pineau le curé de chez nous.
BANDAIS-TU
Refrain I
Bandais-tu, bandais-tu fort ? I
Quand tu pelotais les nichons d!Adè|
Bandais-tu, bandais-tu fort ? I
Quand tu pelotais ces. divins trésor!
Si tous les pavés étaient des birôutes I
On verrait les femmes s*coucher sur les routl
Si les cons poussaient comme des poçme de tel
On verrait les pines labourer la terre I
Si les cons nageaient comme des grenouilles I
On verrait flotter bien des paires de couilJ
Si les c-ons volaient comme des bécasses I
On verrait les pines "partir à la chasse. I
\
. v
-■• '\

- 150 ~
'FRùM GDILLAWEl-IiS
Frère Guillaunetto
Quand tu renernfr as une filloîta
Que fais-tu ?
ÂLien
Ja l'emmena dans Lia ohanbretto
Domino mine,. domine rainette
Je m'emmène dans ma ohambratte
Domine.
Frère la Guil3.ouinette
Quand tu ran entras uno fiLlott©
Que iu 1T emmena d;ms ta iiaiïbrette
Que fais-tu ?
Amen.
- 151 -
Je décharge dans sa '; raque tto
Je tira una première sraiapette
Ja tire une deuxième trompette
J*sans lfBai Dieu èour mns roupattes
Ja m1 fais faire una petite lidh.ette
Ja lui fais una p'tite min3tte
Je lui fous dans l'treu qui pète
Je rrtira'Lia p'tito bistreuquette •
Puis je la-baise an levrette
J!lavo la belle danc: la cuvette
Jg
Ja
J1 demande parclcr
-u-us je ±a- oai^-a an ■j.ovraxi'G           ^v
r'iavo la belle doxifi la *nivette ^ ?
fe-m'l'essuie danr la soiriel-iof?^ /
ra bois l!eau do la eurvotto /A
messe
Ja TeiïiQTiho une -autre nonetto \
Je reeommenoe 3.rhistoriette,

152 ~
MINUIT JHRfcTIHÏ
ïlintiit bourgeois9 c'est l'heure solennelle
Madame vite est entrée dans son dodo9
Monsieur bien vite a soufflé la chandelle
Mais dédaigneuse, elle tourne le dos.
Bientôt son corps trésaillo d'espérance
Dans cette nuit où naquit le sauveur
Dessous les draps, elle sent qu'il s'avance
Noël ! Noël ! Voici le Rédempteur (bis)
Monsieur bien vite, a brisé tVuto entrave
Et l'oreiller en a volé en l'air
Fou do désir2 de passi on ? il en bave
À ce mrmont s'accomplit le mystère
don neeud puissant est dur comme du for
Madame voit les ci euy s ' ontrr uvrir
Est-ce Jésus ? Non- }*osf son potrt frère !
NoKL ! Noël i Jo sens le Rédompiour ! (bis)
-153
JEAMKBTON
Joannoton prend sa faucille
Larirette, larirette
Jeanneton prend sa faucille
Pour aller couper des joncs.
En chemin elle rencontre
Quatre jeunes et beaux garçons.
Le premier un, peu timide
Lui caressa le menton.
Le OGocmà un moins sage
Le. coucha sur le gazon
Lo troisième vli intrépide- :          -----
Lui souleva le jupon
Ce que fit le quatrième
N'est pas dit dans la chanson
Si vous le saviez, mesdames
Vous iries couper dos joncs
La morale de 'ïotto histoire
C'est qu'les hommes sont des cochons
La morale do ?ctte histoire
C'est qu'les femmes aiment les cachons.
 

LA PfîAU L'OOUIÏLE
Y!a qu'la poau d'couilles
... Pour conserver 1' tabac
Voilà, voilà, voilà, lo refrain militaire
Y'a qu'la poau d1couilles
Pour conserver l4 tabac
Voilà, voilà, voilà le refrain du soldat,
Moi j'm'en fous, j'ai du poil au cul
Ca m1 tiens chaud l'hiver
En été j'me les fait couper
Pour nioux respirer
Tiens ïitino voilà cent sous
Pompe moi l'noeud, ronds mai trois francs
Non, monsieur, c'est bien trop pou
Peur sucer un si gros noeud*
ïiipote moi la bito avec les doigts
'Ah! la bille biroute
Tripote mai la bito avec les doigts
x\h! la belle birouta aa bois.
Lfas4»tu vu ? oui je l'ai vu
L'abricot de la cantinière
L'as-tu vu ? oui je l'ai vu
don p'tit abricot fondu*
Il est tout noir, il est tout blanc
L'abricot de la cantinière
Il est tout ncir, il est tout blanc
Il est fendu par devant,
I                                               - 155 -
Ma mère j'ai l'eon qui baille
ïp fille feu? y d1 la paille
Gjrénom de nom quelle drôle d'invention
Otie de se foutre de la paille dans le xn
gainerais mieux un bon gros vit
Qi^e toute la paille du pays,
Traîiie tes couilles par terre
Prends ta pine à deux mains mon cousin
Notys paxtons en guerre
A Ip. chasse aux put aine»
Quand je bande
Ma pine touche non vxatre
Qjoand j! bande plus
Ma^ pine toucha mon cul,
Il est ovale men trou ce balle
Il n'est ni rond ni carré ni pointu
Il est" ovale mon trou ce balle
II, est ovale le trou de mon cul»
La bito la bito (bis)
C'est la bito à m n père
La bito la bito
C'est Xa bite à papa.
Qui fait plaisir à ma maman
Chagrin d!aa_mour ne dure qu'un moment-
Plaisir d'amour d'amour dure toute la vie*

#.YÏ=ïï*
 
lit n*/2 VIS!

^S
A
 
& p*t>*l
1 l 1$**'**-^ .;::f
 
- 157 -
IE BORDEL A Fmil 6:ùi VOIETd
•»^3«t „ •■^»w «^C^-B*C« •*•€!«. **» «-*.«-: ■* US*5* -—^ "» 33e-* -i-3*» ZH^^^Hlj^^
Le bordel a fermé ses v lets
Elles sont toutes vérelées
Y  a plus moyen.qu'on "baise
Le dernier qui y"ont allé
Pour s'faire faire un pompier
Est r'venu avec la pino enflée.
2
Le toubib qui les a visitées
A tout de suite déclaré
Y faut plus qu'on les boise
La maréchaussée les a toutes bouclées
ET lfbordel a fermé ses volets
3
Tôt or qu'est un habitué
À voulu y aller
Disant % "C'o^i cVla frutaise!"
Mais trois jours après y n1 pouvait plus
marcher
Tan1 sa pino éiaii délabrée!
4
À l'hosto. on lla transporté
Lui laissant supposer
Que ce léger malaise
N1!1 empêcher ait pas d1 revenir toiser
Quand l1 bordel rruvrirait ses volets,



5
Le toubib lui ayant ocnseillé
î)e ne plus oolter
$cxi£ sa sapote anglaise
Aussitôt rfmis sur pieds* il en a oenEiandé
IJcuze douzaines ave 3 "bout renfcroé.
Au premier vup qu!il a tiré
C'est ses souilles qui ont la^hé
Ras la oapote anglaise
On les a ret<~urvéas aux quat! ooins du
\                                                   quartier
Et 1! bordel a fermé ses volets.
7
Maroha funèbre
loter n'est plus
îep putains l'ont dépendu
Un Fronçais de plus
Que lis Anglais aurons frutu
Et sa pino
Qu'avait belle mine
Ne bandera plus
.ainsi triomphe la vertu,
- 159 -
' 8
Le b> rdel a rcuvert ses volets
Par un beau matin de mai
Au temps dis premières fraises
L'persormel était entièrement renouvelé
Et la tôlière était toute en beauté•
9
La foule se pressait et riait
Elle avait oublié le danger
Quand on baise
Etait d'se oercfior aux ma ohins anglais
Et le bordel s'est payé des bidets,

- 161 -
LfINVALIIXiî EiS LA PINfi DE BOId
ïl faut le voir poux le oroire
Venez dcno veir^ venez dono voir
Il vous épatera bourgeois
L1 invalide à la pine de bois, bois
L'invalide à la pine de bois.
Je viens de voir, o'ort un vrai prodige
Enfoneés les frères riamois
Je viens do voir? j'en ai lfvertige
L'invalide à la pine de bois*
Vn honnie dont la pine se dévisse
Et qui se fort àer norpims
De la vérole, de la iiaude pisse
Ce qui lfemmerde 3'onl .les bubons.
Faut vou? dire que eet honme étrange
Est muni de plusieurs étuis
Contenant des pinen de rechange
En bois de différente pays.
De sa campagne d'Italie
Ce brave et -vaillant guerrier
À rapporté la plur "jolie
La pine en,bois do Laurier.

- 162 ~
Quand il a calle an "bris do iian^
De dix coups o3Ia prrta la fardoau
Quand il a colla en bris d'ebèno
Il baifîo cr-ixio un mcricaud.
Il annula xmo un Kaby].a
Quand il a colle en p&lLiiar
Ht il baisa canne un imbécile
Quand il a colla on /'liviar.
Quand il a callo on bris de iiama
Aucun* ferme peut lui résiatar
On lo voit bander co-Hcie un came
Quand il a celle 'on pcivrior
Mai? voilà s'n plu? grand vice
Dèo qu'il vit un:: femme 1a ua s or
Il m "t aa piao on bods d'régliaae •
Qii-'ï vit- il va lui fcd.ro auear.
Avec s en étui fidèlo
Il peut toujours bo contenter
Vaut-il oniancor un.:; puaa'le ï
Il net sa pino en oranger
Ei parfria a!i3. oat raalade
13. peut lui--mômo so soigner
Car il pi^sa do la limanada
Avec aa pina on citronnier..

- 164 -
MADAME FOURINA
"Madame Fourina, 1CO rue de la Lune", muni de ce :
précieux renseignement, je me rendis à l'adresse
indiquée et d'adressant à la concierge : "Madame r"
Fourina SVP ?" "Connais pas, enfin montez toujours
vous verrez", me répondit-elle d'un air:rogue.
Peu encouragé par cette indication, j'hésite à
m!engager sous la voûte, mais je me décide a monter.
Au premier étage je rencontrais-une femme de
chambre, jeune, accorte, l'air engageant.
"Madame Fourina SVP ? mon enfant" "Madame Fourina
la célèbre pompeuse de noeuds, au troisième, la •
porte de gauche". "Merci mon enfant" dis-je en lui
glissant dans la main une pièce du Pape, et je
montais rapidement au troisième étage la porte-à
gauche. Je sonne,-un monsieur? correctement vêtu ■ ;
la rosette à la boutonnière, vint m'ouvrir .
"Madame Fourina ?" "C'est bien ici, donnez-vous la
peine d'entrer, cher Monsieur. Certes vous ne
trouverez pas ici le luxe insolent ni l'opulence
de mauvais aloi qui caractérise les maisons de
prostitution, mais bien le confortable bon goût
qui sied à un ménage étroitement uni. D'ailleurs
Madame Fourina, mon épouse, n'opère qu'en robe
montante et je ne tolérerai jamais que l'on se
permit la moindre privauté à son égard. Je puis
ajouter que nous avons dans notre clientèle les
membres les plus huppés de la noblesse, de
l'armée et du clergé.
Donnez-vous la peine de vous asseoir,
cher Monsieur. Permettez, c'est moi qui déboutonne,
Oh !*0h j Oh : .Ie superbe organe ! jamais dans ma
carrière'je ne vis un appareil testicuo-urinaire
aussi bien constitué que celui de Monsieur.
; ' Mais je m'aperçois que si je continue
les passes longitudinales, le sperme ne tarderait
pas à jaillir-et Madaine Fourina ne pie pardonnerait
jamais d'avoir empiété sur ses attributions
personnelles.
v Voyons, quelle méthode désire Monsieur ?
Madame Fourina a trois, méthodes ": la méthode
ordinaire, la langue ^trompeuse et la méthode Fourina
qu£. m'a valu -la décoration que je porte à la boutonn:*
•,'■■!. La méthode -ordinaire je ne vous ferai pas
l'injure de vous.la décrire.
V 4K- '■
v La langue trompeuse consiste dans les
: tiftillements du téton gauche à"-V extrémité du petit-
orteil droit en évitant soigneusement l'organe pour
'ne se précipiter sur lui qu'au moment même, où il
'commence à désespérer. Voilà.
La méthode Fourina qui m'a" valu la
décoration que je porte à la boutonnière consiste ess
tiellement en l'éclatement précipité autour de l'ori~
anal, puis gagnant de proche en proche, dans l'introd
iàe l'appareil testlculai^e tout entier dans la boucrhe
il'opératrice ;\ enfin par des succions hélicoïdales de
-base de la tête de l'organe, on provoque la jouissanc
du sexe qui se défend voluptueusement en ayant bien
soin au moment psychologique de coiffer le gland dfun
bouche résolument avide pour en exprimer du même coup
le sperme retardataire.

~ 165 -
Mais' j'entends un bruit de gargarisme -.
significatif : Madame Pcurina va être à
vous dans un instant»
Mme Pcurina % "Quelle méthode a ohoisi
Monsieur ?"
Mr Pcurina i "Permettez que je no retire*
Ah! j'oubliais i -in4 freaies de plus ot pour
la première fois depuis l'antique^ rejetant
la sperme par les doux narines j, Madame
Fcurina réalise le jugement de dalomon ou
l'enfant eoupé en deupt»
- 167—
OH ! M îiiîE-)
Dh! i.ia mère! ma pauvre mère !' (bis)
Je voudrais me mariox»
Je voudrais me marier? leno les autres
Pour avoir filles et garçcns
Comme les autres font»
Mais ma fille! ma pauvre fille !
De quel les nourri ras-tu Y
Je les nourrirai de lait
Du lait de nies blanes niiicns»
Maie ma fille! -ma. pauvre fille !
De quoi les v&tiraB^tu ?
Je les vêtirai 9. ma mère
De loino et ,de blane irien.
Mais ma fille! ma pauvre fille !
De l'argent en aUraa-tu ?
Le soir dérider'' 1er; buissons-
Je trouas'rai mes blan?.s jupons»
Mais ma fille! ma pauvr^ fille 1.
Ton mari sera eceu Y
SI mon mari est eeoeu
Il port!ra des eornes au front•
Mais 12a fille! ma pauvre fille !
Ton honneur sera perdu ?
di mon honneur est perdu
J'm'engagerai dans- un bexcn*

168 -
hais ma fille ! ma pauvre fille !
Dans o' "boxon qu'y feras-tu ?
J!y pousserai du oui, du y ri
J'y attraperai des morpion?..
Mais ma fille ma pautoo fille !
fit ta vertu qu'en fais-tu ?
Ma vertu je 1' ai au eul
Ma vertu je l1 ai au con.
Mais ma fille ma pauvre fille !
T'attrap'ras du mal au cul ?
di j'attra' du mal au jul
J'm1 f outrai dos in je étions.
r
- I6Q
LA- ÇATRODÏILï
RSFEilEÎ?-
C'est une patrouille, attends moi là
Entretiens toi pendant qu1 elle passe
C'est une patrouille, al tends moi'là
Entretiens^ toi pendant ea temps là*
Viens par ici, viens mon p'tit homme
N'y a pas tant: d1 monde ? on n'y voit ri ai
Débouterai1 toi, tu voiras 3cmmo
Je s1 rais gentille
j 't'aimerais "bien
lu m'donn'ras six sous pour ma peine
Bénit soit le- noeud qui m' étrentio î
Ah î ah ! ah ! ah !
C'est des boueux, n'y prend pas garde
Viens qu' j'te maono ton p' tit outil
Vrai, j'avais eru qu* e'et ait • la garde
Il bande oneoro.., ^ot-il g.-ntil ! :
Allons et que rien ne A 'arrête,,
Fais moi cadeau, d'ta p!fit1 burette...
Ab! eh! ah! ah!
Vrai j'en ai t'y d'ia yèine tout drmono
T ' as du lingoV.. . Es-tu marie ?
T'es beau et t'as d •- yeux quo^ j'qimo7
Tu dois au moins être épi ^ier ?
Ou même représentant d!la Chambre . ••
Jouis drn^ ooehon... Ah! quel beau membre!
Ah! ah! ah!'ah!

- 170 ~
J'ai beau manier ta p!titc affaire
Quoi don2 quo t'as, t'en finis" pas
C' ost~y qu' tf .aurais bu cl! la bière,
Ou bien ma guoul* qui t^rerrions-pas" ?'
Pons g à une femme qu'aurais df bulles cuisses
Ou bion pense à l1impératrice
Ah! ah! ah! ah!
Qu'ont e'quo tu dis ? Capota anglaise
Mon oui est aussi propre quo l'tion ,
Je me fous pas mal de ta braise
Tu poux tfon r!tourner d'où tu viens.
Qui m'a foutu c't espèce d'endouiDJLo
Qu'a seulement rien dans l'fond d'sas couillos
Ah! ah! ah! ah!
T'es rien poireau si tu supposes,
Que y vais fia su er pour vingt ronds !
Allons abcule encore quelque ih( se
Tu verras si j'te la pompe à fond
T'icms' v'ia l"fils à Monsieur Augu^Sj
Qui m'donne' tront' sous quand j'ia lui suce
Ali! ah! ah! ah!
nr-
Cétaient dos marions d1 ennaissanoe
Mais par où-donc il'a panaé ?■ ■■■:'.
Que j'y finiss! sa..pHi-t». jouissance
C'est'y vous M,s:îic^ur qu* -j'ai c-ixienoé ?
Ah! merde-ça n'est .pan choie t ta tout d'mône
Sûr9 il a du s'finir-■/ri mono,
Refrain final . a
Cré nom de Dinu, or 6 non de d'ià
Faut pas-d'erédii dans c'métier, là
:k&%
1

172 -
MARIE ^UZQN
En rêvant du camp df Châlons
Bringue do zingue, bringue do zen
J'ai rencontre Mario duzen
Vinaigre et moutarde
Chapeau do oeou
Fous ton nez dans ma barbe
Et ton doigt dans mon cul
!Ja !
Frotte ton oui contre le mien
Va t'faire feutre? moi j*an reviens
Bringue da zingue la faridondaiiiQ
Bringue de zingue la faridonden.
J*ai rencontré Marie duzon
Je l!ai couchée sur le gazon
J'ai regardé dedans son con.
Il était noir comme du charbon,
Et dedans marchaient des.morpions,
Comme les soldats d'Napoléon.
Llo POILo JU CUL
Faut-il avoir-.du pril nu cul ?■ a
Cordent résoudr -■ c at ; affaire i
Les uns di^ -nt : . "c1 al ύospai.p^"
Et les autres ; "31 -r\ rup ;rflut!
Dans 00 débat "x nlradi cl '"ire
Où rien .-meere^n1 >ot réerlu '.
La Bible/la F-V'.e :vi V11i: i oire
Vont n^us jparler dss-peile du cul,
xidain san-:,'d<'uta était velu
Car cet ine i y! .0 para". île
Qui sur nos ceui;*! ; dir'ail son gite
Par un froid vif ^i zi< rfaidu. : !
Or Dieu qui. demi a. la pâture :
A 1* ai s eau vf ai bl e a p :u ve tu
Aux morpions pour ouverture
Donna les pile de; nctrs cul,
Ce fut David sans poils au cul
Qui armé d'une sinpl fronde .
Mais d!une nain que I^ieu seyaide.
Tua Goliath au au velu.
Ceci nous prouve Mon'je pense
Que 1out homme bien ré- olu
Doit compter sur La Providence
Plue que sur. les poils de son cul.
Ce fut par un poil dee^n cul
D'une -longueur phéne menais
Qu'au bout d- la branche fatale
Âbsalen rosi a sur:pandu;.
Depuis ce trépas mémo-arable .
Tous les Hébreux' oni ro>olu
Pour éviter un sor"i s aiblablc
De se raser les poils du ^tuL

- 174 -
Samson qui certes était velu :''
A vu par une main traîtresse
Avec le poil noir de sa fesse
Tomber sa force et sa vertu.
Sous les ciseaux qui le dépeuple
Quand le poil tombe tout est foutu.
C'est ainsi que le sort des peuples
Tient dit la Bible aux poils du cul,
Faut-il avoir du poil au cul
Disait Hercule aux pieds d'Omphaie
Et que t'importe ô ma vestale
Un rouston plus ou moins velu ?
Et tout en découvrant ses couiblles
De pibiLs lustres9 noirs et touffus
Il enroula sur-la quenouille '"
Cent écheveaux de poils du cul.
Faut-il avoir du poil au cul
Disait Thésée aux Amazones
Après qu'à cent de ces personnes
La pine au cul il eut foutu.
Bandant encore à la dernière*"" ■■
Il dit : ,fma belle qu'on penses-tu ?"
Cré non de Zeus ! dit la guerrière
Il faut avoir du poil au cul.
Au temps de nos rois chevelus
Et de l'antique loi salique
C'était un titre honorifique
Que de porter du poil au cul.
Mais notre siècke égalitaire
A réformé tous ces abus
Et maintenant le prolétaire
Peut se payer du poil au cul.
JFaut-dl avoir eu poil au lui
Vous •-îc^inaisi-az tour:, la pucollo
--Et certes ce fut bien par elle
Que leeikiglais fur-mi. vaincus
A la vue do r m ariflauno •-
Tout les Anglais au xl! velu '*
' Ont foutu lo. coup devant une femme
Qui n'avait pas de p. il au cul*
Faut-il av^ir du p- il au }ul
Disaii Henri au J)ui de Guise.
Mais celui si qui jo né prise
■A la quastiin n'^a répendu»
Pour lors le rri dans -p-a >elère
ci1 écria s "Je veux qu'en le tue
Noir; pourrons dv-cotto manière
Voir s'il avait ôm poil au cul" •
Avaient-ils don3 du poil au -ul
Quand; prie d'un a ardeur toute antique'
A l'appo.l de la Se publique
Pennes e1 vieilj.r-.rd s^zit aoiourus. *■
.Ames d'une ardeur sons pareille * '
Jusqu'aux enfanis -tous a1 sent'battus
Car la valeur a dit Corneille
ïï ' a pas 1dob< in d'ï• ^ il au cul ,
Faut-il avoir du pr.il ou cul
Disait au pied des pyr;;o:iides
A ses soldats fori intrépides
Vn général de iras xïïiu.. •
Jamais Français dans la bataille
Fut-il .vainqueur % fut-il vaincu
A l'ennemi sous le ni±1 raille
N'a montré les poils de son ckU

- 177
Faut-il avoir du poil au cul ?
Disait au bon Monsieur Fallières
Un attaché très militaire
Qui p"ortait un casque pointu.
Alors 1!homme à la la Vallière
lui dit : "Soyez bien convaincu
Les Français si vient la guerre
Vous botteront les poils du culf!.
Ce fut par un poil de son cul
Dégraissé pour la circonstance
Que 1!hygromètre fut en Franco
Par de Saussure suspendu.
Ceci prouve avec évidence
Que tout Français chauve-ou poilu
Doit réserver pour la science
Le plus long poil de son cul.
Faut-il avoir du poil au cul ?
Nous avons en cette rencontre
Pesé le pour, pesé le contre
Et rien encore n*est résolu
Mais un ^vis que je crois sage
Que rien encore nfa combattu
CTest qu'il vaut mieux pour son usage
Un cul sans poil qu'un poil sans cul.

- 178 -
LE FtJSIL
J'avais quinze ans et la passion des armes
Un boau fusil tout neuf et tout flambant
J'aurais voulu aonnaîtrê les alate^s:
Et les onibats de tout soldat veillant.
lion père était de la garde civique
Pour son adresse, on l'admirait beaucoup
Ah, nos omis, ah quoi plaisir unique
Quand on voyait papa tirer son coup.
Un boau matin je lui dit 2 Petit père,
J,ai n.;S quinze ans et voudrais essayer
Le beau fusil que seul avec ma père
Tu as Elis neuf mois a pouvoir m* fabriquer
Mon père alors no fit un peu cl'nerale
Ta noble adresse no réjouit beaucoup
Tiens non enfant, voici toujours mille balles
Va tlon w-:ï fils, va t'en tirer ton coup.
En ce tompr là vint un tir à la mode
Qui demeurait je crois, rue du persil
Vite jo courus vers cet endroit commode
Pour essayer mon excellent fusil.
Toutes les cibles étaiont blanches eu roses'
Mon boau fusil sa levait 'tout d'un coup '
Je déchargeais et fis une rose
Ali mes amis! quïctest bon 1*premier coup.

- 180 -
En peu de temps ria renommée fut grande
De nobles dames se disputaient l'honneur
De chatouiller de leurs mains fringantes
Le beau fusil d'un si parfait chasseur,
Toutes les nuits j'étais à l'exercice
Ma carteuchière était toujours à bout
lais maintenant j'use d'un artifice
Je ne peux plus par nuit tirer qu'un coup.
Maintenant le beau fusil qui naguère
A tant de hauts faits si souvent abusé
Repose en paix au musée de la guerre
Où il surmonte deux vieux boulets usés ■
Il a tant connu do chaudes alarmes
Et tant de combats livrés coup sur coup
Que lorsque maintenant il laisse couler un:
; lame
C'est par rogret.de n'plus tirer son coup,
au
31 ser& I heure
Je tirer son....
........Cou ..cou
- 181 -
L'ARTILLEUR ,e mATZ
REPRAIïï
ArtiHourS, nés chors fréris,
A sa san te 9 buvons un verre 0
Et répétons ce gaî refrain :
Vive la taupe et les taupins !
Les artilleurs, les femmes (bis)
Et le bon vin»
Quand l'artilleurs de ï-ïetz
Arrive en garnison
Toutes les femmes de mets
Se foutent le doigt dans l'eon,
Pour préparer 1l chemin
À l'artilleur rupin
Qui leur foutra demain
La pine dans le vao±n#
Quand 1! artilleur do amtz
Demande une faveur
Toutes les femmes de mets
L'accordent avec ardeur
Et le mari cornard
Voit l'artilleur chieard
Baiser également
La fille et sa maman,
Quand l'artilleur de I-ïctz
Quitte sa garnison
Toutes les femmes de motz
Se foutent à leur balcon
Pour.scJ.uer le départ
De :Iartilleur chicard
Qui leur a tant foutu
Sa pine au trou cm amU

182 ~
KEUNIER TU ES COCU
Et ru et ru tontaine
En passant par ton moulin ;,
Et rin tin "tin.
Meunier, meunier, tu es oeou (bis)
J'ai vu tel foixie le oui. "tout- nu»
J'ai vu ta femme le oui tcut nu (bis)
Et un gros moine qui non tait- dessus .
Qui lui foutais sa pino exi oui ■
Le pilon était fort poilu
Et lo mortier était fendu
Ca voulait tout le long du oui
Et des morpions qui nageaient dessus
Le plus vieux dit : "Nous sonnas foutus"
Car voilà le déluge venu
Rattrapons nous aux poils du iul
riais les poils du oui n! tenaient plus
Piquons une tête dans V trou du « oui
C'est net seule, planche.de salut♦
LE CON ET Li BtUïJlLlE
Nargue des pédants et des sots
Qui viennent chagriner noe âmes
Que fit Dieu pour guérir nos maux ?
Les vieux vins et les jolies fommes.
Il oréa pour notre bonheur
Le sexe et le jus de la treille
Aussi je viens aâ;son honneur -
Chanter le ^on et la bouteille.-
Dans l'Olympe, séjour dos Dieux
On boit, on patine 1er fosses
Et le nootar délioidux ■; .. '
H1est que du foutre de déesses.
$± j*yvais jamais, Apollon
Ne charmera plus non oreille •
De Vénus je saisis lo aon
De Baoohus je prends la bouteille.
Dans les bassinoto féminins
Quand on a trop brûlé d'ameroes
Quelques bouteilles de vieux vins
Au vit rendent toute sa foroo.
.tais, plus l'on boit, plus l'on fout,
Un buveur décharge à merveille
Aussi le vin, pour dire tout
C'est du foutre remis on bouteilles.

- 184 -
On ne peut pas bander toujours
Du vit le temps borne lfusage
On se fatigue à décharger
Mais, amis9 on boit à tout âge
Quant aux vieillards aux froids couÊllons
QuTils utilisent mieux leurs vieilles :
Quand on n'peut plus boucher de cons
On débouche au moins des bouteilles»
Mais hélas ! depuis bien longtemps
Pour punir nos fautes maudites
Le Bon Dieu fit les cons trop grands
Et les bouteilles trop petites !
Grand Dieu ! fais nous t'en supplions
Prr quelque nouvelle merveille
Trouver toujours le fond du con/^~"^ _
Jamais c^lui de le bouteilles ! * v"v' %
- 185 -
LE BîJL^JJ D£ Vlïd
Pan, pan de la Bretonnière
Pan, pan do .la barba :au cen,
Un bateau chargé de vits
Descendait. une rivière
Ihe dama do Parie
Voulut ')H-aiv't'T un' P^ifl§.
Une dam ï à v Pari^
Voulut- «^n acheter un^ajrto
Pour :& choisir deux jolies         .. f::
■ Envoya.sa ahambrière. ' - •
Chambrière -n femm' d'o^pfelt
S'en -ar-t. aervi raa prœdM^
Elle a!^n "oai rl bien servi
Qu'elle s «art pété la charnière
Et du *^u>. jûr-qurau nombril
Ce n'oai. plut- qu'une vaste ornière
Les norpiengf nagent dedans
Corne' poiasoiïsj en rivière
On emiv baisai? par devant
Va t1 faire fr.ui'r1 o'ofI par derrière]

~ 186 ~
On Trcit lui faire un enfant
On no lui donn1 qu'un clyslèro
On irait être -^n amant
On est quo aon apothicaire
•^
On arcit 1^ aimer tendrement
La marchandise t^mbe par terre
Ali ï dit-elle en lf écrasant
Cui-là n!battra pas son père»
Et il n'éoershera pas
Ekn p.l.u". le oon de sa iÀëre#
- 187 -
LA PAROLE DE SAINT-VALL1ER
François 1e:
Qui dfentre mous Messieurs n'a- jamais admiré
Un enculé royal au sein de ce palais ?
Tu rougis, St-Vallier et mes propos te blessent :
Moins cependant qu'hier ma pine entre les fesses.
St-Vallier :
Une insulte de plus ? Vous Sire- écoutez-moi
Comme vous me le devez, puisque vous êtes roi
Vous la fîtes mener nue en.place de Gresves .«
Vous la baisâtes là, comme Adam fendit Eve. !
Elle vous bénissait, ne sachant en effet
Ce qu'oui Roi cache au bout de lapine qu'il met.
Puis, Sire, sans pitié pour ma race guerrière
Pour le cul des Poitiers puceau depuis mille ans,
Tandis que revenant-le con tout plein de sang
Ellu priait pleine d'émoi le Dieu du pucelage
De rendre votre vit moins dur à son passage
Vous Roy Franois, le soir même du jour
Vous avez sans pitié, sans pudeur, sans amour
Des joies du cul, du con usant toute la gamme,

~ 188 ~
Dans votre lit9 tombeau do la vertu dos femmes
-,Flétris déshonore, déoulloté, baisé ?
Moi y Marquïa do dtVallioro vi l'alto do Brézé
&n ne baisant-ciJisIL^'.^è manière infâme,
Vous9 Roi François, sacré" chevalier par Bayayd
Jeunes homme ! il vous faut senc Ion fosses d*ua -
vieillard Y
Et los poils do non cul, déjà blanchis, par lTâge
ÏPont fhi me préserver d'un si cruel outrage
Oh! voue! Dieu des bordels, qu*avez vous dit
■•' là-bas (
Lorsque vcoi^- avez- vu donn los plis do doux .draps
dforrfonoo£ raide et rude et reugeâtro et sanglante
"Che pine royale dans mes fesses*. saignantes
dire ! on enfonçant trop vous avez mal %§i
Que du sang d'une femme votre vit fut rougi
, Cola peut sT expliquer* On comprend qufune femme
Ait pu se laisser prendre à votr-v piège infâme,
Mais que vous ayez pris et lo père et 1! enfant
C^ue vous ayiez flétri sous votre noeud puissant
Le aen d'une comtesse et le oui d'un vicomte
C'est une chose infâme et dont vous rendrez compte
Quand votre braquemard de fatigue .brisé,
Pendra sur vos r eus tons inerte et usé»
~ T89 ~ -
dire, je ne viens pas insui.tr votr ; ruine
Quand on est enoulé on- a mauvaise mine9 .
Et non malheureux cul flétri par cet affront
A bien assez de mal a gardé son étren.
Je me taiSi Seulement je me -nui'p/-iAa î ontôto
De venir vous montrer .mon eu*. à chaque fête
Et jusque ce qu'un père, un frère ou qaelqu1 époux
La chose arrivera, vous ait onculé, vous,
En me grattent le cu3 je r-viendrai vous dire
Vous a1 avez enoulé j, vous m1 avez fait mal sire,
Je fus tout déchiré par vira noeud bendani
Encore tout barbouillé de iv utre et de sang,
Pciut être veudrez-vous me f< r ;or a rao taire
M'enculoz à nouveau, vous n'encrez la foire
De pour que dans la nuit ce 5?oit mon • p- :tre nu
Qui vienne vous trouver? un bouchon dans le cul.

- 191 -
LE BAL DU JUL jJI DU CON
Trois poilp do 3uJL orar.soux ot salos
Servaient ào y rd!à pan violon
On avait décoré la sallo
Avec des pouax d^iorpiops..
Du foutre do puT*v.los
Brûlait dans Ins quinquots
Et la mer1 maqu^ro.Mc
Distribuai! lo,?. tiskots
Criait
Entrez^ entrez9 o9troz«

~ 192 ~
LE Bi^LEUR
Il fait nuit lo lit estlarge^
En songeant à la décharge
Il se réveille on bandant
Et e'.est alors que Rosine " ''■■'■■ ■[
Doucement lui prend • la' pine '
La lui .glouglcute un "bon moment.
Le baaideur est un vieux brave^
d'il se présente un coup grave
CT^st un rude compagnon ::"
Il a-, fait maintes ripailles
■Et porte plus d!UQe entaille
Le la. quéquette au croupion.. ,
On brexile, on suce, en active
-La décharge devient vive
: Oar te us. les .deux sont adroits .,
"Rosine .etaj.it très coquette - • : -
Vient lui branler la quéquette
XI-lui décharge entre les doigts.
• ~ 193 -
Il est là vautré 5 superbe
Bandant encore conme un cJerbe
Et dédaignant tout recours
Sa bite ost toute gluante
Mais dans sa fureur ardente
Il ban de, il bande toujours.
Mais la momiche crainteo
Le foutre est toute engluée
Elle ne peut plus jouir ■■-
Le bandeur avec adresse
Lui saisissant les doux fesses
L1 enouïe alors pour ai- finir. -

- 194 -
m DE3GENDAWT LE MCBTMARTRE
En descendant de Montmartre
Par une nuit sons lune
J!aperçois un prunier
Qui était couvert de prunes.
REFRAIN
Y'là 1! printemps 9 1-2
Vlà 1: printemps tire tire 3^ire
Vlà l1printemps pour les satyres
V*là 1 ' printemps pour les amants.
J*aperçois un prunier
Qui était couvert de prunes
J'y grimpe quatre à quatre
Pour on cueillir quequ's unes.
J'y grimpe quatre à quatre
Peur en cueillir quequ's -unes
La mère Jules qui m1voit faire
Ma crie voleur de prunes !
La mère Jules qui m'voit faire
Me crie voleur de prunes
J'3.ui tire mon pantalon
Et j'iui fait voir la lune
Jflui tire mon pantalon
Et j'iui fais voir la lune
Elle avait la vue basse
Elle a cru voir ses prunes.
- 195
Elle avait la vue basse
Elle a cru voir ses prunes
Elle prend ; s os grands oiseaux
Et veux m1 en couper une»
Elle prend ses grands ciseaux
Et veux m'en couper une
"Halte'là! la mère Jules
Ce ne sont pas là vos prunes!"
"Halte là! la mèro Julos
Ce no sont pas là vos prunes
À gauche c'oBt Jupiter
Et à droite c'ort Neptune".
"A gauche c'ont Jupiter
Et à droite c'est Neptune,
Au milieu la comète
Qui fait mrir los prunes".
%

- t >G
r
/ 4-
Y/Y
\
//
/,
■W, ' J
vCF* "■"
<H
\Y
» n
V
I '
,i;i If >
>
A.
l-ULS\Xi:-_s:
/.
/
f

^
 
■.-/il
/— 7//

^
-^
■V
/
•r^U
_1S-^
I - ;^aVi
\ y/ \
\ !
i t'Y1
/"
/
i /
IL
/
A ?
\
7/1" ' h
'O
♦ li.l/.
Plaisirs des Dieux.,.....♦•.... 76
Les couilles..............;.... 79
Le chasseur d'Afrique.•.........©0
Les cent louis d'or.,..........81
Les moines.. .». . *...............85
Le mousquetaire.........,,. ... . ♦.. 87
Les psaumes....................89
Le brigadier Pandore............ 90
Les 80 chasseurs............... 92
Lf hôtel-Dieu. .. ................. 95
Margot.............. .....______ 98
Plaisir d'amour. . ..............101
Qu! on mf apporte..;..............105
Stances à Sophie...............109
Le trou normand............. ... 11 2
Traîne tes couilïes............114
Père Dupanloup.................116
Allons à Messine...............121
La Salope......................122
Me musée d?Athènes.............124
Les filles de la Rochelle...... 127
La Brabançonne................ .129
Lf internationale...............1 31
La tour de Londres............ . 1 34
Les étudiants de France.........136
La femme du roulier............ 1 38
La marche américaine...........141
La pompe à merde...............1 42
Nini peau de chien.............145
L'abbé Pineau..................147
Bandais-tu ?..............____1 49
Frère Guillaumette............. 1 50
Minuit chrétien................152
Jeanne ton......................1 53



198
La peau des souilles <••>••»•*
Le bordel a fermé ses volets
L'invalide a la ,pine .de, bois
Madame Fourina.»
Oh ! ma mère * o * * *. «,
La patrouille . ,
Mario duzoii «. * «
• o o o
Le fus
iaourac
.a. u
;ui c -ce
* Mots •«,
30CU «V,
ut exile
a • • •
« « o ~
o o « «
oat
pai
La
Le baadeui
: Si TaHier,..,
C C • "• • O • • 3000004
En revenant de Montmartre ' ..
•  • • «
•  • • «
• « • <
0 O S <
154
157
161
164
167
I6g
172
173
178
181
182
ÏS3
185.
187
192
194

- 200
A
vi
*• 1
 
à

r
■^..yp
[Re^vv, ; FaA-(s igsc^ i^o fr.J


Copyright © 2001-2020 by The Jack Horntip CollectionConditions of Use.